Marine Le Pen répond à des questions sur les femmes à ELLE.fr

Cette entrevue de Marine Le Pen mérite d’être diffusée largement. Elle est incroyable. Pourquoi? Parce qu’elle prend le contrepied de toutes les jérémiades que l’on nous a ressassées  constamment pendant des années et qui tendaient à victimiser les femmes, à les maintenir dans l’infantilisme de façon permanente, comme des fillettes. Elle le dit elle-même durant l’entrevue, « les femmes sont des Français. Elles ne sont pas des enfants ». Wow! Que c’est merveilleux d’entendre cela! Après toutes les âneries que nous, les hommes, avons dû entendre et endurer depuis les années soixante, cela fait du bien. Moi qui suis Québécois, je peux vous dire qu’on en a bavé avec les féministes à barbe du passé. Si l’on osait dire ce que Marine Le Pen dit durant cette entrevue, on se faisait traiter de machiste, macho, misogyne ou que sais-je encore. Les femmes sont des adultes à part entière, qu’on se le dise. Bravo!


Une solution simple et facile pour le Pont Champlain: Saisir les impôts qui s’en vont à Ottawa…

Je suis royalement écoeuré du niaisage entourant le Pont Champlain. De toutes évidences, les responsables du Gouvernement fédéral s’en foutent éperdument. Le Québec a voté NPD, tant pis pour eux, qu’ils doivent se dire. Eh bien, j’ai une idée qui pourrait régler le problème une fois pour toute. Le Gouvernement fédéral ne veut pas payer pour faire construire un nouveau Pont Champlain alors que celui-ci relève de juridiction fédérale? Ce n’est pas un problème. Tout ce que le Gouvernement du Québec a à faire est d’effectuer une saisie sur les millions de dollars par semaine que les Québécois envoient à Ottawa prélevés à même les déductions fiscales faites par les employeurs. On évalue que le nouveau pont coûterait environ trois milliards de dollars. Mais on doit rajouter à cela le « bonus » de 30% qui va aux entrepreneurs et firmes de génie-conseil, plus l’inflation et les imprévus, ça nous donne une facture qui se situe quelque part entre trois et quatre milliards de dollars. Quand on aura ramassé cette somme, on aura qu’à lever la saisie.

Évidemment, pour faire cela, ça prend des leaders qui ont des couilles. Or, des couilles au Québec, par les temps qui courent, on en trouve pas beaucoup. Même que si l’on devait mettre toutes les couilles que l’on peut trouver ici dans une cabine téléphonique avec quelqu’un dedans, cet individu pourrait encore respirer sans risque de perdre connaissance. Moi, si j’étais au pouvoir, c’est ce que je ferais, saisir les impôts. Et lorsque Ottawa ferait entendre son indignation face à la saisie, je leur dirais tout simplement de construire le pont eux-mêmes s’ils ne sont pas contents…

Les problèmes du Québec ne sont pas reliés aux ressources, à l’expertise, à l’économie ou à d’autres raisons. Ils sont reliés au leadership. Lorsque les gouvernants d’un pays mettent en place des commissions, états généraux, enquêtes et exercices de consultation à n’en plus finir au lieu de tout simplement décider et d’aller de l’avant, ça donne le résultat que l’on a au Québec. Quand Jean Charest se lève le matin, est-ce qu’il commande un étude pour savoir quelles céréales il va manger? C’est à croire que si.

Les garderies en milieu familial et les familles d’accueil au Québec: Des nids d’abuseurs sexuels?

Cette semaine, suite à un reportage dans le journal La Presse concernant l’état des garderies en milieu familial au Québec, Benoit Dutrizac a abordé la question lors de son émission quotidienne au 98,5 FM. Après avoir interviewé le pédiatre Gilles Lupien, Dutrizac a ouvert les lignes téléphoniques pour sonder l’opinion publique. Or, cela n’a pas pris bien longtemps avant qu’une dame, Anne, appelle pour dire qu’il y avait eu de l’abus sexuel dans la « garderie » où elle avait confié sa petite fille. D’autres appelants ont fait des remarques d’ordre général sur l’organisation des lieux, des services, etc, qui sont venues corroborer les différents éléments présentés dans le reportage de La Presse. Une autre intervenante, Édith, a raconté à Dutrizac comment le conjoint de la propriétaire de sa garderie se promenait nu-pieds continuellement. Édith n’appréciait pas.

Un autre reportage de La Presse publié le lendemain rapporte certains faits relatifs à une garderie de Pierrefonds où le conjoint de la propriétaire, encore une fois, est soupçonné d’avoir commis de l’attouchement sexuel sur les enfants. Sans être psychologue, je crois que j’ai compris « comment ça marche ». Dans la vie, tout est une question de motifs et d’intérêts. Les humains ne font rien sans eux. Question: Qu’est-ce qui peut bien pousser ou motiver des conjoints à transformer leur maison ou leur appartement en garderie en milieu familial ou en famille d’accueil? La réponse est bien simple, elle tombe sous le sens mais, encore une fois, je ne suis pas sûr que ma société soit prête à l’entendre. Grosso modo, la situation semble être la suivante: Une femme peu intéressée par le sexe cherche ainsi à fournir « de la viande » à un conjoint pédophile… Je sais que ça fait mal, mais ça ressemble à cela. Continuer la lecture

Le Doc Mailloux sur la pédophilie

L’excellent Doc Mailloux nous parle ici, dans ce qui apparaît être une entrevue faite par des étudiants, de la pédophilie. Il n’est jamais inutile de revenir sur ce sujet difficile. Les traumatismes reliés à l’abus sexuel sur les enfants sont tellement importants et dans certains cas irréversibles que l’on se doit de réaffirmer sans cesse l’importance capitale de la protection des enfants. Vous vous demandez peut-être quel est le lien entre ce sujet et la ligne éditoriale de ce blog, qui est la lutte contre les systèmes totalitaires? C’est bien simple. Les systèmes totalitaires ne reconnaissent pas de droits aux individus. Ceux-ci doivent se soumettre aux dictats de l’État, des corporations ou de l’Église selon le cas. Ils ne sont pas considérés comme étant des sujets libres, comme dans les sociétés de démocratie libérale par exemple. Ainsi, vous comprendrez que les systèmes totalitaires sont des terreaux fertiles pour la pédophilie et l’abus sexuel en général, puisque comme les individus, enfants compris, ne sont pas considérés comme étant des sujets libres, on peut bien les abuser, cela n’a pas d’importance, ce ne sont que des animaux pensants. Vous vous demandez toujours pourquoi dans l’Église Catholique on trouve des pédophiles à profusion? C’est pour cette raison. Catholique veut dire universel. En d’autres termes, ce qui est décidé par la hiérarchie de l’Église vaut pour tout le monde, fin de la discussion. L’Église n’est pas une démocratie. Les gens qui la gouvernent pensent savoir à la place des humains qu’est-ce qui est bon pour eux, sans les consulter ni prendre en compte leurs besoins et leur réalité. Vous pouvez parier que dans les autres systèmes totalitaires que l’on connaît, et particulièrement dans le nazisme et l’Islam, les pédophiles pullulent à profusion. Les systèmes totalitaires sont faits sur mesure pour favoriser les abus de toutes sortes et il est évident que les pédophiles vont trouver refuge dans ces idéologies, puisque celles-ci leur font entrevoir la possibilité qu’ils puissent assouvir leurs instincts avec l’approbation de la caste dirigeante. Wilhelm Reich, le plus grand médecin ayant marché sur cette Terre, a créé une fondation pour favoriser la poursuite de son oeuvre psychanalytique et psychiatrique, qui s’appelle The Wilhelm Reich Infant Trust, La Fondation Wilhelm Reich pour les enfants. Pourquoi l’a-t-il appelée ainsi? Parce que comme les enfants constituent l’avenir d’une nation, si on les abuse et brutalise, c’est l’avenir lui-même de la nation que l’on met en péril. Les enfants sont notre bien le plus précieux et nous ne devons faire aucun compromis pour les protéger.

Christie Blatchford is back at her Post: Her first task, nailing down anti-prostitution bigots

© Fabrizio Zanier | Dreamstime.com

It is good news for the National Post to have been able to recruit back somebody « behind enemy lines » (for those who don’t know, The Globe and Mail…) Personally, I think she made the right decision, you already know my call on that. She began last tuesday her new but somewhat previous and authentic job on a difficult task: trying to convince the Canadian public that prostitution is not a crime against humanity. Knowing that readers of the National Post may be a little more conservative or conventional possibly than the average one, it was not a small thing. Her article titled « Frank talk from the front lines » about prostitution, of tuesday June 14th, was more in fact a talk from the front lines of journalism itself.

How often do you hear, on the topic of prostitution, the usual following bullshit: prostitutes are all hooked on drugs, they are all beaten by their pimps, they were sexually abused when they were young, they are forced to do it, they don’t have any diploma, they all have STDs, etc? You must hear that on a regular basis. In fact, this is the official rhetoric on prostitution of our phony liberal-trudeauist-relativist ideology that came to prevail in the last decades. With this illusion put forward by the same people who brought confusion in the country using multiculturalism (and that alienated Quebec at the same time) of course, victimization and whining are key elements. It is not conceivable, for these people, that prostitutes could have a normal life, not use drugs, be able to pay their bills, even raise children, etc. They absolutely want to victimize prostitutes, and that says a lot about their psyche… Some of the reader commentaries on her article, published on thursday June 16th, were good illustrations of the incapacity for a large chunk of the public to really understand what prostitution is…because they have never been there. They don’t know what they are talking about.

What is going on between a client and a prostitute is, to begin with, a human relationship. That, the activists of « human rights » and glass knights of « human dignity » and all the other parasites that pollute our democratic life don’t care about. Knowing that they can draw attention by victimizing various groups and whining in their name on whatever issue, they continue to instill this cheap propaganda ad nauseam. I have a proposition for them: why don’t you take the boots, the whip and the lubricant and do it for a while. Then you could talk. I am tired of these bigots who have an opinion on everything but clearly don’t have a clue. There is a saying in the french language: « Ils ont des idées sur tout mais surtout des idées » . Literally translated, it gives « they have opinions on everything but mostly opinions » . That’s what we are dealing with here, anti-prostitution bigots who have an opinion. Blatchford didn’t condemn without knowing. She met with a prostitute in flesh and blood, like a true journalist does, she talked with her, put aside the widely spread propaganda and made her own opinion. That’s honest reporting. I just thought it was important to point that out for you, my followers, and I take the opportunity to welcome her back where she belongs…on this side of the front lines.

Christie Blatchford on Prostitution