Le billet du jour: L’endossement de Donald Trump par Vladimir Poutine…

Je commence une nouvelle série d’articles où je vais exprimer des opinions, des idées et partager des réflexions sur certains sujets. Par le passé, j’ai eu tendance à utiliser les « réseaux sociaux » pour le faire mais je n’ai plus vraiment confiance dans ces plateformes. Pour ne donner qu’un exemple, Twitter ne se gêne pas pour censurer des membres de la droite politique et des conservateurs mais n’a pas de problème en revanche à « vérifier » des groupes islamistes. J’en viens à la conclusion que sur des plateformes tels que Twitter, Facebook et autres, les dés sont pipés d’avance contre les guerriers de la liberté et que nous perdons notre temps. Je vais donc m’exprimer directement sur mon blogue à partir de maintenant.

Comme premier billet, j’aimerais commenter les fameuses allégations concernant l’intervention de la Russie dans l’élection américaine. D’emblée, je vous avoue que je n’ai pas d’opinion en ce qui concerne l’aspect de possibles cyberattaques. Les experts en sécurité de la Maison-Blanche et du gouvernement américain sont là pour évaluer cela. Par contre, en ce qui concerne l’intervention de Vladimir Poutine en faveur de Donald Trump, là j’ai mon mot à dire. Poutine a fait une déclaration publique dans laquelle il endossait Donald Trump, ce qui a été dénoncé par l’establishment américain. Voyez-vous, le ressentiment et même la haine contre la Russie, les Russes ou Vladimir Poutine sont assez répandus dans la société américaine. C’est un résidu de la Guerre Froide, j’imagine. Tout ce que font ou disent les Russes ou Poutine est dénoncé par l’establishment américain, peu importe de quoi il s’agit. Cela semble un réflexe chez les Américains de prendre le contre-pieds des Russes en toutes choses. Or, il est impossible que Vladimir Poutine ait été ignorant de cela avant de faire sa déclaration. Il savait très bien que peu importe ce qu’il dirait, cela serait rejeté, dénoncé, combattu avec une extrême force. Donc, avant de dire publiquement qu’il supportait Donald Trump durant la campagne présidentielle, il savait très bien que cela serait dénoncé et que cela nuirait à Trump. Or, il a quand même endossé Donald Trump, ce qui n’est pas logique. Vladimir Poutine est quelqu’un qui est intelligent et rusé. Politiquement, il est un bon joueur de poker et d’échecs. En endossant Donald Trump, il était inévitable que l’establishment américain se retourne contre le candidat Républicain, ce qui s’est produit. La seule conclusion logique de tout cela est que Vladimir Poutine voulait en fait favoriser l’élection de Hillary Clinton, en assumant que l’establishment américain détruirait Trump suite à son endossement. Mais comme Donald Trump est un individu d’une grande force, il a néanmoins trouvé le moyen de gagner l’élection malgré cela.

J’aimerais vous faire réaliser à quel point l’establishment politique occidental est dépassé, coincé dans des conceptions qui datent des années cinquante. Il y a un manque flagrant d’intelligence et de conscience politiques chez les analystes et les stratèges politiques en Occident et aux États-Unis aussi. Nous devons relever notre jeu. Ce n’est pas étonnant que nous aillons perdu toutes nos batailles depuis 1945. Le monde a changé et nous refusons de l’accepter. Il est plus qu’urgent qu’une nouvelle élite prenne le pouvoir en Occident, une qui sera capable de voir le réel tel qu’il est et de mettre en place des politiques qui y correspondent.

Entrevue avec David Duke

Le candidat au Sénat américain David Duke présente ici les grandes lignes de sa philosophie politique. Associé à l’extrême-droite américaine, David Duke défend une ligne patriotique qui refuse l’immigration de masse et qui essaie de défendre les droits des Européens de souche qui compose la population d’origine des États-Unis. Aussi, David Duke a un discours qui est souvent très critique envers la communauté juive et Israël. Nul n’est au-dessus de la méthode scientifique. Tous les peuples, peu importe leur religion ou leur origine ethnique, peuvent et doivent faire l’objet de critiques, si elles sont fondées évidemment. Je crois que David Duke réussit à faire une critique sérieuse des agissements et de la mentalité de certains membres de la communauté juive sans tomber dans l’antisémitisme. Certains ne sont pas de cet avis et ils en ont le droit. De toute manière, comme le dit Duke lui-même, il vaut mieux se faire sa propre idée que de croire sur parole ce que nous dit les médias de masse. Donc, à vous de juger.

https://youtu.be/m0y29F2AYjM

Agenda du Président-élu Trump pour les cent premiers jours

Dans cette courte vidéo, le Président-élu Donald Trump présente son agenda pour les cent premiers jours de son Administration. Ces mesures seraient mises en place ou en application dès le jour 1. En date d’aujourd’hui, les compagnies Ford et Carrier ont renoncé à certaines délocalisations au Mexique afin de garder les emplois aux États-Unis. Cela ne se serait jamais matérialisé sans le leadership du Président-élu et son plan de match pour faire à nouveau des États-Unis une puissance économique de premier plan. Je profite de l’occasion pour me prononcer sur le processus de nomination à des postes stratégiques. J’ai évité de le faire jusqu’à maintenant car je faisais confiance au Président-élu pour choisir les bonnes personnes. Mais, le poste de Secrétaire d’État étant si critique pour le bon fonctionnement du gouvernement, je ne peux m’empêcher de faire les remarques suivantes. D’abord le nom de John Bolton saute aux yeux immédiatement. Bolton a toutes les qualités et l’expérience requises pour bien s’acquitter de cette tâche. Il incarne le sérieux, le professionnalisme et le réalisme politique qui sont déterminants dans ce genre de fonction. Aussi, je dois avouer que je trouve étrange que quelqu’un comme Mitt Romney soit considéré pour le poste de Secrétaire d’État. Romney a été absolument lamentable durant la campagne présidentielle de 2012. Il a complètement disparu les deux derniers mois de la campagne. Comme Secrétaire d’État, les États-Unis ont besoin de quelqu’un qui pourra tenir tête aux Ayatollahs iraniens, à la Russie, à la Chine, à la Corée du Nord, à Cuba et à tous les autres régimes dictatoriaux du monde. Si Mitt Romney n’a même pas voulu ou été capable de tenir à Obama lors d’une campagne électorale, comment pourrait-il tenir tête à ces gens-là lors de rencontres internationales? De toute façon, rien n’empêche Mitt Romney de servir dans l’Administration Trump dans d’autres fonctions. Parmi les autres candidats mentionnés, je suis sûr que Rudy Giuliani ferait un bon choix mais c’est une question de préférence. Également, des gens comme Newt Gingrich et Mike Huckabee pourraient très bien servir le gouvernement et le peuple américains. Il s’agit tout simplement pour l’équipe de transition du Président-élu de leur trouver le bon rôle à jouer. Par ailleurs, pour ce qui est des postes au niveau de la sécurité nationale, le Président-élu Trump devra choisir des gens avec lesquels il est complètement en phase au niveau du plan de match et en qui il a pleinement confiance. De toute évidence, ce seront des nominations extrêmement difficiles puisque les conséquences de mauvaises nominations en ce domaine sont toujours très graves. De façon générale pour conclure, je suis très satisfait du processus de transition jusqu’à maintenant. Ce sera sans doute le plus beau Noël depuis plusieurs années!

Pat Condell sur les « migrants » syriens…

Pat Condell offre ici un discours de vérité sur les pseudo « migrants » provenant de Syrie et d’ailleurs qui envahissent l’Europe et le reste du monde civilisé présentement. Ces paroles sont présentées sur un ton qui n’est pas politiquement correct certes mais qui est parfaitement approprié en raison des problèmes énormes auxquels nous sommes confrontés, et du laxisme, pour ne pas dire de la complicité, de nos élites en ce domaine.

Élection de Donald Trump: Les conséquences pour la France

Suite à l’élection de Donald Trump à la Présidence américaine, on se demande si l’élite socialiste qui gouverne l’Europe a encore un quelconque avenir politique. Ce sera intéressant d’observer comment ils feront pour rester en poste alors que leurs politiques se retrouveront en décalage complet avec les politiques américaines sous le nouveau Président. Les socialistes européens ont démontré leur incapacité totale à construire et développer des sociétés qui soient harmonieuses, prospères, paisibles. Au contraire. Le socialisme a favorisé le développement de gouvernements-pieuvres gigantesques carburant à la dette et au déficit. Leurs sociétés sont rongées par le crime, le trafic de drogues et la violence. De toute évidence, l’élection de Donald Trump est le signal que le temps est venu de changer de politiques. Mais changer de politiques implique souvent de changer les personnes en postes de responsabilité. C’est pourquoi il serait bon que le tandem Socialistes/Les Républicains laisse sa place à une nouvelle combinaison. Les élections présidentielles de 2017 pourraient permettre à des forces nouvelles de faire leur apparition. Pour sauver la France et pour s’assurer qu’elle ait un avenir, je rêve qu’un gouvernement d’union nationale soit constitué, rassemblant des patriotes de tous les partis et de tous les milieux, tous dédiés à mettre leurs énergies au service de la patrie. Il m’apparaît évident que le Front National et l’Union Populaire Républicaine sont les deux seuls partis politiques présentant un quelconque intérêt dans ce domaine. Je les imagine donc gouverner la France de demain, en tandem, en coalition s’il le faut, afin de permettre à la France de redevenir la France, afin que la France retrouve sa gloire d’antan. Sur ce, je vous laisse apprécier les réactions respectives de Marine Le Pen et de François Asselineau à la victoire de Donald Trump.

https://youtu.be/VdhZ4TmV5Pc

Quelques réflexions sur la victoire de Donald Trump

L’élection de Donald Trump à la Présidence américaine constitue un véritable miracle. Bien peu auraient pu prévoir ce scénario, incluant ses propres partisans. Quelques réflexions s’imposent sur ce résultat et ses conséquences. D’abord, il apparaît évident que la victoire d’un candidat populiste à la Présidence américaine pourrait signifier la fin du socialisme, celui que l’on a connu depuis 1945 jusqu’à aujourd’hui. En effet, depuis 1945, les peuples occidentaux ont été littéralement noyés sous une pluie de propagande gauchiste, marxiste et socialiste qui a changé en profondeur les sociétés occidentales, détruisant le socle conservateur et de droite sur lequel elles étaient fondées, et où la famille et l’agriculture jouaient un rôle premier. Car, il faut bien se l’avouer, le véritable perdant de la Deuxième Guerre Mondiale n’a pas été ni l’Allemagne ni l’Italie ni le Japon mais bel et bien plutôt la droite politique. Depuis 1945, la droite n’a plus eu le droit de parole, d’association ou d’expression et les institutions des sociétés occidentales ont été tour à tour soit abolies soit transformées, défigurées en pantins gauchistes faisant l’éloge de la pensée progressiste. Dans cette atmosphère de destruction et de désintégration, même l’Église Catholique n’a pas échappé à la subversion.

La victoire de Donald Trump donne donc de l’espoir au moment précis où tout apparaissait perdu. In extremis, nous avons évité la désintégration totale de la société occidentale par un cheveux. Bien sûr, nous ne savons pas encore de quoi l’Administration Trump aura l’air. Nous ne savons pas non plus s’il sera capable ou désireux de livrer la marchandise quant aux promesses qu’il a faites durant la campagne. En tous cas, j’espère qu’il le fera. Néanmoins, le résultat électoral qui l’a porté au pouvoir, suite à celui du Brexit, envoie un signal clair que les peuples en ont marre des politiques qui ont été mises en place depuis 1945. Si celles-ci ont réussi à créer un monde de paix et de prospérité pour quelques décennies, clairement, aujourd’hui, elles ne fonctionnent plus. Un monde nouveau demande à voir le jour et à être entendu et j’ai l’impression que peu importe ce que l’oligarchie euro-atlantiste puisse faire, celui fera sa place.

Cette victoire fut un travail d’équipe. Je ne crois pas que personne en particulier puisse en prendre crédit (à part Donald Trump lui-même, bien sûr.) Nous devons mentionner, parmi tous ceux qui ont participé à cette victoire historique, l’équipe de campagne, la famille de Donald Trump, les millions de supporteurs et d’électeurs qui ont voté pour lui, ainsi qu’une myriade de supporteurs via internet qui ont fait entendre leur voix, parmi lesquels ont retrouve des nationalistes, des membres du mouvement Alt-Right, des militants d’extrême-droite, de militants anti-mondialisation, des opposants aux traités de libre-échange, des opposants à l’immigration, etc. Chacun a mis l’épaule à la roue à sa façon. À cet effet, il remarquable que ce que j’appelle les forces de la liberté aient pu coller deux victoires en ligne, le Brexit et l’élection de Donald Trump. Comme retournement de situation, c’est assez spectaculaire.

Aussi, je crois que nous devons prendre cette victoire avec prudence et modestie. Si l’élection présidentielle américaine était une bataille importante que nous devions gagner, la guerre est loin d’être finie. Les forces de la tyrannie possèdent des moyens considérables, sont capables de mobiliser des masses importantes de personnes rapidement et elles n’hésitent pas à utiliser la violence ou l’intimidation si les choses ne vont pas dans leur sens. C’est pourquoi il est important de rappeler que la période de temps qui s’étendra jusqu’au 20 janvier prochain, date de l’entrée en fonction du Président Trump, est absolument cruciale. Un soin méticuleux doit être apporté à la transition des pouvoirs à la Maison Blanche. Monsieur Trump doit s’assurer qu’il a toutes les bonnes personnes aux bons postes stratégiques et que ce sont des gens en qui il peut faire confiance.

Par ailleurs, nous ne devons pas oublier non plus que l’on ne renverse pas 70 ans de propagande et de subversion gauchistes en un claquement de doigt. Ce sera un long combat, très dur, qui mobilisera toutes nos énergies. La victoire de Donald Trump marque non pas la fin du combat mais bien plutôt le début. Les forces de la tyrannie, communistes, socialistes, marxistes, islamistes, etc, pensaient pouvoir terminer la subversion de l’Occident pour le centième anniversaire de la révolution bolchévique de 1917. Malheureusement pour eux, heureusement pour nous, la victoire de Donald Trump tombe comme une brique et en laisse plusieurs pantois. Pour le moment, savourons cette grande victoire mais n’oublions jamais une chose. Dans l’histoire, seuls les hommes qui se tiennent debout survivent et triomphent. Ceux qui s’écrasent ou font exercice de génuflexion finissent tous par périr et disparaître. Alors, relevons la tête et défendons nos pays. Après tout, nous avons maintenant un allié de taille à la Maison Blanche. Profitons-en!

Le documentaire « Death by China »

Ce documentaire présente les réalités de la Chine communiste au-delà des lubies disneylandesques que l’on nous raconte dans les médias occidentaux. Depuis que la Chine a joint l’Organisation Mondiale du Commerce, ce sont des millions d’emplois, très souvent de bons emplois industriels, qui ont pris la route de la Chine. En échange de ces emplois que nos élites politiques, financières, commerciales ont laissé aller vers ce pays et d’autres où la main-d’oeuvre est à bon marché, nous n’avons récolté que le chômage, la désindustrialisation et la perte d’expertise. Les bons emplois d’autrefois ont été remplacés par des emplois au salaire minimum chez Walmart ou Dollarama. La Chine communiste, dans le silence complice des médias et de la classe politique occidentale, pratique le travail forcé, l’esclavage et ne respecte pratiquement aucune norme environnementale ou de sécurité au travail. Les produits qu’elle fabrique sont souvent dangereux et de piètre qualité. Nous aurions tout intérêt à ramener sur notre sol ces usines qui ont fait la force de l’Occident par le passé. Un nombre impressionnant de spécialistes et d’analystes ont été interviewés pour ce film que vous pourrez entendre en visionnant ce documentaire.

Entrevue de Donald Trump avec Bill O’Reilly, 27 octobre 2016

Les Américains doivent voter pour Donald Trump afin d’en faire leur prochain Président le 8 novembre. L’avenir de notre civilisation est en jeu. Les forces de la liberté doivent gagner, nous n’avons pas le choix.