Pour rappeler les faits brièvement, le ministre Benoit Charette du gouvernement de la CAQ au Québec a été chassé de la Marche pour le Climat vendredi dernier par certains manifestants qui s’y trouvaient. Ce qui est à noter, c’est que Gabriel Nadeau-Dubois, porte-parole de Québec Solidaire, y a tenu des propos qui semblaient justifier l’expulsion du ministre. En fait, ce qui est à comprendre ici, c’est que GND a probablement été amené à devenir le porte-parole de Québec Solidaire pour essayer justement de donner un visage de respectabilité au parti, ce que Amir Khadir et Françoise David n’avaient pas réussi à faire. Or, on voit bien ici que, malgré l’allure présentable de GND, ses cheveux courts, sa barbe bien taillée et son style de jeune professionnel d’une tour à bureaux du centre-ville de Montréal, il n’a pu s’empêcher de laisser filtrer la vraie nature du parti politique qu’il représente. Québec Solidaire est un parti de brutes, de fiers-à-bras, et les propos tenus par GND en ont été l’illustration flagrante. Le masque est tombé. Et la question qui se pose ici est la suivante: Si les militants de Québec Solidaire peuvent se permettre d’essayer d’intimider un ministre, pourquoi penseriez-vous qu’ils n’essayeront pas de vous intimider, vous, les citoyens, s’ils arrivent à prendre le contrôle de votre comté électoral? Pensez-y au moment de voter le 3 octobre. On peut entendre les propos de GND dans la vidéo contenue dans l’article suivant, au tout début.
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Le député Martin Lemay dénonce l’avancée des groupes d’extrême-gauche au Québec
Ezra Levant makes the connections between the history of Communism and the modern Occupy movement
Great job, Mr Levant. To see the whole conference by Bezmenov Levant refers to, see this ealier post. To continue studying the influence of marxist-leninist and socialist ideas in Quebec, check this other post as well. I join two other posts on the influence of such ideologies and their impact on western societies as a whole.
Political Correctness: Another tool to subvert western societies
L’opération de déstabilisation du Québec, deuxième chapitre: L’ascension fulgurante de l’archange-Gabriel Nadeau-Dubois
Dans un article précédent, je vous ai parlé du scandale de la corruption dans l’industrie de la construction du Québec. À l’époque, je présentais le tout comme étant une campagne de salissage menée par la gauche québécoise, dans le but évident d’affaiblir le Parti Libéral du Québec, lui qui demeure l’emblème même de la démocratie libérale québécoise à l’intérieur du Canada. Et je dois rajouter aujourd’hui que cela fait sans doute parti aussi d’une stratégie pour contrebalancer l’arrivée au pouvoir d’un gouvernement de droite à Ottawa. Bien que je signe toujours cette interprétation, je crois maintenant que cela va beaucoup plus loin en fait. Ce qui se passe au Québec présentement dépasse le cadre d’une simple campagne de salissage. Il s’agit selon moi d’une opération de déstabilisation du Québec, visant non pas simplement à renverser le gouvernement en place mais plutôt à renverser le régime de démocratie libérale que nous avons depuis une cinquantaine d’années, pour le remplacer par un régime d’extrême-gauche d’inspiration communiste ou marxiste-léniniste, selon le modèle cubain ou iranien, par exemple.
Afin de bien comprendre l’ampleur de l’opération, on doit remonter dans le temps jusqu’au « scandale des commandites ». Le scandale des commandites a ni plus ni moins détruit le Parti Libéral du Canada, ainsi qu’affaibli le Bloc Québecois qui en était le contre-pouvoir, ce qui a ouvert la voie aux Conservateurs et aux Néo-Démocrates. Ces deux partis politiques ont-ils manœuvré, ensemble ou de part et d’autre, de façon à faire advenir ce « scandale », la question se pose sûrement. Mais une chose est sûre, la démocratie libérale au Québec s’en trouve ébranlée et le peuple québécois ne peut qu’en sortir perdant. Ensuite, plus récemment, il y a eu le scandale cette fois de l’industrie de la construction, qui lui a affaibli grandement le Parti Libéral du Québec. Le parti de gauche Québec Solidaire et son leader Amir Khadir en sont sortis les grands gagnants, alors que le Parti Québécois restait en touche plus ou moins. Question: Ne trouvez-vous pas curieux qu’Amir Khadir, durant tout l’épisode du scandale de la corruption dans l’industrie de la construction, se soit toujours retrouvé à la bonne place au bon moment pour « récupérer la balle au bond », pour reprendre l’expression de certains commentateurs politiques? Amir Khadir s’est avéré tellement bon pour « récupérer la balle au bond » que l’on a l’impression que le script de ce qui allait se jouer lui a été remis à l’avance…mais par qui? Continuer la lecture