Les trois phases du djihad et comment les reconnaître

Excellent vidéo expliquant comment les forces de l’islam s’y prennent pour conquérir de nouveaux territoires. Les trois phases de la conquête islamique sont: le djihad de dissimulation, le djihad défensif et le djihad offensif. Les adeptes de l’expansion islamiste vont donc de la dissimulation à l’agression progressive, jusqu’à l’agression totale et définitive. Un document à visionner avec attention.

L’art de la guerre de Sun Tsu ou comment faire la guerre avec son cerveau

Cet excellent documentaire présente la science militaire enseignée par le général chinois Sun Tsu. Ce dernier vécu au VIème siècle av. J.-C. Ses conseils judicieux ont permis à l’État de Wu de connaître des succès militaires face à l’État de Chu. Au-delà du rappel historique tout à fait valable ici, cette présentation nous aide à comprendre pourquoi les Occidentaux et particulièrement les Américains ont échoué lamentablement dans toutes les guerres qu’ils ont entreprises depuis les années soixante. En effet, leur stratégie consiste à appliquer les principes du « jeu d’échecs », consistant à abattre le plus de pièces possible du groupe ennemi, alors que Sun Tsu enseignait plutôt à adopter une stratégie de type « jeu de go », où les troupes militaires essaient de conquérir du territoire et de le contrôler.

Les Américains ont mangé tout une raclée au Vietnam, puisque leurs adversaires se sont servis de leur cerveau, ont combattu avec intelligence, au lieu de chercher à assommer l’ennemi avec des bombes et des gaz chimiques. L’armée vietnamienne a appliqué l’enseignement de Sun Tsu à la lettre, en conduisant des opérations de guérilla, d’embuscade et en choisissant les lieux et les moments les plus propices pour elle d’engager le combat. En raison de ce choix de stratégie, les Vietnamiens ont donc gagné la guerre. Malgré toutes les bombes et les gaz chimiques que les Américains ont pu leur lancer, ils combattu courageusement, en utilisant leur cerveau. Lorsque les Américains se sont aperçus qu’ils n’arriveraient à rien avec les Vietnamiens, ils ont tout simplement remballé leurs affaires et sont partis. C’est comme cela que la guerre s’est terminée. Les Vietnamiens ont vaincu leurs adversaires là où ça comptait le plus, i.e. entre les deux oreilles.

D’autres exemples de combats militaires sont présentés ici pour illustrer la philosophie militaire de Sun Tsu, comme ceux de la bataille de Gettysburg et du débarquement en Normandie. Mais le plus intéressant à analyser reste la situation actuelle. De toute évidence, des groupes islamistes comme Al-Qaida et les Frères Musulmans utilisent l’enseignement de Sun Tsu, de pair avec des stratégies de type « jeu de go ». Ce n’est vraiment pas étonnant alors que nous ayons tant de misère à les vaincre. Nous ne connaissons pas bien l’ennemi d’une part, et d’autre part nous essayons toujours de les assommer avec des bombes. Ce n’est pas la bonne méthode. Nous devons utiliser notre intelligence. Je ne puis donc que recommander fortement ce documentaire à tous et en particulier aux généraux des armées occidentales. On n’arrivera à rien tant que l’on ne changera pas de stratégie et que l’on ne comprendra pas mieux à qui nous avons affaire avec les forces de l’Islam.

La guerre économique du Canada-Anglais contre le Québec: Le cas du restaurant Yogi

Cela peut paraître banal mais c’est ainsi que le déclin économique s’accélère dans un pays. La mondialisation produit un transfert de richesses de la classe moyenne vers la classe la plus riche et fait passer un bon nombre de personnes de propriétaires de magasins ou de maisons à employés ou locataires. Lorsque j’ai su qu’un restaurant de la chaîne canadienne-anglaise Tim Hortons s’était installé directement en face du Restaurant Yogi à Roberval, au Lac-St-Jean, j’ai tout de suite flairé l’arnaque. La proie était trop facile: Un petit commerçant canadien-français, québécois, un propriétaire d’entreprise qui a une clientèle et un produit uniques, se voit visé et directement attaqué par un géant de la restauration rapide qui a des moyens financiers énormes et une capacité de générer de la publicité impressionnante. Le Restaurant Yogi, situé sur le Boulevard Marcotte depuis des décennies, a maintenant un compétiteur de taille construit juste en face de son établissement. Que va-t-il se passer, d’après-vous? Le gros va manger le petit, comme cela arrive la plupart du temps. Tim Hortons, en s’établissant de l’autre côté de la rue, se trouve ni plus ni moins qu’à siphonner le marché de vente du Restaurant Yogi et sa clientèle pour lesquels les propriétaires successifs et les employés se sont acharnés à conserver depuis l’ouverture, avec des hauts et des bas. C’est ça, la mondialisation. Des grosses corporations viennent saboter l’activité économique de pays vulnérables en s’attaquant au commerce local, de proximité, qui sont en général plus petits et qui n’ont pas les moyens de se défendre. Résultat: À terme, le Restaurant Yogi fermera ses portes et le propriétaire se résignera à accepter un poste de gérant chez Tim Hortons, lors duquel il prendra les ordres acheminés depuis le siège social situé à Oakville, en Ontario, probablement in english, please.

Quoique élaboré de façon différente, cette agression ressemble dangereusement à la campagne de boycott qui a été organisée par le groupe PAJU contre des commerçants québécois sur la rue St-Denis à Montréal, respectivement les boutiques Le Marcheur et Naot. De façon similaire, des intérêts étrangers s’attaquent à notre activité commerciale. Comme cela se fait-il que les Robervalois ne se sentent pas solidaires du Restaurant Yogi et qu’ils n’organisent pas de buycott, une campagne en faveur de ce restaurant, me dépasse complètement. Car si on ne défend pas nos entreprises contre les agressions étrangères de ces multinationales, c’est littéralement toutes nos petites entreprises locales, dont nous sommes propriétaires, qui vont fermer. Nous serons redevenus des porteurs d’eau, des employés au service de patrons qui se foutent totalement de notre culture, de notre langue et de nos valeurs. Notons aussi que l « accident » du Lac-Mégantic (le déraillement du 8 juillet 2013) et le feu de St-Donat (l’incendie suspect du 6 octobre 2013) permettront certainement à des multinationales de venir s’installer sur les terrains laissés vacants par ces tragédies et remplacer ainsi des commerces de propriété québécoise par d’autres de propriété étrangère. Ces « accidents » ayant détruit une partie du centre-ville de ces deux municipalités, certains en bénéficieront mais probablement pas les Québécois. En passant, à quand la nourriture halal chez Tim Hortons? Vous voyez, la souveraineté, c’est ainsi que cela commence. Défendre nos entreprises et nos emplois contre l’agression demeure la meilleure façon de défendre notre culture. Si on est même pas capable de faire ça, eh bien on ne fera pas long feu dans ce monde où la prédation est la norme.