Dans ce webjournal, Alexis Cossette-Trudel revient entre autres sur le tweet du General Flynn où il renvoit ses abonnés à la lettre ouverte de l’Archevêque Vigano au Président Donald Trump, dans laquelle il le met en garde contre le Grand Reset ou remise à zéro économique qui est en train d’être effectuée sous le couvert de la «pandémie».
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Entrevue avec Catherine Austin Fitts sur la mise en place du nouveau système économique planétaire (pendant que tout le monde est distrait avec le Covid…)
TRÈS IMPORTANT: Cette entrevue de haut niveau met en vedette Catherine Austin Fitts. Mme Fitts a travaillé à la fois dans le système bancaire et financier mais aussi au gouvernement américain, ce qui lui donne un point de vue unique et très pertinent pour se prononcer sur les affaires courantes. Dans cette entrevue avec Alex Jones, elle énonce ce qui se passe réellement dans ce que l’on appelle la «pandémie» de «Covid-19». En gros, elle affirme, avec beaucoup de justesse, que la «pandémie» est tout simplement un prétexte utilisé par les élites bancaires et financières pour mettre en place un nouveau système économique. Elle fait remarquer que les grandes corporations et les banques en profitent pour mettre la main sur les petites entreprises qui souffrent du confinement et qui ne peuvent pas continuer à opérer. Preuves à l’appui à l’aide de cartes, elle montre que les zones où ont eu lieu les émeutes (où les antifascistes et BLM étaient fortement représentés) aux États-Unis correspondent à des zones considérées comme ayant un fort potentiel de développement. Elles sont appelées des «zones d’opportunité» et sont sous loi fédérale. Autrement dit, ces zones peuvent facilement faire l’objet de spéculations de toutes sortes. Les émeutes ont comme effet de faire baisser les évaluations foncières d’une part, mais aussi de convaincre davantage de commerçants de vendre ou de fermer leurs entreprises. On peut voir ces cartes à partir de 13:20 minutes dans la vidéo. Les zones où plusieurs immeubles sont brûlés et détruits permettent de redévelopper ces secteurs de façon à en faire bénéficier les investisseurs potientiels. Aussi, selon elle, la fermeture des petites entreprises durant le confinement auraient été décidée pour empêcher l’explosion de l’inflation qui aurait été inévitable en raison des nombreux assouplissements monétaires qui ont été faits durant les dernières années. Toujours selon elle, la fin ultime de ce processus sera la mise en esclavage complète de l’humanité. Les enfants seront les plus vulnérables de cette mise en esclavage. Nos élites utiliseront le prétexte de la Covid pour s’emparer de nos enfants et leur faire subir toutes sortes de sévices. C’est un futur que nous ne pouvons pas nous permettre d’accepter. À voir absolument. Prière de partager ce contenu partout où vous le pouvez.
Alex Jones parle de l’écrasement prochain de l’économie
L’Occident sous occupation, dixième chapitre: La Covid-19, la remise à zéro économique, l’entraînement pavlovien, le délire sectaire, le crime contre l’humanité et le 5G…
Le Covid-19 est un spectacle son et lumière, un jeu de miroirs et de fumée par lequel l’économie mondiale vit une remise à zéro. L’accumulation de la dette publique des états, additionnée à celles des entreprises et des ménages, nous amène à ce cul-de-sac que nos élites appellent le «Covid-19». Les dettes cumulées sont absolument insurmontables. Ni les états, ni la plupart des entreprises vont réussir à rembourser leurs dettes. Les ménages, avec la croissance continuelle des coûts des nécessités quotidiennes, n’y arriveront pas non plus pour la majorité. Avec un peu de chance, peut-être arriveront-ils à rembourser leur prêt engagé sur une automobile ou sur une maison, au bout de plusieurs années. Mais pour ce qui est des cartes de crédit, oubliez ça. Les cartes de crédit compensent le manque à gagner causé par la stagnation des salaires que nous expérimentons depuis que la Chine a pris son essor sur le plan économique. Les entreprises, séduites par la main-d’oeuvre à bon marché disponible à l’infini à l’étranger, se sont laissé tenter soit par la délocalisation de leurs installations, soit par l’importation de la main-d’oeuvre à travers le processus d’immigration et du statut de réfugié.
Malheureusement, ces mesures palliatives prises pour contrecarrer et reprendre de la compétitivité face à la Chine n’ont fait que creuser davantage la tombe économique occidentale. Les états occidentaux, ayant moins de recettes fiscales et globalement moins d’activité économique suite à la délocalisation de leurs entreprises, s’enfoncent encore plus. La solution qui leur vient alors à l’esprit, pour se sortir du pétrin, est la même que d’habitude: emprunter. Cette nouvelle dette s’additionnant à l’ancienne ouvre la porte à la faillite technique de l’état, puisque celui-ci devient incapable de rembourser. Ce phénomène a aussi été exacerbé au cours des ans par la dislocation des monnaies de l’étalon-or, ce qui a favorisé l’utilisation de la planche-à-billets à tous les prétextes et ce qui a rendu les politiciens irresponsables au niveau budgétaire.
C’est ici que nous en sommes avec la «Covid-19». L’accumulation des dettes est telle qu’une remise à zéro est nécessaire. Cette nouvelle maladie sert donc de prétexte maintenant pour se livrer à cet exercice. Évidemment, on serait naïf de croire ici que tous vont y gagner. C’est plutôt le contraire. La plupart vont y perdre, sauf ceux qui sont en haut de la pyramide. C’est pour cette raison que vous avez vu que dans beaucoup de pays les PME (petites et moyennes entreprises) ont dû fermer leurs portes sur décret du gouvernement, alors que les grandes surfaces ont continué à opérer. Subtilement, cela a permis à ces grandes surfaces, souvent américaines, de s’accaparer les parts de marché des PME, que celles-ci ne retrouveront jamais probablement. C’est du vol pur et simple mais en veston et cravates. Ceux qui se trouvent en haut de la pyramide ont décidé que les multinationales dans lesquelles ils avaient des intérêts continueraient à opérer durant la pandémie. Que voulez-vous, le Coronavirus ne se répand pas chez Walmart, Costco, Home Hardware, Best Buy ou McDonalds. Mais il se répand très très vite dans une petite entreprise qui a un local de 100 pieds carrés. Que voulez-vous, c’est comme ça.