Jane Ruby s’entretient avec la docteure Youngmi Lee sur la toute nouvelle étude publiée dernièrement sur les injections pour la covid-19, partie 3

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Karen Kingston analyse la nouvelle étude publiée par la docteure Youngmi Lee et Daniel Broudy sur les injections pour la covid-19, suivi du film Final Days

La nouvelle étude publiée par Youngmi Lee et Daniel Broudy est une confirmation extraordinaire des travaux et expériences de laboratoire de certains chercheurs. Karen Kingston, qui est une experte légale, a étudié à fond les brevets relatifs aux nanotechnologies et aux vaccins. C’est ainsi qu’elle a pu établir que les injections pour la covid-19 contenaient des nanotechnologies qui allaient changer à jamais la nature du corps humain et l’amener vers la biologie synthétique et le transhumanisme. Ses travaux ont inspiré des chercheurs dans les domaines scientifique et médical, comme la docteure Ana Maria Mihalcea, le docteur David Nixon, le chercheur Shimon Yanowitz et l’ingénieur Mat Taylor par exemple, à entreprendre des expériences de laboratoire afin de corroborer et confirmer la présence de ces nanotechnologies dans les injections pour la covid-19, et ce avec succès. L’étude de Youngmi et Broudy n’en est qu’une confirmation supplémentaire, détaillée et systématique. Karen Kingston a fait un travail de pionnier qui a permis de lancer un grand mouvement de vérité scientifique. Les ‘vaccins’ pour la covid-19 ne sont pas des vaccins. Ce sont des armes nanotechnologiques visant à changer la nature du corps humain pour l’amener vers la biologie sythétique et le transhumanisme. Toute mes félicitations à Karen Kinsgton pour son travail remarquable. Bravo! Je joins le lien de l’étude en question, l’article de la plateforme Substack où elle en fait l’analyse, ainsi que le film Final Days où elle apparaît comme analyste.

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

‘MILLIONS of Self-Assembling Nanotech Entities’ in COVID-19 Injections by Karen Kingston

400x magnification of 54 COVID-19 vials further confirms mRNA injections contain millions of undisclosed, bioengineered ‘smart’ entities that respond to electromagnetic signals and are highly toxic.

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La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec la docteure Youngmi Lee et Daniel Broudy sur leur toute dernière étude concernant les injections pour la covid-19

La docteure Ana Maria Mihalcea s’entretient avec la docteure Youngmi Lee et Daniel Broudy sur leur étude nouvellement publiée sur les injections pour la covid-19. Cette étude démontre hors de tout doute que les injections pour la covid-19, frauduleusement présentées comme étant des vaccins, contiennent toute une série de nanotechnologies qui s’assemblent, se désassemblent et se construisent par elles-mêmes. Ces nanotechnologies sont toujours présentes dans les échantillons humains (sang, sperme, etc) même plus de deux ans après l’injection. Aussi, ces nanotechnologies ont la propriété de répondre aux radiations électromagnétiques. En effet, elles s’activent de façon spectaculaire lorsque elles sont en présence d’une source de radiation comme un routeur ou un cellulaire par exemple. L’étude comprend un grand nombre de photos et de vidéos que vous pouvez consulter. Le lien de l’étude en question suit et je joins également l’article de la docteure Ana Maria Mihalcea sur le sujet. À VOIR ABSOLUMENT ET À PARTAGER SUR TOUTES LES PLATEFORMES.

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Another Confirmation Of Self Assembly Nanotechnology In COVID Bioweapons: Remarkable Longitudinal Study And Culture Work Of COVID Shots For Up To 12 Months And Cellular Toxicity Studies by Ana Maria Mihalcea, MD, PhD

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Jane Ruby s’entretient avec la docteure Youngmi Lee sur la toute nouvelle étude publiée dernièrement sur les injections pour la covid-19, parties 1 et 2

Jane Ruby s’entretient avec la docteure Youngmi Lee sur une étude nouvellement publiée sur les injections pour la covid-19. Cette étude démontre hors de tout doute que les injections pour la covid-19, frauduleusement présentées comme étant des vaccins, contiennent toute une série de nanotechnologies qui s’assemblent, se désassemblent et se construisent par elles-mêmes. Ces nanotechnologies sont toujours présentes dans les échantillons humains (sang, sperme, etc) même plus de deux ans après l’injection. Aussi, ces nanotechnologies ont la propriété de répondre aux radiations électromagnétiques. En effet, elles s’activent de façon spectaculaire lorsque elles sont en présence d’une source de radiation comme un routeur ou un cellulaire par exemple. L’étude comprend un grand nombre de photos et de vidéos que vous pouvez consulter. Le lien de l’étude en question suit. À VOIR ABSOLUMENT ET À PARTAGER SUR TOUTES LES PLATEFORMES.

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Jane Ruby présente l’étude du docteur Young Mi Lee et de Daniel Broudy sur les anomalies retrouvées dans les injections pour la covid-19

L’étude du docteur Young Mi Lee et de Daniel Broudy est de haut niveau. Elle confirme les données que les membres du mouvement pour la liberté en santé ont amassées depuis décembre 2020. J’ai mis les liens de l’étude en bas de page. Durant la vidéo, Jane Ruby montre des images de l’étude de certaines des structures artificielles qui ont été trouvées dans les injections pour la covid-19 depuis leur déploiement en décembre 2020. Jane Ruby a pris la peine de faire une émission spéciale sur le sujet et on peut certainement le souligner. Jane Ruby de façon générale fait un bon de travail de réinformation en santé et ses analyses sont toujours très pertinentes.

Mais, en toute honnêteté, je dois vous avouer que je suis déçu par son attitude dans ce dossier. Cela ne date pas d’hier mais la sortie de cette étude et la réaction de Jane Ruby m’ouvre la porte toute grande pour que j’intervienne ici. Voyez-vous, cela fait trois années que la docteure Ana Maria Mihalcea et d’autres chercheurs comme le docteur David Nixon, l’ingénieur Mat Taylor, Shimon Yanowitz, etc, ont fait des découvertes importantes soit sur le contenu des injections pour la covid-19 ou encore sur la composition du sang après la réception de l’injection. Ces chercheurs ont publié leurs résultats sur de nombreuses plateformes et ce à plusieurs reprises. Or, à l’ère d’internet, Jane Ruby ne peut pas plaider qu’elle ignorait leurs travaux. De toute évidence, Jane Ruby est très au fait des découvertes de ces chercheurs mais elle a décidé, pour des raisons qui lui appartiennent, de ne pas en parler et de ne pas inviter ces chercheurs lors ses émissions sur Rumble. Jane Ruby a mentionné à plusieurs reprises les travaux de l’équipe espagnole La Quinta Columna mais jamais, à ma connaissance, ceux des docteurs Ana Maria Mihalcea et David Nixon, de l’ingénieur Mat Taylor ou du chercheur Shimon Yanowitz.

Cette attitude, malheureusement, est encore très répandue dans la communauté des activistes pour la liberté en santé. Ces activistes ont tendance à fonctionner en vase clos. Ils parlent et invitent toujours les mêmes personnes et rejettent tout contact avec des gens qui ne font pas parti de leur cercle de personnes de confiance. Cela doit changer sinon, nous ne gagnerons jamais notre combat contre les forces du Nouvel Ordre Mondial. Jane Ruby affirme que l’on ne connaît pas exactement les éléments du contenu des injections pour la covid-19 et donc, que l’on ne peut pas entreprendre un processus de désintoxication afin de nettoyer l’organisme. Le problème, c’est que cela prendra des années sinon des décennies afin que l’on ne le sache exactement. On ne peut pas attendre tout ce temps. Ce que l’on peut faire est de, comme on le dit en anglais, un ‘educated guess’, une estimation basée sur les données en notre possession. Cette estimation peut nous permettre de mettre en place un protocole de désintoxication qui, avec le temps, pourra être amélioré et affiné. Comme on peut le voir ici, Jane Ruby a délibérément refusé de publiciser les résultats des chercheurs comme Mihalcea, Nixon, Taylor et Yanowitz, pour tout simplement attendre que d’autres chercheurs présentent les mêmes découvertes avant d’en parler à son émission. C’est totalement inacceptable. Ce genre de comportements doit changer immédiatement et Jane Ruby n’est pas la seule à tomber dans ce piège. Je le vois à tous les jours lorsque je fais le monitoring des nouvelles publications de la communauté des activistes du mouvement pour la liberté en santé. La docteure Ana Maria Mihalcea a également réagi à l’étude de Mi Lee et Broudy et je joins le lien en bas de page.

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructions in Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Real-Time Self-Assembly of Stereomicroscopically Visible Artificial Constructionsin Incubated Specimens of mRNA Products Mainly from Pfizer and Moderna: A Comprehensive Longitudinal Study

Another Confirmation Of Self Assembly Nanotechnology In COVID Bioweapons: Remarkable Longitudinal Study And Culture Work Of COVID Shots For Up To 12 Months And Cellular Toxicity Studies by Ana Maria Mihalcea, MD, PhD

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