David Icke fait le bilan de l’opération de la covid-19, suivi d’une analyse de l’arnaque des changements climatiques

David Icke a bien raison. Nous ne devons jamais oublier les crimes qui ont été commis durant la phase ‘covid’ de la Grande Réinitialisation. Ceux qui les ont perpétrés devront faire face à la justice, un jour ou l’autre. La deuxième vidéo présente comment l’inflation provoquée par la montée du prix du pétrole s’inscrit parfaitement dans le plan de match de l’arnaque des changements climatiques.

David Icke sonne l’alarme sur l’arnaque de la pandémie et de la Grande Réinitialisation

David Icke est en feu et à son meilleur. Ne manquez pas ça.

Joe Imbriano fait le point sur la situation actuelle de l’arnaque de la covid-19

Joe Imbriano dans cette vidéo fait remarquer, avec justesse, que les virus ne sont pas la cause des maladies mais plutôt leur manifestation. Les virus font parti de «l’équipe de réparation» qui se met en action pour guérir le corps qui est malade. La médecine allopathique, de concert avec l’industrie pharmaceutique, blâme les virus comme étant la cause des maladies, ce qui justifie la création incessante de nouveaux vaccins et médicaments. Joe Imbriano passe également en revue plusieurs faits marquants de l’histoire des supposés virus, des agents toxiques auxquels les humains ont été exposés et fait le lien avec le déploiement du réseau 5G et de l’utilisation des armes électromagnétiques. À voir.

Des particules lumineuses ont été trouvées dans des écouvillons servant aux tests de dépistage de la covid-19

Quelqu’un a eu la bonne idée d’analyser le matériau des écouvillons dont on se sert pour adminstrer les tests PCR de dépistage de la covid-19. Dans ce cas-ci, il s’agit du test que l’on peut faire soi-même à la maison et non pas celui que l’on reçoit dans un centre de dépistage. Les gens qui ont fait cette expérience (ils semblent être deux) ont défait le revêtement de l’écouvillon en petits morceaux pour ensuite analyser ceux-ci. Et ils ont fait une découverte incroyable. Imaginez-vous donc que certains de ces petits morceaux émettent de la lumière! On dirait bien qu’il s’agit de nanotechnologies et cela se trouve dans un écouvillon qui sert à administrer le test PCR? C’est assez incroyable mais pas surprenant si on considère que nous sommes dirigés par des psychopathes. Après avoir vu cela, pensez-vous toujours que ce test sert à faire le dépistage de la covid-19? Ne pensez-vous pas qu’il sert plutôt à aller mettre ces nanoparticules au fond de notre nez? Réveillez-vous. Rien de ce que disent les gouvernements n’est vrai.

Kevin McKernan et Bobby Malhotra expliquent pourquoi les tests de détection de la Covid-19 n’ont aucune valeur

Naomi Wolf reçoit en entrevue Kevin McKernan et Bobby Malhotra, deux spécialistes dans le domaine de la génomique. J’ai déjà publié une entrevue avec Kevin McKernan que vous pourrez consulter en visitant le lien fourni juste après la vidéo. Cette entrevue fait suite à certains développements dans le milieu scientifique des tests PCR en lien avec la Covid-19. En gros, voici la situation. Une équipe de chercheurs a publié en janvier 2020 un protocole de détection du SARS-CoV-2 responsable de la Covid-19. Ce protocole est désigné en anglais sous le vocable de Corman-Drosten paper (du nom des deux scientifiques qui apparaissent au début et à la fin de la liste de l’équipe de chercheurs). C’est ce protocole qui a été utilisé jusqu’à aujourd’hui pour procéder aux tests de dépistage de la Covid-19 et pour en analyser les résultats. Une équipe de chercheurs indépendants, dont font partis McKernan et Malhotra, ont publié une demande de rétractation en novembre 2020 à Eurosurveillance, l’organisme qui avait publié le protocole de Corman-Drosten. Ils allèguent dans cette lettre que le protocole de Corman-Drosten contient au moins dix erreurs fondamentales et que le processus de revue par les pairs n’a pas eu lieu, puisque le délai entre le dépôt du document et son acceptation et trop court (24 heures). Une version complète de leurs observations scientifiques est disponible sur leur site web. L’entrevue passe en revue les différents problèmes auxquels les deux chercheurs ont été confrontés lors de l’analyse du protocole de Corman-Drosten. Entre autres faits importants, ils rappelent que l’équipe de Corman-Drosten n’avait pas en leur possession le virus lui-même isolé et purifié. Ils ont donc travaillé à partir d’une séquence fournie par une base de données! Aussi, l’équipe de Corman-Drosten ne pouvait pas garantir que leur protocole ne donnent pas de résultats positifs aux autres coronavirus comme le rhume, la grippe, etc. Aussi, McKernan fait remarquer que le nombre de cycles d’amplification du test PCR aurait été mis à 45 par l’équipe Corman-Drosten, ce qui est incroyable. De plus, ils n’ont pas spécifié le nombre exact de cyles d’amplification à partir duquel on considère quelqu’un «positif» (cycle threshold). Un autre point important est le manque de contrôles internes du protocole permettant de s’assurer que les échantillons ne sont pas contaminés et que le processus d’analyse lui-même ne mène pas à leur contamination. À voir absolument. Ne manquez pas non plus l’entrevue précédente avec Mckernan que j’ai mis en référence.

Entrevue avec Kevin McKernan sur les différents problèmes qui annulent la crédibilité du protocole de détection du SARS-CoV-2