André Pitre analyse les raisons de la faillite des grands médias subventionnés

Ne manquez pas cette excellente émission où l’animateur André Pitre analyse la supposée crise des médias. On a entendu cette semaine le PDG de Québecor, Pierre-Karl Péladeau, s’attrister de la baisse de revenus de son entreprise et du manque de soutien financier de la part du gouvernement fédéral. André Pitre se livre ici à une excellente analyse de la situation. Voyez-vous, les grands médias doivent faire un examen de conscience pour comprendre les raisons qui ont mené à la chute de leurs revenus. Pour l’essentiel, les grands médias subventionnés ont passé trois ans durant la pandémie à littéralement déféquer sur leur clientèle, à la demande des gouvernements, pour relayer la propagande étatique sur le virus de la covid et les mesures sanitaires. Or, ceux que l’on appelle les ‘complotistes’, i.e. ceux qui émettaient des pensées ou des réflexions critiques sur la pandémie étaient, eux aussi, des clients des grands médias comme Québecor. À force de se faire traiter de tous les noms et de se faire menacer, beaucoup de ces ‘complotistes’ ont choisi de tout simplement de résilier leur abonnement à certaines publications ou à certains services électroniques. Cette situation a créé une baisse de confiance dans ces entreprises, ce qui a fait en sorte que certains annonceurs ont choisi de mettre leurs publicités dans d’autres médias ou sur d’autres plateformes. Ces deux facteurs expliquent en grande partie la baisse de revenus des grands médias. Pierre-Karl Péladeau et d’autres PDG de médias privés peuvent bien blâmer le gouvernement fédéral ou les géants du web américains. La réalité, c’est qu’ils n’ont qu’à se regarder dans le miroir pour comprendre pourquoi leurs entreprises se retrouvent dans cette situation aujourd’hui. L’émission est réservée aux abonnés. À VOIR.

RÉINFORMATION 13/11/2025 – LES RAISONS DE LA FAILLITE DES MÉDIAS – TVA SUPPRIME 87 POSTES

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David Icke nous parle des solutions à la situation actuelle

Débat entre le docteur Andrew Kaufman et Steve Kirsch sur l’existence des virus

Ce débat, si on peut l’appeler ainsi, donne une raison de plus de soupçonner que les médias alternatifs sont infiltrés. Durant ce débat, Steve Kirsch, qui est une figure connue et très en vue dans le mouvement de la liberté en santé et qui croit dans l’existence des virus, n’a pas été capable de réellement débattre avec le docteur Kaufman, qui lui est sceptique par rapport à leur existence. Vous connaissez sans doute l’expression anglaise ‘to drop names’. Eh bien Steve Kirsch a passé son temps, durant ce débat, à lâcher non pas de noms mais des termes techniques afin d’essayer de piéger le docteur Kaufman pour le faire paraître incompétent. Franchement, c’est pathétique à regarder. La performance de Kirsch a été tout simplement lamentable. Le docteur Kaufman, de son côté, est resté droit dans ses bottes tout en répondant calmement aux questions et objections. Ce genre de performance par une figure de proue du mouvement pour la liberté en santé démontre clairement qu’il y a un agenda de la part des mondialistes et des illuminatis de prendre le contrôle du discours dans les médias alternatifs pour empêcher que l’on discute des questions fondamentales comme l’existence des virus et le bien-fondé de la médecine allopathique. Par cette performance, Steve Kirsch s’est lui-même placé dans le camp adverse, c’est-à-dire celui de ceux qui essaient de garder l’humanité dans l’ignorance et dans l’esclavage. À voir absolument pour la performance de haut niveau du docteur Kaufman en termes d’éducation et de science. 

La docteure Jane Ruby commente le retour des mesures sanitaires cet automne aux États-Unis

Linda Paris nous entretient sur la section dorée, le nombre de Fibonacci, les monuments mégalithiques et autres sujets

Extraits vidéos des docteurs John Campbell et Roger Hodkinson sur l’excès de mortalité causé par les injections pour la covid-19

Parmi les informations présentées par le docteur Campbell, on pourra noter que les pays de l’Europe de l’Est ont un excès de mortalité négatif depuis le déploiement des injections pour la covid-19, ce qui n’est pas usuel. Dans les pays de cette région, l’injection pour la covid-19 y a été très faiblement suggérée et mise en place, contrairement aux pays de l’Ouest, qui voient un excès de mortalité positif depuis le déploiement des injections pour la covid-19. De son côté, le docteur Hodkinson évalue les décès reliés aux injections pour la covid-19 à 20 millions de par le monde…