Nous avons été trahis. Le fait que les tribunaux anglais aient décidé d’accepter que des causes puissent être plaidées sur la base de la charia en est une preuve flagrante. Nous avons été vendus. Comme du bétail. Sans notre consentement. Et maintenant que cela est devenu fait accompli en Angleterre, le reste du Commonwealth risque de suivre ce très mauvais exemple, ainsi que ce qui restera du monde occidental. Il n’en tient qu’aux Québécois de se démarquer de cette trahison immonde et d’affirmer haut et fort leur identité, leur culture et leur caractère unique. Comme les Gaulois d’Astérix, refusons de nous soumettre. Combattons! Voici Tarek Fatah sur le sujet, sur les ondes de SunNews.
Archives de catégorie : Justice
Maître Marcel Ceccaldi: La Cour Pénale Internationale, justice des vainqueurs
Clash Levy/Berger(PS) sur les liens entre les prisons et l’islamisme
Kris Kobach on American laws for American courts
Interview airs in segment #2.
Marine Le Pen donne son appui aux automobilistes et propose des mesures concrètes
À une époque où l’on en finit plus de harceler les automobilistes par toute une série de taxes et de mesures de répression, cette intervention est la bienvenue, c’est le moins que l’on puisse dire. Marine Le Pen prend ici la défense des conducteurs automobiles qui sont, pour la plupart, monsieur-et-madame-tout-le-monde. Si les plus riches de la société peuvent prendre leur jet privé, l’hélicoptère ou se faire conduire par leur chauffeur, il n’en est pas de même pour le citoyen ordinaire. Bravo à l’équipe de Marine Le Pen pour cette initiative. C’est avec ce genre de propositions et de mesures que l’on protège l’économie locale, le revenu de petits commerçants et la mobilité des classes populaires et des classes moyennes, pour qui l’automobile est une nécessité pour pouvoir survivre.
Marine Le Pen : pour une sécurité routière qui... par MarineLePen
Michael Coren & Ezra Levant Discuss Omar Khadr
La justice gauchiste au Québec, prise 2: Le cas du Dr Guy Turcotte et le massage de pieds étatique
Cette entrevue de Benoit Dutrizac avec Isabelle Gaston, l’ex-conjointe de Guy Turcotte, est grandement éloquente de la situation de la justice au Québec. Le Ministre québécois de la Justice, Jean-Marc Fournier, peut bien se rendre à toutes les semaines à Ottawa pour brailler avec sa boîte de Kleenex contre le Projet de loi C-10, cela ne changera rien. L’obsession que le peuple québécois entretient par rapport à la notion de réhabilitation est décidément pathologique. En justice, chaque cas est un cas d’espèce. On ne peut les comparer. Dans l’affaire Guy Turcotte, on est en présence de quelqu’un qui a tué ses deux enfants le 20 février 2009, en raison d’un « trouble d’adaptation avec humeur dépressive », nous dit-on. Cette notion est tout à fait brumeuse mais disons que ce n’est pas la première fois que des psychiatres inventent des formules douteuses. Le procès s’est donc conclu par un verdict de non responsabilité criminelle. L’analyse faite par Benoit Dutrizac lors de cette entrevue avec Isabelle Gaston est tout à fait appropriée et juste. Guy Turcotte, dans notre système de justice, a réussi à embobiner tout le monde. Il a réussi à saboter la vie d’Isabelle Gaston, à être reconnu non criminellement responsable du meurtres de ses deux enfants, à choisir sa thérapie et son psychiatre, à choisir sa sentence, à choisir son retour en société, etc. Selon Isabelle Gaston, Guy Turcotte aurait mérité vingt-cinq ans de prison pour ces meurtres crapuleux, alors que ces jours-ci la Commission d’examen des troubles mentaux est en travaux afin de déterminer si Turcotte peut recouvrer sa liberté, après avoir passé seulement quelques mois à l’Institut Philippe Pinel. Dominique Bourget quant à elle, psychiatre engagée par la défense, pense que Turcotte doit être libéré sans condition…
La justice québécoise est définitivement gauchiste, lâche, traître, matriarcale et féminine. Si Turcotte avait commis ses crimes aux États-Unis, il y a fort à parier qu’il aurait reçu une peine à perpétuité. Mais ici au Québec, on ne fait pas cela. Non. On permet plutôt à n’importe qui de se prévaloir de la notion d « alinéation mentale » pour se défiler d’une peine de prison. Mais de toute manière, même si on l’avait reconnu criminellement responsable, étant donné que l’on libère tout le monde au sixième de la sentence, on aurait revu Turcotte assez rapidement, si ce n’est en train de faire des travaux communautaires à l’Accueil Bonneau, comme servir du spaghetti par exemple… Ce qui est le plus choquant, c’est que l’on a l’impression que Turcotte a contrôlé toutes les étapes du processus judiciaire du début jusqu’à la fin. Que voulez-vous, il avait de bons avocats. Et c’est dégueulasse. Je joins également deux autres entrevues, l’une avec Pierre-Hughes Boisvenu, Sénateur Conservateur, qui réagit à la fois à une entrevue précédente avec Jean-Claude Bernheim sur les conditions de vie des détenus et à l’affaire Turcotte, et cette même entrevue avec Jean-Claude Bernheim.
Entrevue avec Pierre-Hughes Boisvenu
L’affaire Desjardins-Montagna: La preuve retenue par le tribunal en raison de la sécurité nationale?
Raynald Desjardins, ancien bras droit du parrain Vito Rizzuto, est accusé du meurtre de Salvatore Montagna, un ancien dirigeant par intérim de la famille mafieuse new-yorkaise des Bonanno, survenu le 24 novembre dernier à Charlemagne. Desjardins avait été la cible d’un attentat raté le 16 septembre dernier, à Laval. Suite au meurtre de Montagna, un « contrat » aurait été mis sur la tête de Desjardins. Le début des procédures pour meurtre intentées contre Desjardins se sont donc fait sous haute surveillance. Or, ce qui est particulier dans ce dossier, c’est que le tribunal refuse de divulguer toutes les preuves qui ont servi à inculper Desjardins, à la defense. Seules des considérations de sécurité nationale, de terrorisme ou de possibles atteintes à la vie de personnes peuvent justifier la retenue de ces preuves. En effet, il appert que la police aurait réussi à décoder le protocole de communication crypté développé par la compagnie RIM, fabriquant le Blackberry. Me Claude Olivier, un des avocats de la défense, se dit surpris que la GRC puisse être en mesure de déchiffrer ces communications puisque, dit-il, « le FBI n’est pas capable de le faire ». Certaines questions se posent donc, à savoir si, par hasard, RIM n’aurait pas collaboré avec la police en partageant des renseignements. Aussi, on est droit de se demander quelle pouvait bien être la nature des conversations qui ont eu lieu.
En dernier ressort, la vraie raison qui doit bien motiver la retenue par le tribunal de ces preuves envoyées et enregistrées par les appareils Blackberry demeure probablement l’avantage technologique. En effet, pour que la police et les services de renseignements puissent détecter et désamorcer des attentats en préparation ou autres crimes majeurs, ils doivent avoir une « coche » d’avance sur ceux qui voudraient utiliser la technologie pour leurs fins personnelles et ainsi causer du tort à la collectivité. On ne saura jamais probablement ce qu’il y avait dans ces messages mais je me dis que notre ignorance vaut bien mieux que des groupes islamistes, terroristes, nazis, d’extrême-gauche, d’extrême-droite et autres totalitaires puissent prendre connaissance de la façon de déchiffrer le code crypté de RIM. Je vous propose une courte entrevue avec Me Claude Olivier sur les ondes de l’émission de Paul Arcand du 98,5 FM, ainsi que quelques articles faisant le tour des faits principaux.
Entrevue de Marc Bellemare au 98,5 FM en appui au Projet de loi C-10
Cette dernière entrevue de Marc Bellemare accordée à Benoit Dutrizac sur les ondes du 98,5 FM vaut le détour. Il donne son appui au Projet de loi C-10, parrainé par le Sénateur Conservateur Pierre-Hughes Boisvenu et explique pourquoi. Selon Jean-Marc Fournier, il y aurait unanimité au Québec contre ce projet de loi. Vraiment? Je ne suis pas sûr. Je connais plein de gens qui appuient les Conservateurs dans leur désir d’imposer des peines plus sévères aux criminels. Soit le milieu social du ministre Jean-Marc Fournier est trop étroit soit il n’écoute que toujours les mêmes personnes. À vous de juger.
Une façon simple et facile de contrer la récidive en matière de criminalité: La chaise électrique…
Aujourd’hui, j’ai décidé qu’il était temps que quelqu’un mette les points sur les « i » dans le dossier de la récidive criminelle. Le témoignage d’Éric Chenel, fils de Jean-Claude Chenel, un criminel dangereux aux délits multiples, est inquiétant. Éric Chenel a raconté à Benoit Dutrizac sur les ondes du 98,5 FM, entrevue que vous retrouverez plus bas, les traitements cruels que son père lui a fait subir lorsqu’il était enfant, à savoir abus sexuels, violence, menaces et chantage. Après avoir passé les cinq dernières années en prison, Chenel est sur le point de sortir et son fils est très inquiet non seulement pour sa propre sécurité mais aussi pour celle de ses soeurs. Jean-Claude Chenel pourrait essayer de les tuer avant de se suicider. Éric Chenel sait aussi qu’il y a bon nombre d’autres victimes de son père, de pédophilie entre autres, mais que celles-ci n’osent pas parler. Depuis ces années misérables, Éric Chenel a de la misère à vivre une vie normale, surtout depuis qu’il sait que son père va sortir de prison. Vomissements, tremblements, angoisses, sont les symptômes d’une vie qui a été brisée par une ordure, c’est le mot.
En deuxième entrevue, je vous propose Pierre-Hughes Boisvenu, sénateur Conservateur. Monsieur Boisvenu appuie le Projet de Loi C-10 sur les jeunes contrevenants et il se surprend des « montées de lait » de Jean-Marc Fournier, qui est contre.
En gros, je dirais qu’encore une fois, notre société fait fausse route. Jean-Marc Fournier peut bien dire ce qu’il veut mais il n’en demeure pas moins que la défense de criminels dangereux que l’on protège comme s’ils étaient des pierres précieuses n’a aucun sens. Dans le judaïsme, une des valeurs fondamentales est de protéger la veuve et l’orphelin. Et curieusement, dans le christianisme, ou du moins tel qu’il a été compris et appliqué, on a tendance à protéger les criminels, fruit d’un genre de mystique du pardon ou de la rédemption franchement assez perverse et pathologique. On a affaire ici à un cas flagrant de ce genre, dans lequel on va dérouler le tapis rouge pour Jean-Claude Chenel, un criminel dangereux et irrécupérable, en se foutant totalement de la sécurité des victimes précédentes et des autres victimes potentielles qu’il pourrait faire suite à sa sortie de prison. En écoutant cette entrevue d’Éric Chenel, on ne peut pas faire semblant qu’une telle situation soit acceptable.
C’est pourquoi je me dis que la seule solution qui puisse fonctionner, c’est d’appliquer la peine de mort, comme le faisais les anciens. Quand on a un peu de respect pour les victimes et que l’on a à coeur de protéger la population, on ne peut choisir une autre voie. Voyez-vous, il y a une chose qui nos bons politiciens québécois et aussi canadiens ne comprennent pas. C’est que la réhabilitation, pour les criminels dangereux et récidivistes, cela ne fonctionne pas. Évidemment, dans le cas d’un individu qui en serait à une première offense ou qui aurait commis un délit mineur, appliquer la peine de mort est idiot. Mais pour les cas lourds de criminels récidivistes qui ont multiplié meurtres, viols ou abus sexuels, nous devons envisager cette solution, et ce pour une raison fort simple: ce genre d’individus sont des menteurs professionnels. Ils vont embobiner tour à tour travailleuses sociales (surtout) policiers, officiers de justice, juges, intervenants en réhabilitation, etc, alors qu’ils n’ont en fait aucune motivation de se réhabiliter et qu’ils n’en sont pas capables de toute façon. Et si on les garde en prison au lieu de les relâcher, ce sont des sommes d’argent qui ne sont plus disponibles pour subvenir, comme je le disais, à la veuve et l’orphelin.
Dieu a dit à Adam: « Tu es poussière et tu retourneras à la poussière ». Parfois, il faut donner un coup de main à Dieu pour qu’il puisse faire son travail.