Interview with Gator about Far-Left radicals and recent shootings, on Red Ice TV

Article du Époque Times relatant les tortures physiques et sexuelles subies par les femmes pratiquant le Falun Gong en Chine

Les femmes pratiquant la religion du Falun Gong en Chine sont arrêtées puis envoyer dans des camps de prisonniers pour hommes où elles sont systématiquement battues, torturées et violées. Dans les médias, on entend souvent parler de l’Holocauste, un événement qui s’est passé voilà soixante-dix ans. Ce qui est raconté dans cet article, ça, ça se passe aujourd’hui, et on en entend jamais parlé, pas plus qu’on entend parler du génocide des Blancs en Afrique du Sud. Il est temps que les Occidentaux se réveillent à la réalité. Le monde réel n’est pas celui que l’on nous présente. La version anglaise du même article suit.

Témoignage : des femmes livrées aux prisonniers dans les prisons chinoises

Gangs of Male Prisoners Sexually Abuse Women in Chinese Labor Camp

Interviews with Tobias Lindberg, Simon Holmqvist and Birgit Weissmann on Red Ice TV

These two Red Ice TV shows demonstrate the violence that is perpetrated against people of European descent in Europe. Physical aggressions, rapes, are common. But the worst of it is sneaky. It is the slow replacement of the population that is occurring, the replacement of the white people by people of color from Africa, the Middle East and Asia. Violence is only a tool that is used to coerce, convince into submission. The first video is an interview with two activists of the Nordic Resistance Movement, Tobias Lindberg and Simon Holmqvist. They describe and explain the phenomena of gang rapes in Sweden perpetrated by foreigners. The second interview is with the political activist Birgit Weismann. She presents here a summary of the situation in Germany.

Notre sport national: Une belle métaphore de la culture canadienne…

Je continue sur ma lancée de l’article précédent en reprenant le même sujet mais avec un angle différent. Je vais vous parler du hockey professionnel. Dans l’article précédent sur le cadeau-boni donné à Omar Khadr, je vous disais que le Canada était un pays qui aimait récompenser la médiocrité. Un autre bon exemple de cela est la façon dont les parties de hockey se déroulent dans la Ligue Nationale de Hockey et autres ligues de hockey nord-américaines. La LNH est une curieuse de ligue professionnelle. La grande partie de l’intérêt pour le hockey de trouve au Canada mais la majorité des équipes se trouvent aux États-Unis alors que le peuple américain manifeste peu d’intérêt pour ce sport. Il y aurait en fait plus d’argent à faire au Canada mais les gouverneurs de la ligue s’entêtent à garder les franchises aux États-Unis pour obtenir les fameux droits de télévision. Alors que les billets pour les matchs peuvent se vendre plusieurs centaines de dollars à Montréal ou à Toronto, beaucoup d’équipes aux États-Unis ont de la difficulté à attirer des spectateurs, et ce même en offrant les billets à coût dérisoire, dans le genre: 10 dollars, incluant deux bières, deux hot-dogs et le stationnement (j’exagère à peine). Les Rangers de New York s’en tirent beaucoup mieux et il y a d’autres équipes aussi qui font leur frais. Il y a un système de partage de revenus (ce n’est pas très capitaliste en passant…) et les équipes canadiennes font des chèques aux équipes américaines pour rééquilibrer le tout.

Or, lorsque l’on s’installe dans son fauteuil pour regarder un match, chez soi ou à l’aréna, il y a deux choses qui sautent aux yeux immédiatement. C’est que les parties se déroulent selon des critères moraux assez discutables. Premièrement, on permet aux joueurs de se battre. Une punition de cinq minutes est décernée et les joueurs peuvent ensuite retourner jouer. Le hockey est le seul sport professionnel que je connaisse où des joueurs qui se battent ne sont pas expulsés. Ici, je fais évidemment abstraction des sports de combats comme la boxe, la lutte, etc. Lorsqu’il y a un combat, les spectateurs se lèvent d’un bon et applaudissent à tout rompre, comme si Léonard de Vinci venait d’apparaître ou comme si Einstein venait de découvrir la théorie de la relativité sous leurs yeux. Deuxièmement, les bons joueurs sont systématiquement ciblés pour être neutralisés. D’habitude, c’était comme cela à l’époque où je suivais cela en tous cas, un couvreur est désigné pour contrer le meilleur joueur de l’autre équipe. Chez les Canadiens de Montréal, Guy Carbonneau était souvent choisi pour couvrir Wayne Gretzky, Mario Lemieux ou Peter Stastny. Le fait de couvrir le meilleur joueur de l’autre équipe peut signifier de le suivre de près simplement mais, parfois, ça peut impliquer aussi de le harceler, l’intimider en lui donnant des coups de bâtons par exemple. Guy Carbonneau, de mémoire, n’avait pas l’habitude de faire cela mais d’autres l’ont fait abondamment.

Eh bien…en y repensant, ces deux comportements que l’on voit souvent au hockey professionnel nord-américain est une belle métaphore de la culture canadienne. Vivre aux Canada, cela ressemble à un match de hockey. Voyez-vous, nos élites ont de la difficulté à accepter que lorsque l’on a des points de vue différents, on peut, par la discussion, le dialogue, l’argumentation, en venir à résoudre des problèmes. Et lorsque que quelqu’un a du talent dans un domaine, leur jalousie et leur envie feront en sorte souvent qu’ils emploieront toutes sortes de tactiques d’intimidation et de harcèlement pour détruire cet individu au lieu de le laisser s’épanouir et offrir à la société le fruit de son labour ou de sa créativité. Le harcèlement et l’intimidation sont extrêmement répandus au Canada, beaucoup plus qu’on pourrait le penser. Lorsqu’il y a une situation qui pose problème dans une institution, une ville, une entreprise, on en vient vite aux menaces et à l’intimidation. Les grands discours sur la communication et le dialogue provenant des départements de ressources humaines ou des politiciens ne sont souvent que des mots vides. Ceux qui les prononcent sont fréquemment les premiers à être incapables de les mettre en pratique. En tous cas, ce n’est pas comme cela que les choses se passent dans le monde réel au Canada.

D’autre part, le citoyen canadien moyen ne se gêne pas d’habitude pour critiquer les Américains, pour les traiter d’impérialistes, de bellicistes, pour les accuser des créer des guerres inutiles. Beaucoup se scandalisent par exemple si le sang coule dans le désert de l’Afghanistan ou de l’Irak suite à une intervention militaire américaine. Par contre, si le sang coule sur une glace de hockey, en Amérique du Nord, suite à un combat entre joueurs, alors là le même citoyen moyen applaudit de toutes ses forces, en redemande, et plus le sang coule, plus il est content. Vous ne trouvez pas cela incohérent? Il y a des jours où l’on se dit que ce que les Canadiens ont réellement de besoin, contrairement à ce qu’ils croient, ce n’est pas le départ de Stephen Harper ou de Donald Trump de la vie politique, ce qu’ils ont besoin, c’est d’un bon psychiatre.

Dans les sports professionnels populaires aux États-Unis, notamment le base-ball, le basket-ball et le football, les règles sont strictes. Les bagarres ne sont pas permises et les joueurs sont expulsés s’ils le font quand même. On ne tolère pas non plus que les bons joueurs soient contrés d’une façon disproportionnée. Pour revenir à l’exemple du joueur qui est désigné pour couvrir le meilleur joueur adverse, il y a certains matchs où on pouvait le voir carrément accroché au pantalon de son opposant. En Europe, on ne tolère pas les bagarres non plus dans les ligues de hockey professionnelles et les bons joueurs sont encouragés à exprimer leur talent et leur habilité. En Europe, on s’attend à ce que les joueurs de hockey fassent preuve d’adresse et les équipes adverses, pour gagner, au lieu de faire des menaces et de l’intimidation, essaient tout simplement de démontrer une habilité supérieure à leurs opposants.

Il y a quelque chose de malsain dans la façon dont le hockey professionel est géré en Amérique du Nord. Mais ce qu’il y a d’amusant, c’est que les penseurs et gestionnaires du hockey professionnel nord-américain qui ont organisé ces règles ont, involontairement, dévoilé la nature réelle de la culture canadienne. Oubliez les missions de paix des « casques bleus » des Nations Unies ou les chèques faits pour des causes humanitaires, etc. La vérité sur le Canada, vous l’avez lorsque vous aller voir un match de hockey professionnel. Tout y est dit. La menace de la violence est brandie pour décourager toute opposition et les individus les plus talentueux sont systématiquement écrasés et détruits pour protéger les intérêts de la classe dominante. Les élites canadiennes basées à Toronto et à Ottawa ont construit un pays complètement bidon. C’est une farce monumentale. Lorsque l’on est un travailleur journalier, soumis à de lourds impôts et contraintes de toutes sortes, on revient vite à la réalité. Nos bonnes élites ont beau essayer d’utiliser le sport et le divertissement pour nous endormir, tôt ou tard, on finit par se réveiller. À quand la souveraineté du Québec? Vive le Québec libre!

La « tolérance » des gauchistes anti-Trump américains et l’élection présidentielle du 8 novembre…

L’équipe de Red Ice Radio a compilé une série d’incidents impliquant des militants gauchistes américains s’opposant à la candidature de Donald Trump à la Présidence des États-Unis. Bon nombre de ces incidents n’impliquent que le fait d’avoir dérobé une pancarte électorale, pour la faire disparaître, mais d’autres sont plus sérieux. Comme on peut le voir dans le montage réalisé par Red Ice, certains partisans de Donald Trump sont agressés physiquement ou subissent du vandalisme sur leur propriété. On voit ici que la supposée « tolérance » des gauchistes ou de ceux qui se disent « progressistes », ce n’est que de la bouillie pour les chats, du vent. Quand les enjeux sont gros, les « progressistes » redeviennent ce qu’ils ont toujours été sous le vernis hypocrite de leur rhétorique bien-pensante: des gens les plus intolérants et intransigeants possibles, qui n’hésitent pas à recourir au harcèlement, à l’intimidation et à la violence pour parvenir à leurs fins. En visionnant cette vidéo, on est en droit de se demander ce qui arrivera à tous les partisans de Donald Trump s’il parvenait à gagner la Présidentielle. Particulièrement, on peut se demander ce qui adviendrait de ses partisans qui vivent à l’extérieur des États-Unis. Seront-ils en sécurité?

De toute évidence, l’élection présidentielle américaine du 8 novembre prochain est cruciale. Les enjeux sont énormes. Soit Hillary Clinton l’emporte, et alors l’effondrement de la société occidentale continuera jusqu’à son implosion complète; soit Donald Trump l’emporte, et alors nous aurons là une véritable chance de redresser le navire avant qu’il ne chavire dans les eaux sombres du chaos économique et sociétal. La violence qui est manifestée contre les partisans de Donald Trump est un signe évident qu’on ne peut plus attendre pour réagir. Demain, il sera trop tard. Une victoire est nécessaire le 8 novembre prochain, sinon je crains que nous n’aurons plus jamais une deuxième chance de sauver notre civilisation.

Colin Flaherty sur la violence dans les communautés afro-américaines

Retrouvez-le sur les ondes de Red Ice Radio d’abord et ensuite en vidéo en compagnie d’Alex Jones. L’entrevue avec Jones date déjà de 2013 mais le propos est toujours d’actualité. Je joins aussi un article où l’on peut voir des images d’une émeute de jeunes noirs à Londres possiblement inspirée par ce qui se passe présentement aux États-Unis dans les communautés afro-américaines.

Colin Flaherty sur Red Ice Radio

https://youtu.be/s03cnvF2czA

Émeute de Hyde Park, Londres