La réalité de l’immigration médicale au Québec…

Vous aurez peut-être remarqué, si vous habitez Montréal, combien les immigrants de couleur sont présents dans le système de santé du Québec, comme travailleurs mais surtout comme usagés/patients. Il suffit de se rendre à l’hôpital pour voir défiler tour à tour des africains, des arabes, des asiatiques, des latinos, etc. Or, ce qui est vraiment particulier c’est de voir ces mêmes immigrants, lorsque l’on fréquente plutôt des établissements qui procurent des soins médicaux non couverts par la Régie de l’assurance-maladie du Québec (comme l’optométriste, le dentiste, le massothérapeute, le chiropraticien, etc) complètement disparaître comme s’ils n’avaient jamais existé. Lorsque l’on se rend par exemple à la salle d’urgence d’un hôpital, on constate en arrivant que la salle d’attente est bondée et que la plupart des patients sont souvent des personnes de couleur. Ils ne se privent pas de demander des soins médicaux. Par contre, si l’on se rend chez l’optométriste pour un examen de la vue ou l’achat de verres de prescription, chez le dentiste pour un examen/chirurgie des dents ou chez un massothérapeute, là, c’est une toute autre histoire. Lorsque l’on rentre dans le bureau, on constate rapidement que la salle d’attente est vide la plupart du temps et que lorsqu’il y a des patients, ce sont presque toujours…des blancs. Autrement dit, quand c’est «gratuit», comme à l’hôpital par exemple, il y a beaucoup de «diversité» mais lorsqu’il faut payer de sa poche, eh bien là la «diversité» reste à la maison. Passer d’une rue de Montréal pour entrer dans le bureau d’un praticien de soins de santé non couverts par la Régie de l’assurance-maladie du Québec, c’est comme passer des Nations-Unies en Abitibi en un clin-d’oeil. Aussitôt la porte refermée, on a l’impression de nouveau d’être au Québec…

Je pense qu’il faut commencer à réaliser, nous les Québécois, nous les Canadiens-Français, à quel point on se fait voler. S’il fallait payer pour aller à l’urgence, on constaterait probablement la même chose que l’on constate chez le dentiste, l’optométriste ou le massothérapeute. On arriverait dans une salle d’attente presque vide avec des usagés qui seraient de descendance européenne pour le plupart. Le Canada est un pays socialiste. Les élites du pays ont décidé que nous, les citoyens, serions généreux. Le résultat de ceci est que nous, les citoyens, les payeurs de taxes, qui sommes les descendants des colons français et anglais et des autres peuples européens qui sont venus après, passons notre vie à payer pour soigner et procurer des services aux autres. Et quand nous, nous demandons des services, on a souvent de la difficulté à les obtenir et on passe après des gens qui viennent d’ailleurs.

Le Québec accueille entre 40 000 et 50 000 immigrants par année. Comme notre système de santé est public, i.e. géré par le gouvernement et qu’il n’y a pas de concurrence du secteur privé, et «universel», i.e. qu’il y une obligation de soin par le gouvernement, cela signifie que l’état doit les prendre en charge sur le plan médical. Donc, à chaque année, c’est entre 40 000 et 50 000 nouveaux patients qui doivent être pris en charge par le système de santé du Québec… Or, ces nouveaux patients n’ont jamais cotisé un cent dans la cagnotte. Ils n’ont jamais payé d’impôts en échange des services qu’ils reçoivent. Et comme ce petit manège se répète à chaque année, il ne faut pas être un grand gestionnaire pour comprendre que le point de rupture va être atteint bientôt. À un moment donné, le système de santé du Québec va s’écrouler sous le poids de tous ces gens qui débarquent ici parce que les soins de santé sont «gratuits», sans avoir à débourser pour les services.

Je vous ai annoncé dans un article précédent que j’étais en faveur de la remigration. Je n’ai pas changé d’idée. Mais, disons que si j’étais confortable avec l’idée de l’immigration et que j’étais en position d’autorité, j’organiserais les choses différemment. D’abord, je m’assurerais que les candidats à l’immigration payent des impôts au gouvernement du Québec tout en restant dans leur pays d’origine. Compte tenu des coûts énormes des soins de santé, une période de dix ans serait acceptable afin que l’état accumule assez de cotisations pour soigner quelqu’un convenablement. Lorsque la période de dix ans viendrait à échéance, le gouvernement du Québec pourrait autoriser les candidats à l’immigration à déménager au Québec. À leur arrivée, ils pourraient commencer à recevoir certains services de façon graduelle sur une période de cinq années supplémentaires tout en continuant évidemment à payer tous les impôts demandés. Si les candidats à l’immigration auraient payé toutes les sommes demandées et qu’ils n’avaient pas été accusés d’un crime ou commis un infraction, ils auraient alors le droit de déposer une demande formelle d’immigration au gouvernement. Un comité d’immigration passerait en revue les demandes pour rendre une décision finale à l’intérieur d’une période de cinq autres années. Évidemment, toutes les décisions seraient finales sans processus d’appel possible.

Cette façon de faire ferait probablement diminuer le degré de «diversité» que nous expérimentons dans le système de santé du Québec. On pourrait s’assurer ainsi que les gens qui immigrent au Québec le fassent réellement parce qu’ils veulent participer à notre société et à notre culture et non pas pour profiter de nous, parce que l’on est trop imbéciles pour réaliser qu’on est en train de se faire voler toutes nos richesses, celles que nos ancêtres ont travaillé si fort à produire pour les générations ultérieures. Mais ça, c’est si j’étais en faveur de l’immigration. Pour ma part, je continue à dire que la meilleure solution c’est qu’ils retournent tout simplement chez-eux…

Entrevue avec Alexandre Cormier-Denis sur le projet de réforme électorale et la démographie au Québec

L’immigration de remplacement et la remigration…

Je profite de la publication d’une nouvelle vidéo d’Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV, une excellente webtélé patriote, pour crever l’abcès de la situation difficile dans laquelle on se retrouve, nous les Occidentaux de race blanche. Dans la vidéo que vous retrouverez au bas de cet article, Cormier-Denis nous présente la propagande mondialiste d’un groupe d’influence, le Century Initiative/Initiative du Siècle. Ce groupe fait la promotion de l’idée selon laquelle le Canada devrait gonfler sa population pour atteindre 100 millions d’habitants en 2100. Le projet est présenté avec les habituels arguments des mondialistes et des partisans des Nations-Unies et du multiculturalisme. Cette institution n’est évidemment pas la seule à promouvoir l’immigration massive. Beaucoup de groupes liés à l’immigration et au multiculturalisme se retrouvent dans ce camp, comme la Chambre de Commerce par exemple. En effet, les grands sbires de la haute finance, de la bourse et du secteur économique en général ont littéralement des rêves mouillés à l’idée d’importer une main-d’oeuvre de moins en moins coûteuse dont on peut se débarrasser facilement. En effet, pourquoi s’ennuyer avec des conventions collectives, des conditions de travail, etc, quand on peut tout simplement offrir les emplois à des gens qui en demandent moins? Et d’ailleurs, après avoir eu des travailleurs immigrants de toutes les couleurs, de moins en moins chers, on se demande quelle sera la prochaine étape. Les singes ou les robots? Faites votre choix.

Il est impératif que nous commencions les années ’20 du XXIème siècle du bon pied en parlant des vraies affaires. Les Occidentaux de race blanche, les Blancs autrement dit, les Indo-Européens, sont en train de se faire remplacer par des populations issues du Tiers-Monde, par des Arabes, des Noirs, des Latinos et des Asiatiques. Le rythme et le nombre par lesquels ces populations arrivent ici rendent leur assimilation absolument impossible. Ces populations proviennent souvent, en plus, de cultures dont les valeurs et les comportements sociaux sont complètement contraires aux nôtres, ce qui engendre conflits, tensions et violence. Ces nouveaux arrivants ne vont jamais s’assimiler. Par leur reproduction plusieurs fois supérieure à la nôtre, ils vont inévitablement nous remplacer et nous deviendrons des apatrides dans nos propres pays.

Il y aussi le problème du quotient intellectuel moyen des pays dont on accueille les immigrants. Avec un quotient intellectuel moyen nettement plus bas, l’arrivée massive de ce type d’individus fera baisser de façon significative l’efficacité de nos institutions, ainsi que la créativité, la débrouillardise et la résilience de nos citoyens. À terme, la combinaison de l’incompatibilité des valeurs, des comportements et la chute du quotient intellectuel moyen fera effondrer la civilisation elle-même, au grand dam des beaux monsieurs et de belles dames de la Chambre de Commerce qui auront précipité leur propre déconfiture.

Il nous faut donc faire marche arrière. Nous n’avons pas le choix si nous voulons survivre. Non seulement nous devons arrêter l’immigration mais nous devons mettre en place des politiques de remigration. Toutes ces belles âmes qui sont venues chez-nous, pour s’approprier nos terres, nos richesses, nos femmes, etc, en nous envoyant nous faire foutre, en nous agressant, nous intimidant, nous harcelant, nous tuant parfois, devrons plier bagage et s’en aller. C’est un processus qui, évidemment, prendra plusieurs décennies à se compléter mais nous devons commencer maintenant. En gros, on pourrait se fixer comme objectif de renvoyer chez-eux tous ceux qui ne sont pas de descendance européenne, sauf quelques rares exceptions. On parle ici de plusieurs dizaines de millions d’individus qui auront le plaisir de faire profiter de leur grande expertise leurs pays d’origine qui, on imagine bien, vont les accueillir à bras ouverts…

Il n’y a pas une minute à perdre. L’avenir nous appartient. Ce sont les Occidentaux qui ont tout construit ce qui se trouve sur la Terre présentement. L’automobile, l’avion, l’électricité, l’électronique, l’ordinateur, etc, ont vu le jour grâce à l’intelligence, la créativité, le travail et la débrouillardise des Occidentaux, oui oui, ceux que l’on appelle les Blancs. Beaucoup d’immigrants se plaisent à dire que les Blancs sont racistes. Eh bien, on va leur faire plaisir, on va les renvoyer chez-eux avec un billet aller-simple. L’avenir est à nous! Vive les Indo-Européens! Vive la civilisation occidentale! Je vous laisse en compagnie d’Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV.

Débat entre Eric Zemmour et François Asselineau

Voici un débat entre Eric Zemmour et François Asselineau qui s’est déroulé dernièrement. Ce qui est évident ici, c’est que Zemmour et Asselineau ont tous les deux raison. Le véritable combat des Français consiste à recouvrer leur souverainté ET à défendre leur identité française, occidentale et chrétienne dans un monde qui est en train de s’effondrer. Comme j’ai eu l’occasion de le dire souvent, les patriotes français doivent unir leurs forces au lieu de se chicaner continuellement pour des histoires de cuisine. Le peuple français doit proclamer sa souveraineté dans tous les domaines possibles, politique, culturel, économique, identitaire, religieux, racial et le reste. Il n’y a pas de compromis à faire avec ceux qui occupent l’Europe et qui s’attaquent à notre peuple. Nous sommes Français et c’est notre destin de faire rayonner notre culture partout sur la planète.

Présentation de Maître André Sirois à la commission sur la planification de l’immigration au Québec pour la période 2020-2022

La présentation de Jean-Nicolas Beuze à l’Assemblée Nationale du Québec sur l’accueil des réfugiés

Les Québécois ont eu droit cette semaine à la visite du représentant pour le Canada du Haut Commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, Jean-Nicolas Beuze. Il a livré, lors de la consultation publique sur la planification de l’immigration pour la période 2020-2022, un discours totalement déconnecté de la réalité des peuples qui subissent l’immigration massive avec son flot de réfugiés et de migrants, mais totalement cohérent avec les orientations officielles des Nations Unies. En effet, l’ONU a un programme officiel de replacement de populations qu’elle désire imposer à un certain nombre de pays affichant un faible taux de fertilité. Si le discours de Jean-Nicolas Beuze a semblé pour nous, les patriotes québécois, totalement odieux, déplacé et irresponsable, on doit réaliser ici que pour les Nations Unies, ce discours est tout à fait dans les normes. Les Nations Unies concoivent des politiques et des programmes qui ont pour vocation de s’appliquer unilatéralement sans égard à la souveraineté des états ou des peuples et cela inclut les migrations de populations. Les Nations Unies est une institution à vocation planétaire, universelle, qui ne se sent pas concernée par les problèmes locaux des pays membres. Pour les Nations Unies, il n’y a pas de peuples ou de nations à proprement parlé, il n’y a que des humains, des Terriens, auxquels on doit obligatoirement reconnaître des droits de déplacement et de réinstallation où bon leur semble. Je joins la vidéo d’Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV où il fait l’analyse de la présentation de Jean-Nicolas Beuze et de celle des autres intervenants lors de cette consultation publique.