Le Parti Québecois est le seul parti qui représente réellement le peuple québécois. Alors que le Parti Libéral n’est que corruption, collaboration et soumission, que Québec Solidaire fait le jeu de puissances étrangères hostiles au Québec, que la CAQ de François Legault présente une plateforme floue, disparate, qui cache on ne sait quel agenda, et qu’Option Nationale ne sera probablement qu’un furtif bâillement dans l’histoire politique du Québec, le Parti Québécois est la seule organisation politique en mesure de se lever pour défendre les intérêts des Québécois. La division du vote à gauche ne peut qu’être fatale pour les Québécois car elle risquerait de reporter Charest au pouvoir, ce qui serait une catastrophe, voire un cauchemar. Bien sûr, aucun parti politique n’est parfait et le premier mandat du Parti Québécois ne le sera pas non plus. Mais une chose est sûre: Si on veut se débarrasser de la corruption, il n’y a pas d’autre solution. La corruption ne va que continuer sous les Libéraux. Pour ce qui est de la CAQ, on ne sait pas pour qui exactement François Legault travaille, à qui il répond ou de qui il prend ses directives. En effet, la « programme » qu’il présente au Québécois est un bric-à-brac confus de mesures dont on ne sait à qui elles vont profiter. Pour ma part, j’en viens à la conclusion que la CAQ n’est que l’effet miroir, à droite, de ce que représente Québec Solidaire à gauche. Ces deux partis, Québec Solidaire et la CAQ, tentent de mettre la main sur les richesses du Québec pour des intérêts qui ne sont pas québécois ou qui sont hostiles au peuple québécois. C’est pourquoi, le 4 septembre prochain, on doit voter Parti Québecois.
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L’intimidation dans les écoles du Québec: « Il va falloir faire en sorte »…
Cette entrevue de Chantale Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d’établissements d’enseignement, avec Benoit Dutrizac du 98,5 FM est fort révélatrice. Nous pouvons bien dire ce que nous voulons, le Québec reste une société matriarcale, féminine, gauchiste et molle. C’est la réalité. En écoutant cette entrevue, vous aurez l’occasion de sentir toute l’exaspération de l’animateur radio qui n’en peut plus d’entendre toujours les mêmes arguments bidon, les mêmes formules creuses, les mêmes rationalisations de caniveau. On peut tous les résumer par la formule suivante, qui était utilisée ad nauseam voilà quelques années. Il est vrai qu’on l’entend moins depuis un certain temps mais elle demeure fort pertinente pour décrire la mentalité des Québécois en matière de gestion de problèmes: « Il va falloir faire en sorte ». Dans le fond, elle pourrait très bien remplacer le « Je me souviens », puisqu’on ne se souvient de rien de toute façon. Lorsqu’on dit « il va falloir faire en sorte », au fond, on dit quoi? On dit qu’il serait bon que quelqu’un s’occupe de ce problème. Or, ce quelqu’un, c’est personne car il n’y pas âme qui vive qui fera quoi que ce soit pour s’en occuper, puisque personne n’est responsable. Chantale Longpré n’utilise pas cette formule durant cette entrevue, mais elle est sous-entendue et partie intégrante de la culture fonctionnariste et bureaucratique où Madame Longpré évolue, qui est celui du monde de l’enseignement.
Voyez-vous, les réformes de la Révolution Tranquille ont permis au Québec de se moderniser, d’arriver enfin au vingtième siècle et ce avec beaucoup de retard il faut le dire. Elles ont permis de mettre l’Église Catholique en marge de la société, alors que celle-ci prenait beaucoup trop de place et qu’elle empêchait l’épanouissement des citoyens dans la liberté. Elles ont aussi mis un terme à un régime politique qui n’était pas démocratique, le duplessisme, mis en place par feu Maurice Duplessis. Le nouveau régime a créé des programmes sociaux et de nouvelles institutions afin de mieux répondre aux besoins de la population qui était assoiffée de pouvoir enfin s’épanouir dans le monde moderne avec tout ce qu’il comporte. Continuer la lecture
L’agenda caché de François Legault: Vendre Hydro-Québec et remettre la province sur un plateau d’argent au secteur privé?
Il est extrêmement rare que je sois d’accord avec Jean Charest. C’est pourquoi vous feriez mieux d’encercler cette date sur votre calendrier car elle risque de passer à l’histoire. Comme l’évoque Jean Charest dans cet article publié sur le site web du 98,5 FM, François Legault a apparemment un agenda caché qui serait, selon mes sources, celui de vendre Hydro-Québec, entre autres choses. Je me le suis fait dire par des gens qui sont à l’intérieur du Parti Québécois. L’argumentaire est que vendre Hydro-Québec nous permettrait de payer la dette accumulée. Monsieur Legault oublie cependant qu’Hydro-Québec rapporte plus de trois milliards de dollars par année au gouvernement, selon les chiffres officiel de 2009. Si Hydro-Québec est vendu ces revenus vont nécessairement disparaître, ce qui entraînera la nécessité de hausser les impôts pour compenser. Je m’adresse ici au lecteur: Si vous perdiez votre emploi, la solution serait-elle que vous vendiez vos meubles ou votre automobile, et non pas trouver un autre emploi?
Plus précisément, je crois deviner que François Legault se sentirait peut-être attiré par le modèle qu’a développé Mussolini pour l’Italie et qu’on appelle l’État corporatiste. Il s’agit d’un modèle économique de droite où les activités économiques sont données au secteur privé, organisées sous le modèle de cartels ou monopoles. Un monopole se produit lorsque toute l’activité d’un secteur de l’économie est contrôlée par un acteur unique. Dans les cas d’Hydro-Québec, de la SAQ, de Loto-Québec, etc, se sont des monopoles mais contrôlés par l’État du Québec, donc qui rapportent de l’argent à tous les citoyens et contribuent ainsi à alléger leur fardeau fiscal et à financer les programmes sociaux. Si nos sociétés d’État sont vendues, nos impôts vont nécessairement augmenter…et je crois vous entendre dire ici que l’on en paie déjà assez comme cela. Aussi, et même si notre dette est payée, on devra réemprunter pour financer de nouveaux projets, puisque nos revenus seront inférieurs de façon récurrente à tous les ans.
Si François Legault a en tête de vendre Hydro-Québec et les autres sociétés d’État, qu’est-ce qui l’empêchera ensuite de remettre au secteur privé l’ensemble de nos outils collectifs, comme les systèmes de santé et d’éducation, la Caisse de dépôt et placement, etc? Le problème des Québécois, et ils ne sont pas les seuls dans le monde à cet effet, est qu’ils ont perdu confiance dans leurs politiciens appartenant au Centre du spectre politique, Libéraux comme Péquistes. Ils préfèrent prêter oreille aux sirènes trompeuses et mensongères de la gauche et de la droite, au grand plaisir des Québec Solidaires, François Legault et autres. Si les Québécois élisent l’une ou l’autre de ces options, nous sommes fichus. Un appauvrissement massif et une décroissance spectaculaire s’en suivront, ce qui entraînera encore plus de mesures menant au totalitarisme et la fin de la démocratie au Québec. J’appelle tous les Québécois à ne pas succomber à ces messagers du suicide économique collectif et à rester solidaire de l’idéal et de l’esprit démocratique.