Gabriel Nadeau-Dubois révèle la vraie nature de Québec Solidaire lors de la Marche pour le Climat de 2022 à Montréal

Pour rappeler les faits brièvement, le ministre Benoit Charette du gouvernement de la CAQ au Québec a été chassé de la Marche pour le Climat vendredi dernier par certains manifestants qui s’y trouvaient. Ce qui est à noter, c’est que Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de Québec Solidaire, y a tenu des propos qui semblaient justifier l’expulsion du ministre. En fait, ce qui est à comprendre ici, c’est que GND a probablement été amené à devenir le porte-parole de Québec Solidaire pour essayer justement de donner un visage de respectabilité au parti, ce que Amir Khadir et Françoise David n’avaient pas réussi à faire. Or, on voit bien ici que, malgré l’allure présentable de GND, ses cheveux courts, sa barbe bien taillée et son style de jeune professionnel d’une tour à bureaux du centre-ville de Montréal, il n’a pu s’empêcher de laisser filtrer la vraie nature du parti politique qu’il représente. Québec Solidaire est un parti de brutes, de fiers-à-bras, et les propos tenus par GND en ont été l’illustration flagrante. Le masque est tombé. Et la question qui se pose ici est la suivante: Si les militants de Québec Solidaire peuvent se permettre d’essayer d’intimider un ministre, pourquoi penseriez-vous qu’ils n’essayeront pas de vous intimider, vous, les citoyens, s’ils arrivent à prendre le contrôle de votre comté électoral? Pensez-y au moment de voter le 3 octobre. On peut entendre les propos de GND dans la vidéo contenue dans l’article suivant, au tout début.

Marche pour le climat: le GND des carrés rouges?

Conférence de presse de Derek Sloan sur la censure et l’intimidation auxquelles sont exposés le personnal médical et scientifique

Il est accompagné des docteurs Byram Bridle, Patrick Phillips et virtuellement par Donald Welsh.

The ongoing attack against Red Ice TV…

Alternative media Red Ice TV is under attack, again, because of their non-politically correct views. The latest development in this ongoing saga concerns the payment gateway for their website that has been shut down by Paypal. The consequence is that they can no longer receive the money that they use to receive from subscribers and members. Last year, at the time of the Unite The Right rally (that was a total set up), their website was hacked while they were on the road to the now famous nationalist gathering. Here is the video where they present the details of this new ordeal. When you look at it, it is obvious that it is the continuation of the hacking operation that took place last year during the nationalist rally. A week ago, they were just finished to be ready to start back production in their new studio…and this happens. It is obvious that whoever did this waited for the best timing to do it. In others terms, they let the hosts of Red Ice TV invest time, money, energy, etc, to sabotage it when it was done. That gives you and idea of the level of perversity and sickness of the people that we, nationalists, are fighting against. Anyway, we have to support people like that who do what they do. In case you haven’t notice, people who are ready to go against the current and show their faces in the media come in very short supply these days. We have no choice but to show support, our future is at stake. The next video features Lana Lokteff of Red Ice TV, asking President Trump to pass a law to protect his supporters (it is urgent!) against censorship and political discrimination.

Henrik Palmgren of Red Ice TV analyses the repression of the Identitarian Movement in Austria

Again, our good ‘democratic’ governments in the West are busy transforming into criminals or terrorists anybody who might look like a patriot or a nationalist. Henrik Palmgren of Red Ice TV analyses here the case of the leaders of the Identitarian Movement in Austria but you can find examples of that in your local community very easily. Never in the history of the West, at least since the era of the Roman Empire, our people had been subjected to such a virulent and violent repression. Our countries are under occupation. It should be obvious for everyone but it is not, unfortunately.

Notre sport national: Une belle métaphore de la culture canadienne…

Je continue sur ma lancée de l’article précédent en reprenant le même sujet mais avec un angle différent. Je vais vous parler du hockey professionnel. Dans l’article précédent sur le cadeau-boni donné à Omar Khadr, je vous disais que le Canada était un pays qui aimait récompenser la médiocrité. Un autre bon exemple de cela est la façon dont les parties de hockey se déroulent dans la Ligue Nationale de Hockey et autres ligues de hockey nord-américaines. La LNH est une curieuse de ligue professionnelle. La grande partie de l’intérêt pour le hockey de trouve au Canada mais la majorité des équipes se trouvent aux États-Unis alors que le peuple américain manifeste peu d’intérêt pour ce sport. Il y aurait en fait plus d’argent à faire au Canada mais les gouverneurs de la ligue s’entêtent à garder les franchises aux États-Unis pour obtenir les fameux droits de télévision. Alors que les billets pour les matchs peuvent se vendre plusieurs centaines de dollars à Montréal ou à Toronto, beaucoup d’équipes aux États-Unis ont de la difficulté à attirer des spectateurs, et ce même en offrant les billets à coût dérisoire, dans le genre: 10 dollars, incluant deux bières, deux hot-dogs et le stationnement (j’exagère à peine). Les Rangers de New York s’en tirent beaucoup mieux et il y a d’autres équipes aussi qui font leur frais. Il y a un système de partage de revenus (ce n’est pas très capitaliste en passant…) et les équipes canadiennes font des chèques aux équipes américaines pour rééquilibrer le tout.

Or, lorsque l’on s’installe dans son fauteuil pour regarder un match, chez soi ou à l’aréna, il y a deux choses qui sautent aux yeux immédiatement. C’est que les parties se déroulent selon des critères moraux assez discutables. Premièrement, on permet aux joueurs de se battre. Une punition de cinq minutes est décernée et les joueurs peuvent ensuite retourner jouer. Le hockey est le seul sport professionnel que je connaisse où des joueurs qui se battent ne sont pas expulsés. Ici, je fais évidemment abstraction des sports de combats comme la boxe, la lutte, etc. Lorsqu’il y a un combat, les spectateurs se lèvent d’un bon et applaudissent à tout rompre, comme si Léonard de Vinci venait d’apparaître ou comme si Einstein venait de découvrir la théorie de la relativité sous leurs yeux. Deuxièmement, les bons joueurs sont systématiquement ciblés pour être neutralisés. D’habitude, c’était comme cela à l’époque où je suivais cela en tous cas, un couvreur est désigné pour contrer le meilleur joueur de l’autre équipe. Chez les Canadiens de Montréal, Guy Carbonneau était souvent choisi pour couvrir Wayne Gretzky, Mario Lemieux ou Peter Stastny. Le fait de couvrir le meilleur joueur de l’autre équipe peut signifier de le suivre de près simplement mais, parfois, ça peut impliquer aussi de le harceler, l’intimider en lui donnant des coups de bâtons par exemple. Guy Carbonneau, de mémoire, n’avait pas l’habitude de faire cela mais d’autres l’ont fait abondamment.

Eh bien…en y repensant, ces deux comportements que l’on voit souvent au hockey professionnel nord-américain est une belle métaphore de la culture canadienne. Vivre aux Canada, cela ressemble à un match de hockey. Voyez-vous, nos élites ont de la difficulté à accepter que lorsque l’on a des points de vue différents, on peut, par la discussion, le dialogue, l’argumentation, en venir à résoudre des problèmes. Et lorsque que quelqu’un a du talent dans un domaine, leur jalousie et leur envie feront en sorte souvent qu’ils emploieront toutes sortes de tactiques d’intimidation et de harcèlement pour détruire cet individu au lieu de le laisser s’épanouir et offrir à la société le fruit de son labour ou de sa créativité. Le harcèlement et l’intimidation sont extrêmement répandus au Canada, beaucoup plus qu’on pourrait le penser. Lorsqu’il y a une situation qui pose problème dans une institution, une ville, une entreprise, on en vient vite aux menaces et à l’intimidation. Les grands discours sur la communication et le dialogue provenant des départements de ressources humaines ou des politiciens ne sont souvent que des mots vides. Ceux qui les prononcent sont fréquemment les premiers à être incapables de les mettre en pratique. En tous cas, ce n’est pas comme cela que les choses se passent dans le monde réel au Canada.

D’autre part, le citoyen canadien moyen ne se gêne pas d’habitude pour critiquer les Américains, pour les traiter d’impérialistes, de bellicistes, pour les accuser des créer des guerres inutiles. Beaucoup se scandalisent par exemple si le sang coule dans le désert de l’Afghanistan ou de l’Irak suite à une intervention militaire américaine. Par contre, si le sang coule sur une glace de hockey, en Amérique du Nord, suite à un combat entre joueurs, alors là le même citoyen moyen applaudit de toutes ses forces, en redemande, et plus le sang coule, plus il est content. Vous ne trouvez pas cela incohérent? Il y a des jours où l’on se dit que ce que les Canadiens ont réellement de besoin, contrairement à ce qu’ils croient, ce n’est pas le départ de Stephen Harper ou de Donald Trump de la vie politique, ce qu’ils ont besoin, c’est d’un bon psychiatre.

Dans les sports professionnels populaires aux États-Unis, notamment le base-ball, le basket-ball et le football, les règles sont strictes. Les bagarres ne sont pas permises et les joueurs sont expulsés s’ils le font quand même. On ne tolère pas non plus que les bons joueurs soient contrés d’une façon disproportionnée. Pour revenir à l’exemple du joueur qui est désigné pour couvrir le meilleur joueur adverse, il y a certains matchs où on pouvait le voir carrément accroché au pantalon de son opposant. En Europe, on ne tolère pas les bagarres non plus dans les ligues de hockey professionnelles et les bons joueurs sont encouragés à exprimer leur talent et leur habilité. En Europe, on s’attend à ce que les joueurs de hockey fassent preuve d’adresse et les équipes adverses, pour gagner, au lieu de faire des menaces et de l’intimidation, essaient tout simplement de démontrer une habilité supérieure à leurs opposants.

Il y a quelque chose de malsain dans la façon dont le hockey professionel est géré en Amérique du Nord. Mais ce qu’il y a d’amusant, c’est que les penseurs et gestionnaires du hockey professionnel nord-américain qui ont organisé ces règles ont, involontairement, dévoilé la nature réelle de la culture canadienne. Oubliez les missions de paix des « casques bleus » des Nations Unies ou les chèques faits pour des causes humanitaires, etc. La vérité sur le Canada, vous l’avez lorsque vous aller voir un match de hockey professionnel. Tout y est dit. La menace de la violence est brandie pour décourager toute opposition et les individus les plus talentueux sont systématiquement écrasés et détruits pour protéger les intérêts de la classe dominante. Les élites canadiennes basées à Toronto et à Ottawa ont construit un pays complètement bidon. C’est une farce monumentale. Lorsque l’on est un travailleur journalier, soumis à de lourds impôts et contraintes de toutes sortes, on revient vite à la réalité. Nos bonnes élites ont beau essayer d’utiliser le sport et le divertissement pour nous endormir, tôt ou tard, on finit par se réveiller. À quand la souveraineté du Québec? Vive le Québec libre!

Vous vous apprêtez à voter pour Québec Solidaire? Êtes-vous sûrs?

Ce gentil personnage fait parti de l’équipe politique d’Amir Khadir. Nous ne connaissons pas son nom pour le moment. Il ne s’est pas identifié. Néanmoins, ce qui apparaît évident ici, c’est le mépris total pour la démocratie qu’il démontre. Lors d’une démonstration de livres des Éditions Accent Grave qui s’est tenue à la Place Gérald-Godin du métro Mont-Royal mercredi le 29 août dernier, ce grand « démocrate » de Québec Solidaire a fait des pieds et des mains pour nuire à la tenue du kiosque. Le livre en démonstration étant Les faces cachées d’Amir Khadir de Pierre K. Malouf, on comprend mieux pourquoi ce monsieur était dans tous ces états. De plus, vous devez savoir que lors de cet événement les partisans d’Amir Khadir ont entouré l’auteur du livre, Pierre K. Malouf, dans le but évident de l’intimider. Le vidéo qui suit est une pièce d’anthologie. La scène a été tournée dimanche le 2 septembre dernier lors d’une vente trottoir sur la rue Mont-Royal. Parlant après Amir Khadir, ce même grand monsieur affirme ici sans gêne, en plus de nous traiter de « trous du cul », qu’il serait la victime de tactiques d’intimidation alors qu’il en est l’auteur, de concert avec ses sbires de QS. Mais ce n’est pas tout. Il invite ensuite le vidéaste, un membre de notre groupe de résistants sur la rue St-Denis qui affrontent le groupe PAJU face au magasin Naot, à venir le rejoindre chez lui « afin de régler ça ». En d’autres termes, ce grand démocrate se propose de casser la gueule au vidéaste, dans le plus pur esprit démocratique de Québec Solidaire.

Question: Êtes-vous vraiment sûrs de vouloir voter pour Québec Solidaire? Si on en juge par ces événements et ces propos, Québec Solidaire va régler les problèmes au Québec à coups de poing.

Autre question: Si vous élisez Québec Solidaire, qu’est-ce qui vous dit que vous ne serez pas les prochains à recevoir un coup de poing, gracieuseté du grand esprit démocratique de ce parti?

Réfléchissez bien avant de voter. Québec Solidaire affiche ouvertement des attitudes non-démocratiques. Ceci devrait allumer des voyants rouge pour tout le monde. Les activistes de ce parti recourent à l’intimidation et aux menaces de façon systématique et présentent des comportements qui sont caractéristiques du banditisme et de l’extrême-droite, rien de moins.

Faites un choix intelligent le 4 septembre. Votez pour un parti qui respecte vraiment la démocratie, comme par exemple le Parti Québécois.

L’intimidation dans les écoles du Québec: « Il va falloir faire en sorte »…

Cette entrevue de Chantale Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d’établissements d’enseignement, avec Benoit Dutrizac du 98,5 FM est fort révélatrice. Nous pouvons bien dire ce que nous voulons, le Québec reste une société matriarcale, féminine, gauchiste et molle. C’est la réalité. En écoutant cette entrevue, vous aurez l’occasion de sentir toute l’exaspération de l’animateur radio qui n’en peut plus d’entendre toujours les mêmes arguments bidon, les mêmes formules creuses, les mêmes rationalisations de caniveau. On peut tous les résumer par la formule suivante, qui était utilisée ad nauseam voilà quelques années. Il est vrai qu’on l’entend moins depuis un certain temps mais elle demeure fort pertinente pour décrire la mentalité des Québécois en matière de gestion de problèmes: « Il va falloir faire en sorte ». Dans le fond, elle pourrait très bien remplacer le « Je me souviens », puisqu’on ne se souvient de rien de toute façon. Lorsqu’on dit « il va falloir faire en sorte », au fond, on dit quoi? On dit qu’il serait bon que quelqu’un s’occupe de ce problème. Or, ce quelqu’un, c’est personne car il n’y pas âme qui vive qui fera quoi que ce soit pour s’en occuper, puisque personne n’est responsable. Chantale Longpré n’utilise pas cette formule durant cette entrevue, mais elle est sous-entendue et partie intégrante de la culture fonctionnariste et bureaucratique où Madame Longpré évolue, qui est celui du monde de l’enseignement.

Voyez-vous, les réformes de la Révolution Tranquille ont permis au Québec de se moderniser, d’arriver enfin au vingtième siècle et ce avec beaucoup de retard il faut le dire. Elles ont permis de mettre l’Église Catholique en marge de la société, alors que celle-ci prenait beaucoup trop de place et qu’elle empêchait l’épanouissement des citoyens dans la liberté. Elles ont aussi mis un terme à un régime politique qui n’était pas démocratique, le duplessisme, mis en place par feu Maurice Duplessis. Le nouveau régime a créé des programmes sociaux et de nouvelles institutions afin de mieux répondre aux besoins de la population qui était assoiffée de pouvoir enfin s’épanouir dans le monde moderne avec tout ce qu’il comporte. Continuer la lecture