Conférence de presse du Président Trump sur l’Accord de Paris

Je suis ravi que le Président Trump ait décidé de sortir de l’Accord de Paris. Bon débarras. Encore une fois, revoyons les données scientifiques de base qui permettent de comprendre comment ce qu’on appelle les «changements climatiques» est une fraude sans précedent dans l’histoire. On essaie de nous faire croire que le CO2 émis dans l’atmosphère serait responsable d’une hausse de la température à l’échelle planétaire. Or, le CO2 est un gaz. En physique et en chimie, il est admis que pour que la température monte dans un système donné, cela prend une source de chaleur ou une force quelconque qui agit sur lui. Sur cette Terre, la source de chaleur principale qui influence la température est le soleil. Chacun peut vérifier cela facilement. Selon qu’il fasse jour ou qu’il fasse nuit, selon les saisons et l’endroit où l’on se trouve sur la planète, il y a des écarts importants de température. Au centre de la Terre se trouve également du magma en fusion, qui peut être une source de chaleur supplémentaire. La Terre se trouve dans un système planétaire, qui lui se trouve dans une galaxie quelque part dans l’univers. La Terre, avec son champ magnétique, entre en interaction avec les autres corps célestes et subit les forces magnétiques et électromagnétiques que ces corps produisent. Dit simplement, le climat sur une planète est la résultante de toutes ces forces. De prétendre qu’un gaz a la capacité de faire augmenter la température à la surface d’une planète est absurde. La température immédiate ressentie dépend essentiellement du rayonnement au sol. L’augmentation des particules de CO2 dans l’atmosphère devrait par principe bloquer davantage de rayonnement solaire et donc favoriser la baisse de la température…Mais on nous dit que la température augmente! «L’effet de serre» que l’on nous vend est le contraire de la vérité. Une couche de gaz plus épaisse, plus compacte autour de la Terre diminue le rayonnement au sol et donc diminue la température globale.

Depuis que la Terre existe, il y a toujours eu des «changements climatiques», puisque les forces auxquelles la Terre était soumise ont constamment changé au cours de son histoire. Ces changements n’avaient rien à voir ni avec le pétrole ni avec le CO2. Je crois que vous avez compris que ce qui est en jeu ici, c’est l’extortion de sommes d’argent importantes que les pays occidentaux devront payer aux pays dits en «développement» pour compenser la pollution qu’ils causent. Le système des crédits de carbone est une vaste entreprise de transfert de richesse des pays développés vers les pays du Sud. En d’autres termes, on va se faire voler nos richesses par des pays et des peuples qui ne produisent pas de richesses ou qui n’en sont pas capables. Les traités internationaux sur les «changements climatiques» ne sont pas autre chose que l’établissement d’un système de bien-être social planétaire dans lequel les pays occidentaux, riches et développés vont faire des chèques à des pays qui ne font aucun effort pour se prendre en main, qui sont corrompus, qui n’encouragent pas le développement économique, etc.

Le Président Trump a pris la bonne décision. Dans sa conférence de presse, il évoque la possibilité qu’un nouvel accord puisse voir le jour, qui serait plus juste pour les États-Unis. Le problème, c’est qu’il n’y aura jamais d’accord «juste» dans le contexte d’une manipulation aussi grossière, d’un mensonge aussi flagrant où la malhonnêteté de ceux faisant la promotion d’une telle mascarade ne peut être plus claire. J’implore donc le Président de renoncer complètement à travailler sur une nouvelle entente pour se concentrer à trouver des solutions pour prendre soin de l’environnement des États-Unis par le biais par exemple de nouvelles technologies, de nouvelles techniques de productions, etc. Nos richesses nous appartiennent. Ne laissons personne nous les prendre. Je vous laisse sur la conférence de presse du Président Trump.

Entrevue avec le Président Trump sur les 100 premiers jours de son administration

Le Président Trump fait le bilan ici des 100 premiers jours de son administration. Quelques remarques s’imposent. D’abord, il a commencé son mandat avec beaucoup de difficultés. En effet, l’opposition aux réformes qu’il essaie de faire adopter est très forte aux États-Unis, provenant des médias, des politiciens, des magistrats, du milieu économique, de la chambre de commerce, bref de tous les milieux. Ses efforts pour «to drain the swamp» son systématiquement bloqués précisément par les gens qui profitent de la situation. Les deux ordres exécutifs sur les réfugiés provenant de pays générateurs de terroristes et la réforme du programme de santé en sont des bons exemples. Ensuite, des miliers d’employés du gouvernement fédéral, toujours fidèles à Obama et au Parti Démocrate, devraient être remplacés et ne le sont toujours pas, ce qui empêche l’administration d’avancer. On peut donc envisager que l’Administration Trump ne parviendra à maturité et à être vraiment efficace avant deux à trois ans. Je sais ce cela peut paraître long mais, compte tenu des difficultés et de l’ambition du mandat qu’il s’est proposé de réaliser durant la campagne électorale, il est réaliste d’en venir à cette conclusion. À cet égard, je trouve prématuré que certaines personnes qui l’ont soutenu durant la campagne électorale aient déjà cessé de l’appuyer, surtout depuis les frappes de missiles en Syrie. Attendons. Un peu de patience. Après tout, il ne vient que de prendre son poste tout récemment. J’ai confiance qu’il deviendra un grand Président mais les difficultés sont telles que nous devons nous attendre au début à une période de flottement et d’instabilité qui rentrera dans l’ordre petit à petit. Réjouissons-nous. L’avenir s’annonce radieux!

La toute dernière conférence de presse de Donald Trump

Je vous propose la plus récente conférence de presse de Donald Trump, qu’il a tenue cette semaine. Elle est absolument délicieuse, succulente. Ah, qu’il est agréable de voir un homme politique se tenir debout et défendre son pays! Le Président Trump y défend, avec succès, ses politiques qui sont attaquées de toutes parts en ce début de mandat. À voir.

Entrevue avec Xavier Moreau sur l’actualité du piratage informatique

Cette entrevue a été enregistrée quelques jours avant l’assermentation de Donald Trump à la Présidence américaine. La vérité de l’année y est dite: « Tout le monde espionne tout le monde! »

Entrevue avec Michel Drac sur son livre intitulé « Triangulation »

L’auteur présente les différents thèmes de son ouvrage qui tombent dans les domaines de la géopolitique, du mondialisme, de l’impérialisme et de certaines stratégies de surveillance et de sécurité, comme par exemple la « stratégie de la tension » . Un des moments-clés de l’entrevue se produit au moment où Drac évoque la guerre en Syrie. Selon son analyse, la cause réelle de cette guerre se situe dans la compétition que se livre les Américains et les Russes pour le contrôle des ressources en gaz et en pétrole des pays du Golfe Persique. Des projets de pipelines concurrents seraient au cœur du litige, les Américains et Russes voulant l’un et l’autre avoir la mainmise sur LA pipeline qui livrerait le gaz et/ou le pétrole en Europe. Or, la nomination de Rex Tillerson, ex-PDG de ExxonMobil, comme Secrétaire d’État par Donald Trump laisse entrevoir que peut-être, d’autres options sont envisageables dans ce dossier. En effet, qu’est-ce qui empêcherait les États-Unis et la Russie de développer un projet de pipeline conjoint pour amener le gaz en Europe? Les deux pays pourraient concevoir, construire et opérer la nouvelle pipeline, en plus évidemment de se partager les profits 50%-50%. Cela serait certainement mieux que de continuer à se faire la guerre pour le contrôle du pétrole pendant des siècles. Qu’en pensez-vous?

Benjamin Netanyahu réplique à la dernière résolution gauchiste de l’ONU…

Encore une fois les membres des Nations Unies, ce Grand Machin comme disait l’autre, ont pondu une résolution anti-israélienne au lieu d’utiliser leur temps et leurs énergies pour essayer de trouver des solutions concrètes aux problèmes du monde. Je pourrais prendre le texte de la résolution, l’analyser, le commenter, etc. Mais je crois qu’à ce stade-ci, le moment est venu de tout simplement larguer les amarres. On en a soupé des Nations Unies. Cette institution corrompue ne fait qu’aggraver la situation des pays qu’elle prétend essayer d’aider. Tout ce qu’elle touche se transforme en désastre. L’ancien premier ministre du Canada, Stephen Harper, avait été un des premiers à prendre ses distances avec l’ONU pour exactement ces raisons-là. Comme l’argent est le nerf de la guerre, je crois que la meilleure chose pour les États-Unis (avec Donald Trump comme Président) et pour Israël serait de tout simplement couper le financement de l’ONU, à 100%, ce qui aura pour effet de tranquilliser les ardeurs de ceux qui essaient d’instrumentaliser l’ONU pour faire avancer la cause de leur entreprise totalitaire, idéologique ou illégale. Cet exemple serait imité éventuellement par un certain nombre d’autres pays, ce qui pourrait diriger le « Grand Machin » vers les oubliettes de l’histoire, du moins on peut le souhaiter.