L’émission « À bâton rompu » reçoit Oskar Freysinger

Oskar Freysinger présente ici les grandes lignes de son dernier livre sur les ondes de la Voix de la Russie, intitulé De la frontière. Nos leaders politiques occidentaux auraient intérêt à prendre des notes ici, eux qui ne conçoivent même plus ce qu’est une frontière. Comme l’auteur le dit lui-même, une frontière est comme une peau, elle laisse passer ce qui est bon mais elle protège aussi de ce qui être nuisible. Nos leaders ne défendent plus les frontières, que ce soit au niveau de l’immigration ou des droits de douanes, ce qui fait en sorte que tous les vents nuisibles de la mondialisation et de l’américanisation peuvent souffler ici sans entraves. Nos leaders préfèrent vivre avec le terrorisme et l’effrondrement de nos sociétés plutôt que de défendre nos cultures. C’est à n’y rien comprendre.

Contre-djihad 101: L’exemple du Japon…

Cela ne sert à rien, j’aime de plus en plus les asiatiques. Dans beaucoup de dossiers, ils ont exactement la bonne attitude qu’il faut. Comme dans le cas de la lutte contre l’islamisme et la charia, le Japon a adopté des mesures, des lois, des règlements qui rendent pratiquement impossible aux musulmans qui voudraient promouvoir et répandre l’islamisme de le faire. Les données ci-dessous m’ont été fournies par le site Amitiés Québec-Israel. Comme vous pourrez le constater, les Japonais ne lésinent pas sur les moyens à prendre pour contrer l’avancée de l’islam. Ils ont compris que l’islam était une religion rétrograde, dégénérative et qu’elle devait systématiquement être combattue avec force. Cette attitude fait grandement contraste avec la soumission et l’à-plat-ventrisme occidental qui caractérisent notre élite politique, financière et économique. Bonne lecture…

Vous n’avez jamais lu qu’un dirigeant politique ou un premier ministre d’un pays islamique ait visité le Japon? Avez-vous jamais entendu que le roi d’Arabie Saoudite ou le Président Iranien aient visité le Japon? (Il y a eu quatre visites d’un officiel d’Arabie Saoudite au Japon en presque un siècle, et une visite d’un Président Iranien, en 2000). Le Japon impose des restrictions strictes à l’islam et aux musulmans.

1 – Le Japon est le seul pays qui ne donne pas la citoyenneté aux musulmans.

2 – Au Japon les musulmans n’ont pas droit à la résidence permanente.

3 – La propagation de l’Islam au Japon est très mal vue par la population.

4 – Dans les universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelque langue que ce soit.

5 – L’importation de Corans en langue arabe est interdite.

6 – Selon les données du gouvernement japonais, il a été donné le droit à la résidence temporaire à seulement deux musulmans lakhs qui doivent respecter la loi japonaise. Ces musulmans doivent parler le japonais et effectuer leurs rites religieux dans leurs appartements.

7 – Le Japon est le seul pays au monde qui dispose d’un nombre négligeable d’ambassades de pays islamiques.

8 – Les Japonais ne sont pas attirés par l’Islam.

9 – Les rares musulmans résidant au Japon sont des salariés des sociétés étrangères.

10 – Aujourd’hui, le Japon n’accorde plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par des sociétés étrangères.

11 – Dans la majorité des entreprises, il est précisé dans leurs règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour un emploi.

12 – Le gouvernement japonais est d’avis que les musulmans sont des fondamentalistes qui, même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas prêts à changer leurs lois rétrogrades.

13 – Les musulmans peuvent difficilement louer une maison au Japon.

14 – Si quelqu’un apprend que son voisin est musulman, tout le quartier est alerté.

15 – Nul ne peut créer une cellule islamiste ou école islamique au Japon.

16 – La charia n’est pas autorisée au Japon.

17 – Si une femme japonaise se marie avec un musulman, elle est considérée comme une paria.

18 – Selon M. Komico Yagi de l’Université de Tokyo, «il y a un état d’esprit au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et que chacun devrait se tenir à l’écart de cette religion».

19 – Le journaliste indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les attentats du 11 septembre 2001, Il a aussi visité le Japon. Il y a constaté que les Japonais sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au Japon.

20 – Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-président de l’association islamique japonaise répondait: «Franchement, il y a peut-être mille musulmans japonais et le nombre de 30 000 est très largement exagéré».

21 – Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877 mais seulement comme «histoire des cultures».

22 – Le « boom de l’islam » au Japon a été provoqué par l’armée japonaise et date de la seconde guerre mondiale. Une mosquée a été construite à Kobe et une centaine de livres et journaux ont été publiés sur l’islam. L’objectif de l’armée était d’être mieux équipée afin d’acquérir une bonne connaissance de l’islam et des musulmans. En 1945, l’islam a disparu rapidement du Japon.

23 – En 1890, l’ Empire Ottoman a envoyé un vaisseau au Japon dans le but d’entamer des relations diplomatiques et pour présenter l’islam aux Japonais. Le navire s’appelait Ertugrul et sur le chemin du retour, il a coulé avec 609 personnes à bord.

24 – Il y a une trentaine « d’ appartements mosquées » dans tout le Japon.

25 – Les Japonais considèrent que l’islam est une religion étrange de pays sous-développés.

26 – Au Japon, on ne trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni littérature islamique…

Derrick Dortch sur le processus d’investigation menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis

Derrick Dortch continue lors de cette entrevue l’analyse commencée par Fred Fleitz sur la délivrance des cotes de sécurité aux États-Unis. Vous pourrez retrouver l’entrevue avec Fred Fleitz dans cet article précédent. Dortch en profite ici pour aller plus en détails sur le plan technique et logistique, de ce processus. Retrouvez son entrevue avec Frank Gaffney au premier segment.

Derrick Dortch sur Secure Freedom Radio

Fred Fleitz analyse le processus d’enquête menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis

Excellente analyse ici de Fred Fleitz. Depuis quelques années, le processus d’enquête menant à l’obtention d’une cote de sécurité aux États-Unis s’est passablement relâché. Voyez-vous, la NSA donne à des sous-contractants la tache de faire les vérifications nécessaires en ce domaine. Or, il est un fait établi maintenant que des quotas existent quand au nombre quotidien d’approbations à obtenir par les agents des firmes engagées. En d’autres termes, c’est un peu comme à l’usine, les agents de vérification doivent donner un certain nombre de cotes de sécurité, comme un agent de télémarketing doit vendre un certain nombre de balayeuses ou de thermopompes avant de quitter pour la journée. Aussi, ce genre de pratique ne fait qu’accroître les préoccupations liées à la vie privée. Non seulement des cotes de sécurité peuvent être données à des gens qui ne les méritent pas mais, en plus, on ne connaît pas bien le background des agents eux-mêmes travaillant pour ces sous-contractants. Le résultat final est probablement que bon nombre de ces approbations ne valent absolument rien, puisqu’elles sont données par des gens qui ne sont pas des professionnels du renseignement d’une part, et qui, d’autre part, les donnent à n’importe qui pour rencontrer leur quotas. Durant l’entrevue qui suit, Fleitz mentionne que le sous-contractant USIS aurait donné jusqu’à 40% d’approbations totalement bidons. C’est beaucoup.

On peut donc prendre pour acquis que des gens appartenant à des organisations criminelles, islamistes, terroristes, ou tout simplement de pures incompétents, ont ainsi eu accès à nos systèmes des sécurité et à l’infrastructure de nos communications. Pas étonnant qu’on ait tant de problèmes. Suite à l’affaire Snowden, beaucoup de gens se sont affolés que la NSA ne respecterait pas la vie privée des citoyens. Mais, voyez-vous, si des gens lisent vos courriels, écoutent vos conversations téléphoniques ou ont accès à l’historique de votre navigation internet, ce ne sont probablement pas les agents de la NSA, longuement formés et professionnels. Les probabilités sont à l’effet que ce sont plutôt les sous-contractants eux-mêmes ou ceux à qui ils ont donné des cotes de sécurité bidons qui le font. L’affaire Snowden a déplacé le problème. Ce n’est pas la NSA qui est en cause. C’est plutôt le fait de donner des activités de renseignement à sous-contrats qui l’est. Aucune agence ne devrait jamais donner aucun travail de renseignement que ce soit à sous-contrat. Point. Sinon, cela représente un risque de sécurité. Et les agences de sécurité ne sont-elles pas là justement pour assurer notre sécurité? Retrouvez l’entrevue avec Fred Fleitz au 2ème segment:

Fred Fleitz sur Secure Freedom Radio