Une mère de famille met les points sur les ‘i’ et les barres sur les ‘t’ durant la réunion du conseil scolaire

Cette mère de famille a servi toute une correction (au sens intellectuel du terme) aux commissaires durant cette réunion du conseil scolaire. Elle y a dénoncé l’endoctrinement idéologique auquel sont soumis les enfants dans différents domaines. L’ensemble des parents devraient suivre son exemple et s’impliquer. Ils devraient se rendre aux réunions des conseils ou commissions scolaires pour poser des questions et demander des comptes aux personnes élues ou nommées à ces postes. Les écoles n’ont pas le droit d’amener des élèves à adopter certaines croyances, doctrines, idéologies, religions ou préceptes sans le consentement des parents. Or, de plus en plus de ceux-ci à travers les États-Unis et le Canada sont mis devant le fait accompli sans qu’ils en aient été informés au préalable. Leurs enfants reçoivent en classe un enseignement qui est biaisé idéologiquement et reviennent à la maison avec des manuels imprégnés de propagandes diverses avec lesquelles ils sont en désaccord. Parents de l’Amérique, levez-vous pour défendre vos enfants contre l’endoctrinement!

Entrevues avec Denis Rancourt sur les courbes épidémiologiques, la Covid-19 et la négligence criminelle

Le séminaire « Red Pill » de Stephen Coughlin sur l’islamisme

Voici l’excellent séminaire en dix parties du conférencier et spécialiste de la loi islamique Stephen Coughlin, intitulé « Red Pill ». Le matériel présenté ici s’inscrit en continuité avec celui qu’il avait l’habitude de présenter aux officiers supérieurs de l’Armée américaine pendant des années, avant que le Pentagon ne prenne la décision de le mettre de côté, probablement sous la pression d’organisations islamistes, comme les Frères Musulmans notamment. Ce séminaire a été présenté à Vienne, Autriche, en mai 2015. Il dresse le portrait des principales connaissances significatives en regard de la loi islamique ou charia. Entre autres éléments importants à souligner, Coughlin insiste sur la dimension militaire inhérente à la charia, qu’il démontre en citant des passages du Coran, des hadiths ou de déclarations d’imams. Notamment, il rappelle à l’auditoire que la loi islamique fait du djihad quelque chose d’obligatoire. Il cite les versets 8:12 et 3:151 où Allah demande aux croyants « d’instiller la terreur dans le cœur des non-croyants » . Il souligne aussi l’existence de certains documents contemporains qui ont été saisis lors de descentes de police, dont celui intitulé « The Project » dans les années 1980, ainsi que l « Explanatory Memorandum » dans les années 1990, où certaines organisations islamistes présentaient leur plan d’action pour infiltrer l’Occident et le subvertir de l’intérieur. Il rappelle aussi l’existence d’un « Plan d’action de dix ans » qui aurait été conçu par l’Organisation de la Coopération Islamique en 2005, afin d’imposer la censure sur les discours écrits et parlés de par le monde pour qu’ils soient conformes à la charia.

Coughlin fait également la connexion entre l’islamisme, le terrorisme et la gauche. Il démontre que la collaboration entre les organisations islamistes et les groupes marxistes est bien réelle. À cet effet, il rappelle l’oeuvre de Saul Alinsky et comment  cette idéologie a permis à toutes sortes de groupes, dont les islamistes, de faire progresser leurs mouvements. Une citation de Carlos the Jackal est significative à ce sujet: « Only a coalition of Marxists and Jihadists can destroy America  » . C’est le fameux axe Rouge-Vert dont plusieurs auteurs parlent, les forces de la gauche et celles de l’islam radical qui ont fait cause commune pour détruire le monde libre, la démocratie et la civilisation.

Parmi les autres éléments d’intérêts, Coughlin s’arrête sur le problème de ce qu’on appelle le « dialogue interreligieux ». Coughlin fait remarquer avec justesse que ce mouvement est utilisé par les islamistes pour faire accepter la charia par les représentants des autres religions, sous le couvert de l’ « ouverture » et du « dialogue ». Les grandes religions sont assez différentes les unes des autres. L’idée d’un dialogue est idiote en soi puisque à part de souligner les différences entre une religion et une autre, de quoi peut-on dialoguer? En fait le piège du « dialogue interreligieux » remonte probablement à l’époque des premières études en sciences des religions ou en études comparatives, où l’on voyait des intellectuels ou des érudits, de bonne foi, comparer des éléments qui pouvaient paraître semblables d’une religion à l’autre mais en les sortant de leur contexte souvent. Ces exercices de « dialogue » entre les religions sont souvent des exercices d’à-plat-ventrisme où l’on voit des représentants de grandes religions faire génuflexion devant la rhétorique des représentants de l’islam en ne défendant pas la spécificité de leur propre tradition.

L’élément le plus important de ce séminaire demeure probablement le fait d’avoir identifié l’attaque sur la raison qui est en train d’être effectuée en Occident. Les membres de l’axe Rouge-Vert, la gauche et les islamistes, ont non seulement changé le sens de mots (Orwell parlerait de « newspeak ») pour pouvoir les utiliser à leur avantage mais, en plus, ils ont instillé dans la culture ambiante le relativisme moral, qui fait en sorte que les religions ou les codes moraux peuvent s’équivaloir, mais aussi le relativisme logique, ce qui fait en sorte qu’une chose et son contraire peuvent être vraies. N’étant plus capables de penser de façon logique et n’étant plus capables de faire des distinctions entres les choses, les philosophies, les religions, les valeurs et les idées, et ne pouvant donc plus nommer les choses de façon précise et exacte, les Occidentaux, ainsi, ne sont plus en mesure de comprendre que leur société est en train d’être subvertie et renversée de l’intérieur depuis plusieurs décennies. Je m’arrête ici. Je vous propose la première des dix parties de ce séminaire. Vous pourrez retrouver le reste des vidéos sur le site web de Stephen Coughlin en cliquant sur le lien en bas de la page. Bonne écoute.

Stephen Coughlin’s “Red Pill” Brief