Poseidon comments on the intentional wrecking of Greece by the globalists, on Red Ice TV

Pierre Jovanovic fait le point sur la loi du 3 janvier 1973

Le 20 mars a eu lieu à BFM-TV un débat sur le mouvement des Gilets Jaunes et sur les solutions à apporter pour sortir de la crise. Seulement six partis politiques ont été retenus pour y participer. De façon absolument scandaleuse, François Asselineau, président de l’UPR, n’a pas été invité. Compte tenu qu’il a été celui qui a supporté le plus vivement et fortement les Gilets Jaunes et leurs revendications, cela donnait le ton pour un exercice qui s’annonçait bidouillé d’avance. Néamoins, la soirée a donné lieu à de bons échanges sur différents aspects de la question. Dans l’ensemble, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ont été les plus pertinents alors que les représentants des quatre autres partis ont passé leur temps à tourner autour du pot et à baratiner.

Or, dans ce contexte, il est impératif d’aller au fond des choses et d’identifier le problème. Cette revue de presse avec Pierre Jovanovic présentée sur TV-Libertés identifie la cause des déboires financiers de la France: La loi du 3 janvier 1973, promue par Valéry Giscard d’Estaing, qui obligeait dès lors la France à aller emprunter sur les marchés financiers au lieu d’emprunter à la Banque de France. Avant 1973, lorsque l’état français empruntait à la Banque de France, cela faisait en sorte que l’argent restait à l’intérieur du pays, même s’il y avait de l’intérêt à payer sur l’emprunt. Depuis 1973, lorsque l’état français fait un emprunt à l’étranger et que vient le temps de faire un paiement sur cette dette, cela implique nécessairement que l’argent sorte du pays pour être déposé dans une banque étrangère. Autrement dit, ce sont des sommes d’argent qui quittent le pays et qui ne reviendront jamais, qui ne seront jamais réinvesties en France. Jovanovic évalue à des centaines de milliards, à des trilliards de dollars, le montant des intérêts qui ont été versés à ce jour à des banques étrangères. C’est pourquoi les responsables politiques peuvent bien dire ce qu’ils veulent sur les plateaux de télévision, tant que cette loi du 3 janvier 1973 ne sera pas abolie les déboires financiers de la France vont continuer, sans parler des problèmes déjà considérables causés par l’adoption de l’Euro. Il est à espérer que le seul parti politique qui propose le Frexit et l’abandon de l’Euro, l’Union Populaire Républicaine, mette également la supression de cette loi à son agenda. Sinon, la longue agonie de la France va se poursuivre, peu importe ceux qui seront au pouvoir.

Jovanovic mentionne également un autre phénomène financier crucial qui s’est déroulé à la même époque, à savoir la décision du Président Nixon de mettre fin à la convertibilité du dollar en or ou ce qu’on appelle l’étalon-or, le 15 août 1971. Il est évident que l’adoption de la loi du 3 janvier 1973 découle directement de l’abandon de l’étalon-or et de la fin des Accords de Bretton Woods. Comme le dollar américain n’est plus adossé sur l’or, il n’y a plus de limite à la planche à billets. Les banques américaines peuvent acheter la planète entière, ce qu’elles font très bien. Ainsi, la fin de l’étalon-or a laissé le champ libre pour l’envahissement de l’économie par la planche à billets et par les pétro-dollars. Conclu le 14 février 1945 suite à une rencontre entre Roosevelt et le roi Ibn Saud d’Arabie Saoudite, à bord du navire le Quincy, le Pacte du Quincy créait ce que nous appelons aujourd’hui les pétro-dollars, ce qui devait à terme nous amener le problème du terrorisme islamiste avec ce que tout cela implique. Pour ceux désirant commencer à étudier cet aspect de la question, veuillez revoir cette entrevue avec Richard Labévière publiée dernièrement.

Entrevue avec David Duke

Le candidat au Sénat américain David Duke présente ici les grandes lignes de sa philosophie politique. Associé à l’extrême-droite américaine, David Duke défend une ligne patriotique qui refuse l’immigration de masse et qui essaie de défendre les droits des Européens de souche qui compose la population d’origine des États-Unis. Aussi, David Duke a un discours qui est souvent très critique envers la communauté juive et Israël. Nul n’est au-dessus de la méthode scientifique. Tous les peuples, peu importe leur religion ou leur origine ethnique, peuvent et doivent faire l’objet de critiques, si elles sont fondées évidemment. Je crois que David Duke réussit à faire une critique sérieuse des agissements et de la mentalité de certains membres de la communauté juive sans tomber dans l’antisémitisme. Certains ne sont pas de cet avis et ils en ont le droit. De toute manière, comme le dit Duke lui-même, il vaut mieux se faire sa propre idée que de croire sur parole ce que nous dit les médias de masse. Donc, à vous de juger.

Entrevue avec Pierre Jovanovic sur la catastrophe financière imminente

Entre autres moments-forts de l’entrevue, à 14:42 minutes du début de l’entretien, on nous présente un tableau montrant la synchronicité de certains attentats terroristes en France avec le processus électoral. Certains attentats ont précédé de quelques jours ou semaines des dates électorales importantes, ce qui est étrange. On évoque l’idée de « gestion de la terreur ». De façon plus générale, l’entrevue porte sur la traque de l’or dans le monde par les services américains et le rôle que cela joue dans l’économie. Je vous propose également une entrevue avec Gilles Varange sur des sujets divers mais dignes d’intérêt.

Pierre Jovanovic sur le dollar américain, l’or et le système monétaire

Cette entrevue avec Pierre Jovanovic est absolument délicieuse. Les phrases les plus suaves ont été rassemblées au tout début du vidéo par le média web qui a réalisé l’interview, dans le cadre de la sortie de son nouveau livre, 666. L’écrivain explique ici le destin tragique qui attend le système monétaire planétaire reposant sur le dollar américain. « Tout système qui ne repose pas sur l’or explose ». Selon lui, les Américains sont en train de voler tous les pays du monde. Notamment, ils pillent leur stock d’or. « Aucune monnaie papier n’a réussi » et ce sera également le sort du dollar américain puisque, depuis la fin du standard-or, le dollar ne repose plus sur rien. Les Américains mènent une escroquerie puisqu’ils impriment des devises à volonté alors que les autres pays du monde doivent composer avec leur manque de liquidité, ce qui les amènent à se départir de leurs actifs. La Réserve Fédérale imprimerait, selon Jovanovic, quelques 280 milliards de dollars de planche à billets tous les trimestres pour ne pas que le système s’écroule… D’autres moments forts sont à évoquer. Par exemple, il rappelle que Nicolas Sarkozy a vendu quelques six cents tonnes d’or de la France et que le but des Américains serait de voler tout le stock d’or du pays. En substance, l’or est la clé de voûte de toutes les guerres et opérations secrètes, c’est pourquoi il fait l’objet d’une attention très spéciale de tous les gouvernements. Mais c’est également pour la même raison que les médias n’en parlent jamais. L’or, c’est le nerf de la guerre puisque c’est la seule chose qui a une valeur réelle, les monnaies papier n’ayant de valeur que le papier sur lequel elles sont imprimées… L’auteur rappelle aussi la funeste loi du 3 janvier 1973 venant modifier le statut de la Banque de France, annulant ainsi la possibilité pour l’état français de pouvoir emprunter à taux zéro. En obligeant ainsi les états modernes à emprunter sur les marchés financiers, on amènent ces états à développer une dette artificielle, ex nihilo, mettant ainsi les pays et leurs populations en esclavage face aux marchés financiers, et donc à perdre leur souveraineté. Jovanovic fait aussi remarquer que ce sont surtout les pays catholiques qui sont visés par ces basses manœuvres, ce qui permet encore une fois au monde anglo-saxon de s’approprier leurs stock d’or. Du côté inusité, l’auteur vers 38:00 minutes nous rappelle que les Américains, au lendemain de la Deuxième Guerre Mondiale, auraient forcé l’Empereur japonais à renoncer à sa divinité…Comme quoi on est jamais assez soumis…Nous allons vers une apocalypse monétaire…

Conférence de François Asselineau: L’Union Européenne et la mise en place d’une dictature…

Diviser pour mieux régner…c’est un truc politique vieux comme le monde. C’est ce à quoi s’appliquent les marchés financiers et les États-Unis afin de conquérir les peuples européens sans qu’ils ne s’en aperçoivent. « It’s not fascism when we dot it », rappelle une affiche circulant en Suède que le conférencier nous montre à un moment donné. Il nous rappelle aussi les paroles de François Mitterrand: « La France est en guerre et les Français ne le savent pas ». C’est bien vrai. On est en train de nous conquérir doucement, tranquillement, subtilement par en-dessous. Dans les environ de 1h 17 minutes, Asselineau revient sur le cas documenté de l’agent secret américain Isaac Andrews qui affirmait dans un rapport transmis au gouvernement américain en 1854 avoir utilisé toute une série de moyens pour favoriser soit l’annexion du Canada par les États-Unis soit la signature d’un traité de libre-échange entre les deux pays. Pour avoir plus de détails sur ce genre de stratégie, vous pouvez consulter cet article précédent où Asselineau en parle plus longuement. Les responsables politiques de l’Union Européenne seraient des « despotes éclairés »… C’est du moins ce qu’ils pensent, semble-t-il. Durant cette excellente conférence, François Asselineau passe en revue comment la dictature s’est installée en Europe.

La dernière partie de la présentation se concentre sur les solutions pour sortir de cette crise. Je suis d’accord sur tout sauf sur un point. Asselineau, en tant que chef de l’UPR, ne veut pas discuter de sujets qui divisent, c’est lui-même qui le dit. Il met l’immigration dans ces sujets. Or, l’immigration fait parti des stratégies qui sont mises en oeuvre pour conquérir les peuples européens. L’immigration permet justement de diviser pour mieux régner, puisqu’elle permet l’arrivée de populations hostiles aux nationaux de souche sur le territoire des pays européens. La question de l’immigration est indissociable de celles de l’Euro, des structures politiques européennes, du phénomène des euro-régions, des traités européens qui sont imposés aux peuples, etc. Je dirais que l’immigration est la version sociale et communautaire de ce que l’Euro représente au niveau économique, de ce que les institutions européennes représentent au niveau politique et de ce que les euro-régions représentent au niveau du territoire, pour ne mentionner que quelques exemples. Diviser pour mieux régner, divide and conquer... L’austérité, que je rebaptise volontiers austereich parce que ce terme décrit mieux la réalité se cachant derrière, n’est que la tactique de guerre que les États-Unis emploient avec des états qui sont déjà sous son influence. Cette tactique permet d’affaiblir les économies des pays qui en sont la cible sans que cela paraisse trop. La propagande belliqueuse et les attaques provoquées par des « rebelles », ça, ce sera pour les autres. En fin de compte, j’en viens à poser la question suivante, fondamentale: Peut-on faire confiance à un pays qui a une dette accumulée (en date d’aujoud’hui) de plus de 17 trilliards de dollars?