Archives par mot-clé : Judaisme
David Icke s’entretient avec The Academy of Divine Knowledge
No-Go Zones sur Red Ice TV
David Icke présente le mouvement Sabbatéen-Frankiste
Mouvement sectaire issu du judaïsme, la mouvance sabbatéenne-frankiste est le résultat de la prédication de deux personnages historiques, Sabbataï Tsevi et Jacob Frank, qui se présentaient tous deux comme étant des figures messianiques. Ce mouvement propose des thèses et des comportements en dehors des normes sociales, voire blasphématoires et sacrilèges, ce qui amène certains à le comparer aux mouvements satanistes issus du christianisme. Étant donné le silence qui existe autour de l’existence de ce mouvement, il est plus qu’important que vous preniez connaissance des informations qui sont présentées ici par David Icke. À voir.
Quelques épisodes de Red Ice Radio et Radio 3Fourteen
Voici quelques épisodes des émissions Red Ice Radio et Radio 3Fourteen qui ont retenu mon attention dernièrement. Le premier lien vous permettra de voir le film d’animation réalisé par l’artiste Emily Youcis, assez exceptionnel, intitulé The Ascent of Alfred, qui débute vers 33:30 de l’entrevue.
Emily Youcis – The Ascent of Art in the Alt-Right
Guillaume Durocher: Trump Victory: Impact on America & Europe
John Lash: Eight Unifying Points for Truth Seekers & Knowledge Holders
Daniel Hammarberg: Abrahamic Religion: The Dark Side of Judaism
Le déploiement de l’axe christo-bouddhique ou le rayonnement bleu-orange
Dans un article précédent, je vous ai parlé des immigrants vietnamiens qui constituent un réel apport pour les sociétés occidentales et surtout pour le Québec où leur intégration se révèle particulièrement spectaculaire. Une chose ici est primordiale à comprendre. L’afflux des immigrants asiatiques en Occident doit s’effectuer en fonction d’un effort de guerre contre les forces arabo-musulmanes. Voyez-vous, le Bouddha a enseigné en Inde ce qui lui apparaissait comme étant la Voie, i.e. ce qui doit être fait par les sociétés humaines et les individus pour connaître le bonheur et la réalisation. Après avoir fait irruption en Inde donc, sa philosophie s’est répandue dans des pays comme la Chine et en Asie du Sud-Est. Il est inutile de revenir sur l’enseignement du Christ, on en connaît tous les détails en Occident. Or, l’enseignement du Christ et celui du Bouddha se rejoignent et se complètent. Si le premier s’articule davantage sur le plan moral et s’intéresse aux comportements, le second est plus philosophique et s’arrête sur les attitudes et les dispositions mentales affectant la capacité des humains à être heureux et à vivre en harmonie. Mais, de toute évidence, l’un ne va pas sans l’autre. On ne peut concevoir de projet de société et de développement civilisationnel sans tenir compte à la fois des comportements sociaux des individus mais aussi de la manière dont ils appréhendent le monde et leur relation aux autres. La qualité fondamentale de la prédication de ces deux éveillés réside dans le fait qu’ils renvoyaient toujours leurs contemporains à eux-mêmes au lieu de tenter de construire des systèmes tout faits de l’extérieur. Le Christ et le Bouddha étaient en quelque sorte des révolutionnaires sur les plans social, politique, religieux et spirituel. De la même façon que l’enseignement du Christ représentait une brisure avec le judaïsme centré sur la codification des comportements, l’enseignement du Bouddha faisait rupture avec les dogmes philosophiques de l’Hindouisme. Ces deux doctrines nouvelles remettaient l’homme au centre du regard et de la pensée humaine.
Or, malheureusement, la montée de l’islam radical, appelé aussi islamisme ou charia, nous ramène encore une fois à la case départ. Un nouveau système, basé sur des dogmes absolus et non pas sur l’homme, menace de détruire la culture humaine en sapant toutes ses potentialités à l’épanouissement, au développement et ultimement au bonheur. L’islamisme est semblable à un cancer en voie de détruire l’organisme de la civilisation dans son entier. C’est pourquoi il est impératif que l’Occident et l’Orient s’unissent contre cette maladie mortelle. Par l’entremise de ses deux guides spirituels, le Christ et le Bouddha, nos peuples respectifs doivent lutter pour faire disparaître cette plaie béante défigurant le visage de l’humanité. Ainsi, le déploiement de l’axe christo-bouddhique amènera nos armées à avancer depuis l’Occident et depuis l’Orient, ce qui permettra de prendre en souricière le restant des islamistes quelque part au Moyen-Orient, et ce après avoir nettoyé bien sûr nos différents pays des divers éléments islamiques qui les gangrènent. Chrétiens et bouddhistes doivent réaliser qu’il n’en tient qu’à eux de stopper l’invasion islamique. Le bleu de la liberté et du nationalisme doit s’unir à l’orange et au rouge rubis du froc bouddhiste, pour le salut de la civilisation.
N.B.: Pendant que je travaillais sur ce texte, un arc-en-ciel s’est formé au-dessus de Montréal après un violent orage dans la journée d’hier. Selon un témoin oculaire, lorsque le soleil s’est couché ce soir-là, il a laissé un ciel orangé dans sa basse partie et bleu dans sa partie haute. Il est difficile de ne pas y voir ici un signe de bon augure pour l’avenir.
L’esclavage des Noirs: Européens, Arabes et Africains y participent
Ce documentaire essentiel pour une compréhension de l’esclavage complète vraiment bien la série sur l’esclavage arabo-musulman que je vous ai présentée dernièrement. On y apprend, entre autres, que ce ne sont pas seulement les Européens, en général les seuls blamés, qui ont pratiqué l’esclavage des Noirs. Non. Ce sont aussi les peuples arabo-musulmans qui les déportaient vers l’Arabie et autres pays, ainsi que des roitelets et dirigeants Noirs africains qui profitaient financièrement de cette traite humaine. Leur collaboration était nécessaire pour qu’Européens et Arabes puissent pratiquer la déportation aussi facilement. Ce sont donc, aussi, les peuples arabo-musulmans, eux qui aujourd’hui lavent le cerveau des Noirs africains en leur disant que ce sont les Européens chrétiens qui les ont réduits en esclavage, en ne disant mot bien sûr de leur propre participation. Et ce sont aussi des dirigeants africains qui pouvaient ainsi amasser des fortunes et gouverner sur de vastes populations. Que dites-vous de ces quelques « précisions » historiques?
Le Judaïsme est né du refus de l’esclavage. On se souvient de l’Exode des Hébreux au désert vers la terre promise. Or, dans l’Islam, il n’y a rien de tel, au contraire. Le mot « Islam » signifie soumission. C’est l’antithèse du Judaïsme. Les Chrétiens ont abandonné l’esclavage depuis quelques siècles déjà. C’est pourquoi Juifs et Chrétiens doivent s’unir pour mettre fin à la dégénérescence culturelle et civilisationnelle de l’Islam, cette religion à l’agenda réactionnaire et fasciste, qui menace de faire sombrer le monde dans la barbarie. Pour ce qui est des Noirs africains qui se faisaient les entremetteurs entre les populations locales et les esclavagistes étrangers, s’ils n’y avaient pas eu de clients avec lesquels entrer en négoce, ils n’auraient pas pu pratiquer ce commerce avec une telle ampleur. Le documentaire mentionne que l’esclavage était déjà pratiqué en Afrique avant l’arrivée des Européens, par les Africains eux-mêmes, ainsi que par les peuples arabo-musulmans. Apparemment, plusieurs tribus africaines se livraient à des guerres féroces pour le contrôle des territoires et de la main-d’oeuvre, les esclaves. Je crois que ce documentaire est incontournable, ne serait-ce que pour neutraliser la propagande islamique cherchant à présenter le christianisme comme étant à la source de l’esclavage des Noirs.