Fall of the Republic: See the Exclusive Mind-Blowing Coverage of the Southern Border Collapse
Economic Bomb Hits Gate 42 at US Southern Border, Owen Shroyer Reports
Ce reportage a été réalisé dans le cadre du second voyage de l’équipe d’Infowars dans la ville de McAllen au Texas, afin d’enquêter sur l’immigration illégale aux États-Unis. Cette fois-ci, ils découvrent un centre de trafic d’immigrants illégaux hébergé à même les installations d’une église. Pour consulter les premières images de ce voyage, visitez le lien après la vidéo.
Owen Shroyer, qui se trouve à la frontière mexicano-américaine pour un reportage spécial, rapporte aujourd’hui que certains des immigrants illégaux qui arrivent à l’aéroport de McAllen embarqueraient à bord d’avions privés dans la partie privée de l’aéroport. Où sont-ils emmenés et dans quel but?
Une semaine chargée pour Owen Shroyer qui continue son bon travail à la frontière mexicano-américaine, dans l’état du Texas.
Voici trois vidéos qui ont été tournées à la frontière mexicano-américaine, entre autres dans la localité de McAllen, au Texas. On y voit des processions d’immigrants illégaux se déplaçant d’un centre de tri vers un autre, comme par exemple d’un centre de dépistage de la covid-19 vers un organisme de charité catholique. Beaucoup de femmes présentes dans ces groupes semblent être enceintes. La quantité de personnes est importante, puisque ce trafic semble être continu 24/24hrs.
J’aimerais attirer votre attention sur un petit détail qui a échappé à Owen Shroyer. Le groupe de femmes qui se déplaçait de nuit était filmé par au moins deux autres individus ou médias. L’un d’eux, tenant une perche-selfie, lorsqu’il est arrivé à la hauteur d’Owen Shroyer (5:24 minutes de la première vidéo), a semblé dire, en espagnol, «America Primero». Était-ce pour se moquer du slogan du Président Trump, «America First» et de la situation? Visiblement, Owen Shroyer ne parle pas espagnol. Sinon, il n’aurait pas manqué ce détail significatif. J’ignore pour quelle organisation cet homme travaille mais disons que c’est un commentaire qui est tout à fait cohérent avec l’attitude du type d’immigrants que l’on reçoit depuis plusieurs années dans nos pays occidentaux. Non seulement ils nous envahissent mais ils nous narguent en plus. Il faut dire que Joe Biden leur a dit de se présenter en grand nombre et que tout le monde était le bienvenue.
La dernière vidéo montre des images de l’intérieur de l’aéroport de McAllen. On y voit une femme assistant les illégaux afin qu’ils prennent un vol pour se rendre à leur destination finale, alors qu’ils n’ont visiblement aucun papier. Or, ce qui est vraiment intéressant, c’est qu’on peut apercevoir sur une des jambes de cette femme un tatouage semblant représenter Santa Muerte, la figure de sainteté « protégeant » le groupe criminel MS-13. Selon l’équipe d’Infowars, il existerait plusieurs variations de ce tatouage en lien avec les factions auxquels les membres appartiennent.
Alex Jones et son équipe se trouvaient au Texas pour un reportage sur la frontière mexicano-américaine. Selon ses dires, lorsqu’ils se déplaçaient sur la rue, ils ont aperçu un véhicule dans lequel un grand nombre d’enfants embarquaient. Comme cela semblait louche, ils sont intervenus pour empêcher ce qui ressemblait vraiment à du trafic d’enfants. Bien joué!
Dans la seconde vidéo, Alex Jones résume la situation du flot de migrants alors qu’il se trouve à la frontière physique entre le Mexique et les États-Unis, constituée par la rivière Rio Grande.
La vidéo du lanceur d’alerte a été tournée sous le pont Anzalduas International Bridge, à Granieno au Texas, par l’équipe de Project Veritas, tandis que le reportage de Greg Reese a été effectué dans la localité de McAllen au Texas.
Owen Shroyer a rencontré des migrants qui arrivaient au Texas avec des enveloppes (d’argent?). Ces migrants ne parlent pas anglais et semblent complètement perdus. Ils ne savent pas où aller ni quoi faire. La situation est étrange mais elle correspond tout à fait à l’état d’effondrement de la frontière mexico-américaine où les trafiquants humains et de drogues font la loi. L’adminstration Biden pour sa part en profite, entres autres, pour faire venir des électeurs.