Analysis of Dinesh D’Souza’s film Death of a Nation on Red Ice TV

In this episode of Week-End Warrior, Lana and Henrik of Red Ice TV discuss the latest film form Dinesh D’Souza, Death of a Nation. To make things brief, D’Souza tries to sell us the idea that the Democrats were the real Nazis and fascists and that the Democrat Party was the party of slavery, etc. Although this thesis has certain merits, I agree with Lana and Henrik that Dinesh D’Souza twists reality in order to propagandize against the Democrat Party and that is wrong. There were partisans of slavery and of nazism in both parties. But I want to cover another aspect of D’Souza’s view of things that they don’t talk about (not directly). It is the question of White supremacy. Dinesh D’Souza covered the subject of White supremacy in an interview given to Frank Gaffney on the air of Secure Freedom Radio (the audio files are below). During the interview, he explains to Gaffney that fascism and Nazism were left-wing ideologies and that is an argument that can be made if we look at their doctrine. He says that the Left put the blame on the Right for the crimes of Nazism and fascism and that is true. Right-wingers don’t commit mass murder and try to reduce the rights of the citizens. But he fails to see that, in that regard, the so-called White supremacy is a concept that was invented by the same Left to try to portray patriots in a bad light. During the interview, he makes references to figures of the Alt-Right like Jason Kessler and Richard Spencer and says that they are wrong, etc, etc. People in the patriotic and/or nationalist movement are not ‘White supremacists’. They are activists or advocates for the white race. That means that they want the best conditions for the white race, to thrive, to be prosperous, to grow, etc, and there is nothing ‘supremacist’ about that. And that is done not at the expense of others. Every race and ethnic group has the right to be free and live in an environment favorable to its development. Dinesh D’Souza falls into the trap of calling ‘supremacist’ good men and women who simply want to protect us from harm and avoid the catastrophe of totalitarianism. Dinesh D’Souza is trying to have it both ways. He wants the public to believe that those who call right-wingers ‘fascists’ and ‘nazis’ are wrong when they do that, but on the other hand, that they are right when they call certain right-wingers ‘white supremacists’. According to Dinesh D’Souza those so-called ‘White supremacists’ are not really right-wingers. The truth is that they are really right-wingers but they are not White supremacists. They are trying to protect us.

To visit the page of the show on SFR: Interview with Dinesh D’Souza on Death of a Nation

Trois entrevues avec Dinesh D’Souza sur son dernier film, Hillary’s America

Le dernier film de Dinesh D’souza, Hillary’s America: The Secret History of the Democratic Party, s’arrête sur un des tabous les plus importants de la vie politique américaine. En effet, selon la recherche effectuée par l’auteur, historiquement, le Parti Démocrate est bien celui qui a encouragé et organisé l’esclavage et la ségrégation, alors que la propagande véhiculée par les médias et la gauche politique prétend que c’est plutôt le Parti Républicain qui en est l’auteur. Je n’ai pas vu ce film mais à en juger par les entrevues que je vous présente ici, le film a l’air d’être bien documenté et solide. La force de ce documentaire semble d’être capable de ramener les électeurs aux réalités historiques et concrètes de ce parti politique, au-delà des mensonges et de la propagande qui nous sont constamment servis depuis les années soixante. Nul besoin de dire que ce film doit être projeté partout et vu par le plus de gens possible avant les élections du 8 novembre. Les enjeux sont gros pour cette élection car elle décidera si nous continuerons de vivre dans des pays libres et démocratiques ou si, au contraire, nous nous enfoncerons davantage dans la tyrannie. Dans l’ordre, je vous présente la bande-annonce du film, une entrevue accordée à Frank Gaffney du Center for Security Policy, une deuxième accordée à Alex Jones et une dernière accordée à Dave Rubin.

Dinesh D’Souza sur Secure Freedom Radio

https://youtu.be/rGPzZ_MktLM

Conférence de François Asselineau: L’Union Européenne et la mise en place d’une dictature…

Diviser pour mieux régner…c’est un truc politique vieux comme le monde. C’est ce à quoi s’appliquent les marchés financiers et les États-Unis afin de conquérir les peuples européens sans qu’ils ne s’en aperçoivent. « It’s not fascism when we dot it », rappelle une affiche circulant en Suède que le conférencier nous montre à un moment donné. Il nous rappelle aussi les paroles de François Mitterrand: « La France est en guerre et les Français ne le savent pas ». C’est bien vrai. On est en train de nous conquérir doucement, tranquillement, subtilement par en-dessous. Dans les environ de 1h 17 minutes, Asselineau revient sur le cas documenté de l’agent secret américain Isaac Andrews qui affirmait dans un rapport transmis au gouvernement américain en 1854 avoir utilisé toute une série de moyens pour favoriser soit l’annexion du Canada par les États-Unis soit la signature d’un traité de libre-échange entre les deux pays. Pour avoir plus de détails sur ce genre de stratégie, vous pouvez consulter cet article précédent où Asselineau en parle plus longuement. Les responsables politiques de l’Union Européenne seraient des « despotes éclairés »… C’est du moins ce qu’ils pensent, semble-t-il. Durant cette excellente conférence, François Asselineau passe en revue comment la dictature s’est installée en Europe.

La dernière partie de la présentation se concentre sur les solutions pour sortir de cette crise. Je suis d’accord sur tout sauf sur un point. Asselineau, en tant que chef de l’UPR, ne veut pas discuter de sujets qui divisent, c’est lui-même qui le dit. Il met l’immigration dans ces sujets. Or, l’immigration fait parti des stratégies qui sont mises en oeuvre pour conquérir les peuples européens. L’immigration permet justement de diviser pour mieux régner, puisqu’elle permet l’arrivée de populations hostiles aux nationaux de souche sur le territoire des pays européens. La question de l’immigration est indissociable de celles de l’Euro, des structures politiques européennes, du phénomène des euro-régions, des traités européens qui sont imposés aux peuples, etc. Je dirais que l’immigration est la version sociale et communautaire de ce que l’Euro représente au niveau économique, de ce que les institutions européennes représentent au niveau politique et de ce que les euro-régions représentent au niveau du territoire, pour ne mentionner que quelques exemples. Diviser pour mieux régner, divide and conquer... L’austérité, que je rebaptise volontiers austereich parce que ce terme décrit mieux la réalité se cachant derrière, n’est que la tactique de guerre que les États-Unis emploient avec des états qui sont déjà sous son influence. Cette tactique permet d’affaiblir les économies des pays qui en sont la cible sans que cela paraisse trop. La propagande belliqueuse et les attaques provoquées par des « rebelles », ça, ce sera pour les autres. En fin de compte, j’en viens à poser la question suivante, fondamentale: Peut-on faire confiance à un pays qui a une dette accumulée (en date d’aujoud’hui) de plus de 17 trilliards de dollars?

Conférence de François Asselineau sur la guerre économique menée par les États-Unis contre l’Europe

Excellente intervention ici de François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine. L’essentiel de sa conférence porte sur les manœuvres économiques effectuées par les États-Unis au cours des décennies pour pouvoir conquérir ou soumettre d’autres états sans avoir à faire la guerre sur le plan militaire. Notamment, l’instrument du « libre-échange » est utilisé afin de forcer ces autres états à adopter des politiques économiques et sociales qui avantagent les États-Unis. Fait intéressant, Asselineau fait remarquer que George Washington, porte-étendard de la Révolution Américaine, avait sous sa gouverne plus de 300 esclaves. Aussi, cette Révolution a été précédée par le mouvement du Boston Tea Party qui était en révolte contre l’imposition d’une taxe par le gouvernement britannique. La « liberté » qui était revendiquée par la Révolution Américaine, contrairement à la Révolution Française, était bel et bien de nature économique et non pas individuelle ou sociale. Asselineau commence sa conférence en rappelant les propos de François Mitterrand qui avait déclaré à la fin de sa vie, en substance, que les États-Unis menait une guerre contre la France, une guerre invisible, sans victimes directes. Il rappelle aussi les propos tenus par le Président Andrew Jackson sur l’importance du libre-échange pour les États-Unis, ainsi que ceux de l’agent secret américain I.D. Andrews. Ce dernier, dans un rapport présenté au Département d’État le 13 mai 1854, affirme avoir corrompu divers responsables publics du Canada dans le but soit d’annexer le pays ou de le soumettre par la voie du libre-échange. Andrews affirme également avoir pris des mesures pour « modérer » l’opposition, « tranquiliser » l’opinion publique et éviter que tout débat n’ait lieu sur la proposition de libre-échange. En gros, on peut voir facilement que ce qui se cache derrière l’enfumage des propositions de libre-échange, c’est toujours la même chose: Conquérir ou soumettre d’autres pays par la voie économique sans avoir à faire la guerre militaire. Il est grand temps que les peuples, souverains, se lèvent et mettent un terme à ces entreprises destructrices.