La chef du Parti Québécois, Pauline Marois: La seule qui peut nous sortir du merdier…

Le Parti Québecois est le seul parti qui représente réellement le peuple québécois. Alors que le Parti Libéral n’est que corruption, collaboration et soumission, que Québec Solidaire fait le jeu de puissances étrangères hostiles au Québec, que la CAQ de François Legault présente une plateforme floue, disparate, qui cache on ne sait quel agenda, et qu’Option Nationale ne sera probablement qu’un furtif bâillement dans l’histoire politique du Québec, le Parti Québécois est la seule organisation politique en mesure de se lever pour défendre les intérêts des Québécois. La division du vote à gauche ne peut qu’être fatale pour les Québécois car elle risquerait de reporter Charest au pouvoir, ce qui serait une catastrophe, voire un cauchemar. Bien sûr, aucun parti politique n’est parfait et le premier mandat du Parti Québécois ne le sera pas non plus. Mais une chose est sûre: Si on veut se débarrasser de la corruption, il n’y a pas d’autre solution. La corruption ne va que continuer sous les Libéraux. Pour ce qui est de la CAQ, on ne sait pas pour qui exactement François Legault travaille, à qui il répond ou de qui il prend ses directives. En effet, la « programme » qu’il présente au Québécois est un bric-à-brac confus de mesures dont on ne sait à qui elles vont profiter. Pour ma part, j’en viens à la conclusion que la CAQ n’est que l’effet miroir, à droite, de ce que représente Québec Solidaire à gauche. Ces deux partis, Québec Solidaire et la CAQ, tentent de mettre la main sur les richesses du Québec pour des intérêts qui ne sont pas québécois ou qui sont hostiles au peuple québécois. C’est pourquoi, le 4 septembre prochain, on doit voter Parti Québecois.

Pauline Marois au 98,5 FM

Les péquistes veulent l’indépendance énergétique

À nous de choisir l’avenir de l’île d’Anticosti

L’agenda caché de François Legault: Vendre Hydro-Québec et remettre la province sur un plateau d’argent au secteur privé?

Il est extrêmement rare que je sois d’accord avec Jean Charest. C’est pourquoi vous feriez mieux d’encercler cette date sur votre calendrier car elle risque de passer à l’histoire. Comme l’évoque Jean Charest dans cet article publié sur le site web du 98,5 FM, François Legault a apparemment un agenda caché qui serait, selon mes sources, celui de vendre Hydro-Québec, entre autres choses. Je me le suis fait dire par des gens qui sont à l’intérieur du Parti Québécois. L’argumentaire est que vendre Hydro-Québec nous permettrait de payer la dette accumulée. Monsieur Legault oublie cependant qu’Hydro-Québec rapporte plus de trois milliards de dollars par année au gouvernement, selon les chiffres officiel de 2009. Si Hydro-Québec est vendu ces revenus vont nécessairement disparaître, ce qui entraînera la nécessité de hausser les impôts pour compenser. Je m’adresse ici au lecteur: Si vous perdiez votre emploi, la solution serait-elle que vous vendiez vos meubles ou votre automobile, et non pas trouver un autre emploi?

Plus précisément, je crois deviner que François Legault se sentirait peut-être attiré par le modèle qu’a développé Mussolini pour l’Italie et qu’on appelle l’État corporatiste. Il s’agit d’un modèle économique de droite où les activités économiques sont données au secteur privé, organisées sous le modèle de cartels ou monopoles. Un monopole se produit lorsque toute l’activité d’un secteur de l’économie est contrôlée par un acteur unique. Dans les cas d’Hydro-Québec, de la SAQ, de Loto-Québec, etc, se sont des monopoles mais contrôlés par l’État du Québec, donc qui rapportent de l’argent à tous les citoyens et contribuent ainsi à alléger leur fardeau fiscal et à financer les programmes sociaux. Si nos sociétés d’État sont vendues, nos impôts vont nécessairement augmenter…et je crois vous entendre dire ici que l’on en paie déjà assez comme cela. Aussi, et même si notre dette est payée, on devra réemprunter pour financer de nouveaux projets, puisque nos revenus seront inférieurs de façon récurrente à tous les ans.

Si François Legault a en tête de vendre Hydro-Québec et les autres sociétés d’État, qu’est-ce qui l’empêchera ensuite de remettre au secteur privé l’ensemble de nos outils collectifs, comme les systèmes de santé et d’éducation, la Caisse de dépôt et placement, etc? Le problème des Québécois, et ils ne sont pas les seuls dans le monde à cet effet, est qu’ils ont perdu confiance dans leurs politiciens appartenant au Centre du spectre politique, Libéraux comme Péquistes. Ils préfèrent prêter oreille aux sirènes trompeuses et mensongères de la gauche et de la droite, au grand plaisir des Québec Solidaires, François Legault et autres. Si les Québécois élisent l’une ou l’autre de ces options, nous sommes fichus. Un appauvrissement massif et une décroissance spectaculaire s’en suivront, ce qui entraînera encore plus de mesures menant au totalitarisme et la fin de la démocratie au Québec. J’appelle tous les Québécois à ne pas succomber à ces messagers du suicide économique collectif et à rester solidaire de l’idéal et de l’esprit démocratique.

Charest craint l’initiative de Legault

La campagne de salissage contre Pauline Marois: lorsque déception et amertume se transforment en croisade

C’est vrai que cela n’a pas été facile de digérer la défaite référendaire de 1995. Étant passés si proches de faire la souveraineté, nous étions tous « à terre », défaits, déçus, amers, fâchés, désappointés et le reste. Pour la chronique, j’étais présent à la réunion des « Jeunes pour la souveraineté », ou quelque chose du genre, le soir du vote dans une salle du centre-ville de Montréal. Les premiers résultats nous donnaient l’impression de gagner le référendum et puis soudain, comme si quelqu’un avait « joué » avec les chiffres, le vote s’est renversé à la surprise générale. L’idée selon laquelle les élections sont « arrangées » revient souvent dans les discussions de salon et de cuisine entre amis et voisins, et je dirais que cette fois-là j’ai eu de sérieux doutes. Mais comme personne n’a poussé l’enquête dans la communauté politique et journalistique à cet effet, en tant que citoyen, j’ai dû m’y faire et accepter le résultat. En passant, si le sujet vous intéresse, vous pouvez écouter une entrevue radio avec Peter B. Collins et son invité Bob Fitrakis où ce dernier raconte comment l’élection de 2004 a été volée par les Républicains aux États-Unis grâce à un stratagème informatique. On se souvient que celle de 2000 avait été volée elle aussi et c’était vraiment flagrant. Est-il possible que des stratagèmes du genre soient appliqués parfois dans des élections au Canada? Humm, bonne question.

Toujours est-il que l’on se retrouve plus de quinze ans plus tard avec un Québec en complet marasme. Plus rien ne bouge. Bien vite, on verra le bouclier canadien se déplacer sous nos pieds tellement on n’avance plus. Les députés du Parti Québécois qui ont démissionné dernièrement se sont comportés en vrais imbéciles, de façon immature, grossière et irresponsable. Si Pauline Marois avait suggéré de biffer l’Article 1 du Programme du Parti Québécois, si elle avait renié René Lévesque ou fait quelque chose de semblable, là, O.K., je trouverais leur attitude et leur comportement acceptable et louable. Mais démissionner pour un amphithéâtre, c’est idiot. Les députés démissionnaires n’ont plus aucune crédibilité tant qu’à moi. Continuer la lecture

Letters of the Day to the National Post: The PQ was a disaster…only to racist Anglo-Quebecers

These three Letters of the Day published on July the 29th in the National Post have strucked a nerve inside me. I always perceived myself as a sovereignist but considering the context of the international scene these days, it is definitely not the time to envision such thing while our very survival as free individuals is in jeopardy. There are things much more important right now that have to be taken care of. When the fate of mankind is secure, when nuclear Armageddon has been avoided and when totalitarianism, for the most part, has been neutralized, then we will have plenty of time to decide if Quebec should be inside or outside Canada or what kind of political organization is best. First things first. Normally, I don’t blog this kind of subjects because it doesn’t fall into my editorial line, but I couldn’t resist.

The three letters have been presented in response to an article by Barbara Kay, in which she calmly and quietly presents the context of a real-estate transaction, i.e. the purchase or her house. In 1976, the Quebec market was good for buyers with all those Anglo-Quebecers leaving Montreal following the victory of the Parti Québécois. The first response published, from Michael Lawrence, Hudson, Que., presents statistics on the migration of anglophones. Apparently this nice fellow had the decency to stay in Quebec after 1976, although the city of Hudson can hardly be characterized as a Quebecois town. In effect, it has nothing to do with, for example, the neighbourhood of Hochelaga-Maisonneuve but much more with the West Island in terms of atmosphere and wealth. The second response, from Ted Hassall, Niagara Falls, Ont, is more interesting for our purpose. He says among other things that « the PQ’s draconian language laws made anglos feel like second-class citizens », and that he is happy to « live in places without punishing language laws », speaking probably about the wonderful town of Niagara Falls that he has adopted after the murder of Minister Pierre Laporte. The third, from Denis Walsh, Vancouver, B.C., is even more revealing. Mr Walsh left Quebec in 1976 when the PQ got elected. Continuer la lecture