Stefan Lanka est biologiste et virologue. Ses travaux sur les virus l’ont amené à remettre en question les thèses officielles de la virologie et de l’épidémiologie, basées sur la vieille théorie des germes. Parmi ses principaux faits d’armes, le docteur Lanka a réussi à prouver dans une cour de justice en Allemagne que le virus de la rougeole n’a jamais été isolé ni caractérisé. Lors d’une étude de biologie, il réussi à voir et isoler un virus dans une algue marine. L’algue en question était pourtant en parfaite santé. Le docteur Lanka affirme que la virologie a pris un mauvais tournant en 1954 lorsque la conception de ce qu’est un virus et le rôle joué par les bactéries ont changé. À voir absolument.
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Conversation entre David Icke et un compatriote à propos de la pandémie
Kevin McKernan et Bobby Malhotra expliquent pourquoi les tests de détection de la Covid-19 n’ont aucune valeur
Naomi Wolf reçoit en entrevue Kevin McKernan et Bobby Malhotra, deux spécialistes dans le domaine de la génomique. J’ai déjà publié une entrevue avec Kevin McKernan que vous pourrez consulter en visitant le lien fourni juste après la vidéo. Cette entrevue fait suite à certains développements dans le milieu scientifique des tests PCR en lien avec la Covid-19. En gros, voici la situation. Une équipe de chercheurs a publié en janvier 2020 un protocole de détection du SARS-CoV-2 responsable de la Covid-19. Ce protocole est désigné en anglais sous le vocable de Corman-Drosten paper (du nom des deux scientifiques qui apparaissent au début et à la fin de la liste de l’équipe de chercheurs). C’est ce protocole qui a été utilisé jusqu’à aujourd’hui pour procéder aux tests de dépistage de la Covid-19 et pour en analyser les résultats. Une équipe de chercheurs indépendants, dont font partis McKernan et Malhotra, ont publié une demande de rétractation en novembre 2020 à Eurosurveillance, l’organisme qui avait publié le protocole de Corman-Drosten. Ils allèguent dans cette lettre que le protocole de Corman-Drosten contient au moins dix erreurs fondamentales et que le processus de revue par les pairs n’a pas eu lieu, puisque le délai entre le dépôt du document et son acceptation et trop court (24 heures). Une version complète de leurs observations scientifiques est disponible sur leur site web. L’entrevue passe en revue les différents problèmes auxquels les deux chercheurs ont été confrontés lors de l’analyse du protocole de Corman-Drosten. Entre autres faits importants, ils rappelent que l’équipe de Corman-Drosten n’avait pas en leur possession le virus lui-même isolé et purifié. Ils ont donc travaillé à partir d’une séquence fournie par une base de données! Aussi, l’équipe de Corman-Drosten ne pouvait pas garantir que leur protocole ne donnent pas de résultats positifs aux autres coronavirus comme le rhume, la grippe, etc. Aussi, McKernan fait remarquer que le nombre de cycles d’amplification du test PCR aurait été mis à 45 par l’équipe Corman-Drosten, ce qui est incroyable. De plus, ils n’ont pas spécifié le nombre exact de cyles d’amplification à partir duquel on considère quelqu’un «positif» (cycle threshold). Un autre point important est le manque de contrôles internes du protocole permettant de s’assurer que les échantillons ne sont pas contaminés et que le processus d’analyse lui-même ne mène pas à leur contamination. À voir absolument. Ne manquez pas non plus l’entrevue précédente avec Mckernan que j’ai mis en référence.