Benoit Dutrizac en entrevue avec Amir Khadir sur le rapport de l’Unité anti-corruption: Aie confiance…

Cette dernière entrevue de Benoit Dutrizac avec Amir Khadir ressemble à toutes les autres données par le chef du Parti Québec Solidaire. Lorsqu’il s’adresse à la presse ou à l’Assemblée Nationale, Amir Khadir prend un ton solennel, digne, empreint de droiture morale. Benoit Dutrizac l’a sollicité en entretien en ce 15 septembre 2011 afin d’obtenir ses réactions suite à la publication du rapport de l’Unité anti-corruption, mais aussi pour souligner en fait sa contribution à l’évolution de ce dossier. Rappelons que c’est lui, par la présentation de faits nouveaux qu’il avait portés à l’attention des membres de l’Assemblée Nationale, qui avait alerté l’opinion publique sur toute la question de la corruption et de la collusion dans l’industrie de la construction et des liens qu’elle entretient avec le financement des partis politiques. D’accord. Rendons à César ce qui revient à César.

Néanmoins, je dois vous avouer ma déception quant à la performance de Benoit Dutrizac durant cette entrevue. Je comprends que Dutrizac soit ravi et satisfait que finalement l’on obtienne des preuves pour donner de la substance aux allégations qui planent au-dessus des secteurs de la construction et du financement des partis politiques. Mais il y a des limites à être distrait par une bonne nouvelle. L’Amir Khadir qui a mis au jour ce problème de corruption et de collusion au Québec est le même qui s’est fait le parrain depuis un an d’une campagne de salissage et de délégitimation de la communauté juive et de l’état d’Israel. Ce qu’il leur fait subir n’est pas autre chose que de l’antisémitisme, même si certains puristes parlent plutôt d’antisionisme. Avec justesse, un auditeur est intervenu dans la conversation en envoyant un courriel à Dutrizac qu’il a lu en ondes, mais en s’excusant presque de le faire. Le courriel demandait à Khadir pourquoi il n’organisait pas de manifestation pour lutter contre ce problème de corruption dans l’industrie de la construction, alors qu’il en a organisé une pour boycotter des souliers fabriqués en Israel…et comme d’habitude Khadir s’est défilé. Il n’a répondu qu’à la partie de la question suggérant l’organisation d’une manifestation et pas sur la boutade concernant le boycott de la boutique Le Marcheur. Décidément, le courage ne semble pas faire parti de ses attributs. Notez en passant que cette campagne de boycott de produits israéliens a toujours cours. Le groupe d’activistes islamo-gauchistes fournissant les manifestants pour cette campagne de salissage envers Israel, le PAJU, ne manifeste plus devant la boutique Le Marcheur. Ils se sont déplacés depuis quelques semaines vers la boutique Naot, qui vend exclusivement des produits fabriqués en Israel. Continuer la lecture

Le Québec et la déséducation: Bienvenue au royaume de la consultationite

Décidément, le système d’éducation québécois ne cesse de faire les manchettes pour son incompétence. Ou plutôt, ces sont les gens qui le dirigent qui sont incompétents, nuls, impuissants, incapables. La dernière nullité en date s’est produite cette semaine lorsqu’une nouvelle a été rendu publique concernant le taux élevé d’armes à feu saisies dans les écoles secondaires…et primaires! Eh oui, il paraît que cela est vrai. L’animateur Benoît Dutrizac lors de son émission de radio au 98,5 FM a interviewé deux intervenants du milieu, Chantal Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d’établissements d’enseignement, et Éric Gingras, Vice-Président du Syndicat de l’enseignement de Champlain. Une tribune téléphonique a suivi sur le sujet. Ces deux intervenants ont donné les explications usuelles et ils l’ont fait de manière professionnelle comme il fallait s’y attendre. Comme tel, je n’ai rien à leur reprocher. C’est plutôt l’attitude de notre société qui me fatigue.

En effet, on comprend bien l’exaspération de l’animateur de radio face à l’impuissance de nos élites à pouvoir régler quelques problèmes qu’il soient lorsqu’ils se présentent, et ce cas en est un exemple frappant. Voyez-vous, notre société souffre de « consultationite » aiguë. À chaque fois qu’il y a une situation à revoir, un problème à régler, une activité à encadrer, au lieu de régler le probléme, on se demande quel commission, états généraux, table de concertation, groupe de travail, enquête publique, travaux parlementaires on pourrait bien organiser…au lieu de tout simplement agir. Le problème justement, c’est qu’au Québec on ne connaît pas ça, régler des problèmes. On peut certainement en créer mais pour les faire disparaître, ce n’est pas dans notre champ de compétences. Et pourquoi? Parce que le Québec n’est pas une société adulte. Nos citoyens sont des enfants, pour la plupart, et on le voit bien ici avec ces entrevues. Monsieur Gingras, notamment, dit bel et bien que dans le cas d’un conflit entre un élève et/ou ses parents avec un professeur, la direction de l’école prend systématiquement la part des parents pour acheter la paix…et se faire réélire. Pouvez-vous avoir une meilleure preuve que nous sommes gouvernés par des lâches? Il n’y en a pas de meilleure. Une intervenante durant la tribune téléphonique, Louise, l’a très bien dit: lorsqu’un élève dérange, ce n’est pas compliqué, on le renvoit de l’école. Un point c’est tout. Sinon, ce sont tous les petits morveux qui n’ont pas de parents ou qui ont des parents incompétents qui prennent le contrôle de l’école. Mais faire ça au Québec, ce n’est pas possible, puisque nous sommes gouvernés par des lâches, des mous et des soumis. Continuer la lecture

La dégringolade idéologique de Québec Solidaire: La « khadirisation » de la vie politique québécoise

Le site web vigile.net parle d’Amir Khadir comme d’une « énigme ». C’est certainement une bonne image. En effet, les actions de ce député sont très étranges, voire opaques à la compréhension. Ses prises de position contre Israël et la boutique de souliers Le Marcheur tiennent réellement du suicide politique. Depuis le début de la campagne de salissage contre Israël et contre ce commerçant du Plateau Mont-Royal qu’il a initiée en octobre 2010, Amir Khadir n’a fait que s’enliser encore davantage, jour après jour, dans le ridicule, l’obscène, le pathologique et le scandaleux. À telle enseigne que maintenant il n’a plus aucune crédibilité, si tant est qu’il en a jamais eu pour commencer. Depuis qu’il a été élu à l’Assemblée Nationale, Amir Khadir n’a fait qu’encourager la classe politique québécoise et la population du Québec à jouer dans leur caca. Si vous me permettez de créer un nouveau mot, je dirais que c’est toute la vie politique québécoise qui a été « khadirisée ». Depuis qu’il a fait son entrée au Parlement québécois, on ne fait que parler d « enveloppes brunes », d’allégations de corruption, de pressions indues, de retours d’ascenseur, d’obtentions de contrats sans appel d’offres, etc. Pendant ce temps-là, rien n’avance. La province est au point neutre. Je vous propose, afin que vous aider à continuer votre réflexion sur l’ « énigme » Khadir, deux articles du site web vigile.net. Si vous pensez avoir percé le mystère…laissez un commentaire. Je joins également un article précédent sur les frasques du 15 mai dernier, le jour de la commémoration de la Nakba, de ce bon partisan islamo-gauchiste.

Amir Khadir- frasques du 15 mai

Enigme Khadir

Québec Solidaire

Daniel Greenberg sur la Nakba: un cirque de paumés nostalgiques d’une terre qu’ils n’ont jamais eue

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Lisez cet excellent article de Daniel Greenberg sur la commémoration du Nakba à chaque année le 15 mai, qui est l’échec de la tentative de destruction d’Israel par des pays Arabes, entre autres l’Arabie Saoudite, l’Irak, la Syrie et l’Égypte en1948. « Imaginez si chaque année, le 8 mai, les Allemands commémoraient la défaite de l’État nazi, avec des croix gammées, des chants, des slogans antijuifs et un narratif historique faisant valoir que les Allemands expulsés de Pologne, de Tchécoslovaquie et de Hongrie étaient les vraies victimes de la II° Guerre Mondiale. » C’est le genre de manifestations auxquelles ont a droit avec la Nakba. Les Arabes de la région s’y posent alors, comme toujours, en victimes, au lieu de regarder leur responsabilité dans ce qui leur arrive. Les Nakbaïtes, comme on les appelle, se sont retirés du territoire de la Palestine — car c’est ce que la Palestine est bel et bien, un territoire et non pas un pays — à l’invitation de la Syrie et de l’Irak. Rappelons aussi, car c’est important, que durant toute la période comprise entre la fin de la Premième Guerre Mondiale et la Déclaration de 1947 des Nations Unies, la Palestine est un protectorat britannique. Il n’y a aucun pays qui n’a jamais existé correspondant à la notion d’un État palestinien, à part bien sûr la Jordanie qui a été créée à partir d’un territoire correspondant à environ 75% de la Palestine d’entre les deux guerres. Le pays de la « Palestine » donc, constitué des terres qui restaient après la création de la Jordanie, a été inventé de toutes pièces à partir de l’imaginaire des populations qui ont perdu la Première Guerre Mondiale aux mains de l’Occident et qui n’ont pu détruire Israel ensuite lors de la guerre de 1948-49, puis lors de celle de Six-Jours. Et il faut aussi mentionner que la déclaration des Nations Unies prévoyait la création de deux États, l’un Juif, l’autre Arabe, et que les pays arabes ont justement rejeté cette idée. Donc, comme les nations arabes ont perdu cette guerre, ces « réfugiés » palestiniens ont dû s’installer dans les environs, en Syrie et au Liban par exemple. Ces citoyens modèles et grands adeptes de la démocratie ont-ils fait une demande pour obtenir la citoyenneté de leur pays d’adoption, et le cas échéant, cette demande a-t-elle été refusée? La question se pose. Car l’identité imaginaire du « Palestinien » avec laquelle les Arabes de la région se saoûlent empêche ces populations de se prendre en main et d’évoluer. Les peuples arabes sont victimes de l’État Providence. On pourrait donner les exemples de l’Égypte et de la Syrie où les régimes en place ont adopté des modèles politiques comprenant des éléments typiques du socialisme…et on voit le résultat. Ces populations, comme toutes les autres ayant vécu sous l’emprise du socialisme, attendent que l’État fasse les choses à leur place. Elles attendent au lieu de travailler, de se prendre en mains et passent leur temps à se plaindre et à tout mettre sur le dos des Juifs et Israel. Prenez le temps de lire cet article, cela vaut la peine. J’ai joint deux autres articles pour enrichir votre compréhension du conflit, basée sur la réalité des faits.

nakbacide

La haine des Palestiniens envers Israel

Obama, l’ONU et l’OCI

William Cooper predicts 9/11 and comments on the Oklahoma City bombing and Osama bin Laden

Here is a series of radio show extracts about William Cooper. Cooper was a conservative, in the true sense of the word. He didn’t want the country of which he was a citizen, to change into something else. He believed that a shift was in preparation that would turn the United States into a socialist country, and that this would pave the way for a One World totalitarian utopian government. On that I disagree with him. The tendency we are witnessing on the earth today is definitely not socialist, but rather fascist. Nevertheless, he was accurate in his prediction of 9/11. 9/11 is the reverse of the 9th of November, 11/9, which is a very important date in nazi mythology.

In this series, he comments on a few elements that, put together, provide a good picture of the situation. First, a CNN reporter was capable of locating and interviewing Osama bin Laden in June 2001, while all the intelligence agencies in the world couldn’t locate him. That sounds impossible to anyone with a brillant mind. He does say that, according to him, this interview is the sign that something bad would happen in the U.S. very soon. He also speaks about the Oklahoma City bombing that couldn’t have been perpetrated by the two twits that were presented to the public. The fact that the attack happened on the eve of Hitler’s birthday, on April 19th, is certainly the indication that it is the Third Reich that is behind it. The fourth extract features a caller who is trying to blame this slow descent into fascism or totalitarianism, on the Jews. Again, that is another person who thinks that the Jews are to be blamed for everything and that they control the media, etc. Cooper tries to make him understand how the culture of corporations works. I am not sure that everything he says is accurate but again it is certainly a better position that trying to smear the Jews.

There is a lot of work to be done about the perceptions, especially on the Jews. It is easier to blame them than to face reality as it is. We are governed by mad men. We are descending back into barbarism, because our leaders have decided that a totalitarian utopian society was better, for them, than a society based on the principles of the Enlightment. That’s our predicament. For now, the best we can do, for those of us who are aware of that, is to protect ourselves and behave with intelligence and judgement. If we can’t save our brothers and sisters, at least maybe we can save ourselves.

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Le Québec est-il une société libre

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Les « écoles libres » sont illégales au Québec… Tiens-donc… Selon Marike Reid-Gaudet, qui est détentrice d’une maîtrise en sociologie de l’éducation et que vous pouvez voir et entendre dans cet extrait vidéo du site web La Déséducation, le Ministère de l’éducation du Québec interdirait les écoles libres parce que, supposément, elles ouvriraient la porte aux dérives religieuses… Pourtant, cela n’empêche pas le même Ministère de donner une subvention à l’École Dar al-Iman de Montréal (voir ici, ici et ici) pour qu’elle puisse endoctriner les enfants dans l’islamo-fascisme de la doctrine des Frères musulmans! Franchement, le gouvernement du Québec est dur à suivre. Selon Marike Reid-Gaudet, il y a des écoles libres un peu partout dans le monde mais pas au Québec. Notre gouvernement les interdit pour éviter l’endoctrinement religieux…et il donne une subvention à une école islamiste pour faire exactement cela!

Plus loin dans le vidéo, on peut voir une adolescente en compagnie de sa mère nous raconter son expérience de l’école libre. Franchement, elle a l’air beaucoup mieux dans sa peau que beaucoup d’ados que je croise dans la rue et dans le métro tous les jours. C’est quoi cette maudite manie que l’on a au Québec de vouloir tout contrôler? Le mot nazi est le raccourci pour national-socialisme. Dans notre belle province, le socialisme est triomphant depuis les années soixante et il s’est accompagné d’une montée du nationalisme… En d’autres termes, les risques de dérives fascistiques sont très grandes partout où le socialisme règne en maître, en raison justement des liens étroits qui l’unissent au nationalisme. En passant, est-ce que l’Union soviétique fut un bel exemple de liberté d’expression? Non. Le socialisme mène à la même bêtise totalitaire que le fascisme. Seule la tonalité est différente.

Et d’après vous, est-ce que les syndicats québécois accepteraient volontiers de voir apparaître des écoles libres? Sûrement pas. Après tout, les syndicats sont des mafias légales, organisées en fait pour exploiter les travailleurs qu’elles sont supposées protéger et défendre, en leur arrachant de force des cotisations de toutes sortes, dont les fameuses cotisations pour l’assurance-maladie qu’ils administrent eux-mêmes parfois… Combien s’en mettent-ils dans les poches en bout de ligne avec cette combine, je ne sais pas. Mais il demeure que notre peuple doit lutter contre toute une série d’exploiteurs en tout genre et c’est pour ça que l’école est si mauvaise. Comme tout le monde en a rien à foutre du développement des enfants, comme tous ne pensent qu’à piger dans le pot de biscuits à nos dépens, notre peuple ne cesse de régresser. Nos écoles vont rester des prisons pour longtemps, tant que ce socialisme de toilettes publiques ne passera pas à la guillotine de la sagesse de la tradition.

Bank shareholders refuse to bite into the apples of social-feminism

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That’s the spirit of the Resistance, folks! Anytime there are signs of a totalitarian ideology showing its face, we must react and fast. Because when we allow these stupid quotas to be considered in the management of our institutions and companies, we open the door for mediocrity. Institutions, businesses, companies, governments must have the best people in charge, period. Whether they are white, black, blue, handicaped, female, male, young, old, native, immigrant, native, extraterrestrial or from this very Earth, is not relevant. A nation builds its strength and power by giving opportunities to those who can make a difference. To hire somebody based on something else than his or her competence is stupid and unacceptable. Congratulations, shareholders! You stood up against socialism and feminism!

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