Jane Ruby s’entretient avec la docteure Young Mi Lee sur les nanotechnologies contenues dans les injections à ARN messager, parties 1 et 2
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La docteure Hildegarde Staninger a été une véritable pionnière dans le domaine de l’étude des nanotechnologies. Déjà en 2006, elle étudiait le déploiement des nanotechnologies dans la biosphère, donc la contamination de toutes les espèces vivantes. Elle a comparé des fibres de morgellons avec des échantillons de matières retombées suite à l’épandage de chemtrails. Les spécimens correspondaient parfaitement. À VOIR ABSOLUMENT.
Durant cette entrevue, on peut entendre un employé de la FDA (vers 5:56 minutes), Jerry P. Weir, affirmer que les données cliniques sur la sûreté, l’efficacité et l’immunogénicité reliées au vaccin pour la grippe aviaire seraient obtenues APRÈS l’approbation du vaccin, ce qui est un non-sens. La procédure scientique et médicale, qui est normale et obligatoire, est que des études cliniques doivent être faites au préalable afin de collecter ces données pour la mise en marché de quelque médicament ou vaccin que ce soit. Après analyse des données, si celles-ci satisfont les exigences de la sûreté, efficacité et immunogénicité attendues, le médicament ou vaccin est approuvé pour être mis à la disposition de la population. Dans le cas du vaccin pour la grippe aviaire qui sera disponible bientôt en principe, celui-ci sera approuvé automatiquement et les données cliniques seront collectées par la suite! Absolument incroyable! Vous ai-je déjà dit que nous sommes gouvernés par des fous? Voilà la preuve (une parmi tant d’autres…)
Certains états semblent se préparer pour une prochaine fausse pandémie de grippe aviaire, synchronisée avec l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche. Cette fausse pandémie donnera le prétexte à certains états de rétablir les mesures sanitaires que l’on a connues durant ce que l’on a appelé la covid-19. J’espère bien que, cette fois-ci, nous ne nous laisserons pas avoir par une telle manipulation. À VOIR.
En regardant les images produites lors des analyses de la docteure Bremer, vous pourrez constater que les anomalies trouvées dans les fioles d’injections pour la covid-19 et dans le sang humain sont fluorescentes, ce qui démontre qu’elles sont artificielles et non pas d’origine biologique.