Dearborn U.S.A.: A fine example of Barack Obama’s « change »

When I watched this video, I couldn’t believe my eyes. It got me angered for the rest of the day. It’s a chance to come to America. North America is a land of peace and prosperity. No foreigner or recent immigrant has the right to despise or criticize the U.S. or Canada, precisely because we offer the very conditions and advantages that exist nowhere else in the world. In this footage, we see Middle Eastern new « Americans », if we can use that term, throwing bottles, cans, pieces of concrete, rocks, at a group of Christians peacefully demonstrating… Yes, you read correctly. No need to reach for your glasses to make sure you got it right. These so-called new « Americans », just getting of the boat, their feet still being soaked, are displaying the rudest, most impolite, unrespectful, obnoxious and violent behavior toward the very citizens who  are welcoming them here in the first place and who, by the way, are also paying for their social benefits through taxation. This totally crosses the line. I’m fed up with Middle Eastern immigrants. Is there something they respect?

The other totally unacceptable thing in that incident is the attitude of the local police. Looking at their performance and listening to what they say, you almost have the impression that it is the Christians who are the newcomers in a Middle East country. The police clearly has a biais against the white, Anglo-Saxon Protestant or Catholic, Christians who peacefully demonstrate their faith during what is, from what we can see, an Arab festival of some kind. How much of this « change » will we have to endure before somebody gets the clock back to our values and traditions? You don’t need a Ph.D. in sociology to see that these Arab/Muslim immigrants are not here to integrate into the larger population. They are here to conquer us by slowly imposing their culture, religion and customs, and they do it by coercing the authorities, political, civilian and police force. I feel the need to throw up. Our leaders have let us down to please voters. And we can also bet that big cash from the oil sheiks certainly helped them to « understand » the importante of « tolerance » and « comprehension » in these matters. Christians and westerners have become estranged in their own land. Shame on our leaders.

Le retour des bigots religieux, prise 2: Les Juifs hassidiques d’Outremont

Dans un article précédent, je vous ai parlé de la montée de deux groupes intégristes, créés en 1928, et qui ne cessent d’avoir une influence de plus en plus déterminante sur la planète, à savoir les Frères musulmans et l’Opus Dei catholique. Le mouvement intégriste des Juifs hassidiques, de son côté, connaît lui aussi un essor prononcé depuis plusieurs années. Les tensions entre ces communautés intégristes et la masse de la population largement séculière en Israël commencent à être inquiétantes pour la démocratie et pour l’avenir de ce pays déjà aux prises avec de terribles menaces à sa survie. Il n’est pas rare, par exemple, de voir des membres de la communauté hassidique cracher sur les femmes qui s’habillent de façon moderne, ce qui n’est pas sans rappeler les comportements des intégristes musulmans face aux femmes musulmanes. Et on a vu ce phénomène ailleurs dans le monde également. Or, voici que cette semaine dans l’arrondissement d’Outremont à Montréal, une dispute a éclaté entre une représentante municipale, Céline Forget, et un groupe de Juifs hassidiques réunis pour célébrer la fête de Pourim. L’ensemble des éléments en cause semblent indiquer que les Juifs hassidiques commencent à avoir une attitude dite communautariste. En effet, ils se comportent comme si le quartier leur appartenait, ce qui n’est pas le cas. Le Québec est une province laïque. C’est nous qui menons ici, pas les communautés religieuses. L’espace publique appartient à tous. Je joins ici quelques entrevues lors de l’émission de Benoit Dutrizac qui vous donnera un aperçu de ce qui a pu se passer, ainsi qu’un vidéo publié sur Youtube.

Céline Forget raconte son expérience

Louis Moffat d’Union Montréal commente cette affaire

Robert Poeti commente sur le travail des policiers

L’abattage halal et casher: Une autoroute pour la propagation de la bactérie E-Coli

Dans l’incessante histoire des accommodements religieux en terre occidentale, et après des années de débats en Europe, voici maintenant ce « phénomène » arrivé en Amérique. Ces derniers jours, nous avons appris qu’un abattoir de Saint-Damase, une localité près de Montréal, fournissant la compagnie Olymel abattait le poulet selon le rite halal de la tradition musulmane. Nous savons que dans cette tradition, comme dans la tradition juive, les animaux sont égorgés sans étourdissement. Selon les chiffres avancés par la journaliste Caroline Lacroix que vous pourrez entendre dans l’entrevue plus bas, cela signifie que 40% de tout le poulet produit au Québec est abattu selon le rite halal, alors que la proportion de musulmans vivant ici est tout à fait dérisoire en comparaison. Plusieurs questions sont soulevées par cette abattage, dont la souffrance des animaux bien sûr. Mais il y plus important. Dans le premier vidéo que vous retrouverez plus bas, on y apprend que l’abattage rituel, halal ou casher, fait en sorte que l’animal meurt au bout de son sang. Dans l’abattage « séculier » ou moderne, le préposé à l’abattage attache l’œsophage pour empêcher le contenu de l’estomac de se vider. Cette opération est très importante, puisqu’elle permet d’éviter que les bactéries E-Coli viennent en contact avec la viande au moment où le contenu de l’estomac se vide, puisque l’animal est pendu par les pieds. En effet, les bactéries E-Coli sont présentes, dans le cas du boeuf en tous cas, principalement dans l’estomac et sur la peau. Or, comme dans l’abattage halal et casher le cou est tranché, il devient impossible d’attacher l’œsophage, ce qui fait en sorte que le contenu risque de se vider et de contaminer la viande avec des bactéries E-Coli.

Mais, évidemment, ce risque très grave pour la santé humaine ne semble pas déranger du tout l’industrie, qui pratique d’ailleurs ce type d’abattage non pas tellement pour plaire aux musulmans mais plutôt pour sauver les coûts reliés à l’étourdissement. Le plus scandaleux là-dedans, c’est que les viandes abattues selon le rite halal ne sont pas étiquetées la plupart du temps. Les compagnies, autant au Québec qu’en France d’ailleurs on le voit bien, non pas l’obligation indiquer sur le produit la façon dont la viande a été abattue. Ce qui veut dire que nous mangeons probablement halal depuis déjà plusieurs années sans le savoir, que nous soyons musulmans ou pas. En clair, il s’agit ni plus ni moins que d’une trahison de notre civilisation, de notre culture scientifique et des valeurs du siècle des Lumières, motivée par des raisons de rentabilité et faite au dépens de la santé de nos populations. Les gouvernements occidentaux vont-ils finalement réagir pour mettre fin à cette situation inadmissible? Ou préfèrent-ils courir le risque que leurs populations tombent malades suite à des intoxications aux bactéries E-Coli? Continuer la lecture

Difficulté de se faire servir en français à Montréal: Un exemple parmi tant d’autres

Montréal s’anglicise rapidement, tellement que l’on a l’impression parfois que notre société régresse vers le point où elle se trouvait dans les années cinquante. Les représentants du gouvernement du Québec chante souvent à la population que l’immigration représente un « bienfait » et un apport « inestimable » pour la province. Or, la situation n’est pas si rose et l’exemple qui suit le démontre bien. En général, les immigrants s’intègrent bien à Montréal, à l’exception des populations arabo-musulmanes en raison de leur religion et des accommodements incessants qu’ils demandent, et des ressortissants d’anciennes colonies britanniques qui semblent avoir intégré le mépris anglo-saxon pour la culture et le fait français en Amérique.

La première entrevue, avec un propriétaire de dépanneur d’origine indienne situé dans l’arrondissement de Verdun à Montréal, le dépanneur De L’Église, est significative. Cet individu est méprisant envers le peuple et la culture qui l’a accueilli sur son territoire. Nous, en tant que Canadiens et Québécois, n’avions aucune obligation de lui offrir une place ici. Et il nous remercie de notre générosité en nous traitant de « B.S. », de buveur de bières et de fumeur de cigarettes, en plus de refuser systématiquement de parler ou d’apprendre le français. La deuxième entrevue avec Gang Li, de l’Association des dépanneurs asiatiques, est un plus courtoise. Mais, malgré sa gentillesse, celui-ci non plus n’est en mesure de servir sa clientèle en français. C’est dommage car les asiatiques sont, parmi tous les immigrants, ceux qui s’intègrent le mieux de mon point de vue au niveau des valeurs et des comportements, et cette histoire va leur faire mauvaise presse. Nous qui en avions déjà plein les bras avec les musulmans et les intégristes religieux. Mais le refus d’apprendre et de parler français demeure déplorable et cette situation va perdurer tant que l’on continuera à être gouverné par des lâches et des incompétents. La deuxième entrevue permet d’entendre également Yves Servais de l’Association des Marchands, Dépanneurs et Épiciers du Québec. J’ai aussi joint un commentaire de Gilles Proulx sur la situation, une tribune téléphonique, ainsi qu’un article du site web FdeSouche qui a couvert la manifestation organisée par les Jeunes Patriotes du Québec en face du dépanneur De l’Église samedi dernier.

Le propriétaire du dépanneur De L’Église à Verdun

Gang Li de l’Association des dépanneurs asiatiques et Yves Servais de l’AMDEQ

Gilles Proulx commente sur la situation du français

Tribune téléphonique

Un dépanneur s’attire les foudres des jeunes patriotes