Entrevue avec Catherine Austin Fitts sur la mise en place du nouveau système économique planétaire (pendant que tout le monde est distrait avec le Covid…)

TRÈS IMPORTANT: Cette entrevue de haut niveau met en vedette Catherine Austin Fitts. Mme Fitts a travaillé à la fois dans le système bancaire et financier mais aussi au gouvernement américain, ce qui lui donne un point de vue unique et très pertinent pour se prononcer sur les affaires courantes. Dans cette entrevue avec Alex Jones, elle énonce ce qui se passe réellement dans ce que l’on appelle la «pandémie» de «Covid-19». En gros, elle affirme, avec beaucoup de justesse, que la «pandémie» est tout simplement un prétexte utilisé par les élites bancaires et financières pour mettre en place un nouveau système économique. Elle fait remarquer que les grandes corporations et les banques en profitent pour mettre la main sur les petites entreprises qui souffrent du confinement et qui ne peuvent pas continuer à opérer. Preuves à l’appui à l’aide de cartes, elle montre que les zones où ont eu lieu les émeutes (où les antifascistes et BLM étaient fortement représentés) aux États-Unis correspondent à des zones considérées comme ayant un fort potentiel de développement. Elles sont appelées des «zones d’opportunité» et sont sous loi fédérale. Autrement dit, ces zones peuvent facilement faire l’objet de spéculations de toutes sortes. Les émeutes ont comme effet de faire baisser les évaluations foncières d’une part, mais aussi de convaincre davantage de commerçants de vendre ou de fermer leurs entreprises. On peut voir ces cartes à partir de 13:20 minutes dans la vidéo. Les zones où plusieurs immeubles sont brûlés et détruits permettent de redévelopper ces secteurs de façon à en faire bénéficier les investisseurs potientiels. Aussi, selon elle, la fermeture des petites entreprises durant le confinement auraient été décidée pour empêcher l’explosion de l’inflation qui aurait été inévitable en raison des nombreux assouplissements monétaires qui ont été faits durant les dernières années. Toujours selon elle, la fin ultime de ce processus sera la mise en esclavage complète de l’humanité. Les enfants seront les plus vulnérables de cette mise en esclavage. Nos élites utiliseront le prétexte de la Covid pour s’emparer de nos enfants et leur faire subir toutes sortes de sévices. C’est un futur que nous ne pouvons pas nous permettre d’accepter. À voir absolument. Prière de partager ce contenu partout où vous le pouvez.

G. Edward Griffin explains the real nature of the Federal Reserve

The Federal Reserve is not federal. It is a cartel created to protect the interests of the bankers based in New York. The Fed is creating money out of nothing, simply by printing it. The American Dollar (rather the Federal Reserve Notes) is a fiat currency because it is no longer backed by gold. A lot of currencies around the world are in the same situation. In this way, states create more and more debt for generations to come. With that system, the only ones who are getting richer are the bankers themselves while everyone else is getting poorer day by day. A lesson from history that needs to be refreshed for everybody in these difficult times. A must see!

Pierre Jovanovic commente les nouvelles économiques des derniers mois

Pierre Jovanovic sur la Deutsch Bank, sur TVLibertés

Entrevue avec Jean-Pierre Chevallier sur la dette, les banques et la création monétaire, sur TV Libertés

Pierre Jovanovic fait le point sur la loi du 3 janvier 1973

Le 20 mars a eu lieu à BFM-TV un débat sur le mouvement des Gilets Jaunes et sur les solutions à apporter pour sortir de la crise. Seulement six partis politiques ont été retenus pour y participer. De façon absolument scandaleuse, François Asselineau, président de l’UPR, n’a pas été invité. Compte tenu qu’il a été celui qui a supporté le plus vivement et fortement les Gilets Jaunes et leurs revendications, cela donnait le ton pour un exercice qui s’annonçait bidouillé d’avance. Néamoins, la soirée a donné lieu à de bons échanges sur différents aspects de la question. Dans l’ensemble, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ont été les plus pertinents alors que les représentants des quatre autres partis ont passé leur temps à tourner autour du pot et à baratiner.

Or, dans ce contexte, il est impératif d’aller au fond des choses et d’identifier le problème. Cette revue de presse avec Pierre Jovanovic présentée sur TV-Libertés identifie la cause des déboires financiers de la France: La loi du 3 janvier 1973, promue par Valéry Giscard d’Estaing, qui obligeait dès lors la France à aller emprunter sur les marchés financiers au lieu d’emprunter à la Banque de France. Avant 1973, lorsque l’état français empruntait à la Banque de France, cela faisait en sorte que l’argent restait à l’intérieur du pays, même s’il y avait de l’intérêt à payer sur l’emprunt. Depuis 1973, lorsque l’état français fait un emprunt à l’étranger et que vient le temps de faire un paiement sur cette dette, cela implique nécessairement que l’argent sorte du pays pour être déposé dans une banque étrangère. Autrement dit, ce sont des sommes d’argent qui quittent le pays et qui ne reviendront jamais, qui ne seront jamais réinvesties en France. Jovanovic évalue à des centaines de milliards, à des trilliards de dollars, le montant des intérêts qui ont été versés à ce jour à des banques étrangères. C’est pourquoi les responsables politiques peuvent bien dire ce qu’ils veulent sur les plateaux de télévision, tant que cette loi du 3 janvier 1973 ne sera pas abolie les déboires financiers de la France vont continuer, sans parler des problèmes déjà considérables causés par l’adoption de l’Euro. Il est à espérer que le seul parti politique qui propose le Frexit et l’abandon de l’Euro, l’Union Populaire Républicaine, mette également la supression de cette loi à son agenda. Sinon, la longue agonie de la France va se poursuivre, peu importe ceux qui seront au pouvoir.

Jovanovic mentionne également un autre phénomène financier crucial qui s’est déroulé à la même époque, à savoir la décision du Président Nixon de mettre fin à la convertibilité du dollar en or ou ce qu’on appelle l’étalon-or, le 15 août 1971. Il est évident que l’adoption de la loi du 3 janvier 1973 découle directement de l’abandon de l’étalon-or et de la fin des Accords de Bretton Woods. Comme le dollar américain n’est plus adossé sur l’or, il n’y a plus de limite à la planche à billets. Les banques américaines peuvent acheter la planète entière, ce qu’elles font très bien. Ainsi, la fin de l’étalon-or a laissé le champ libre pour l’envahissement de l’économie par la planche à billets et par les pétro-dollars. Conclu le 14 février 1945 suite à une rencontre entre Roosevelt et le roi Ibn Saud d’Arabie Saoudite, à bord du navire le Quincy, le Pacte du Quincy créait ce que nous appelons aujourd’hui les pétro-dollars, ce qui devait à terme nous amener le problème du terrorisme islamiste avec ce que tout cela implique. Pour ceux désirant commencer à étudier cet aspect de la question, veuillez revoir cette entrevue avec Richard Labévière publiée dernièrement.

Pierre Jovanovic sur la prochaine récession économique