La prière du dimanche: L’Ambassade de France en Israël vous convie au Bal populaire le 14 juillet

Très bonne initiative du gouvernement français dont le timing ne pourrait être plus opportun. L’amitié entre la France et l’État d’Israël est appelé à croître. Les peuples et pays croyant en la démocratie, reposant sur des valeurs de développement, d’entraide et de justice doivent se serrer les coudes en ces temps difficiles. Nous devons joindre nos forces contre la barbarie envahissante.

La complaisance de la police de Toronto face à la violence arabo-musulmane et antisioniste

La police de Toronto a fait dans son pantalon lors de cette manifestation. Au lieu de défendre les citoyens canadiens qui croient dans la démocratie et les droits civiques, la police de Toronto a plutôt choisi de défendre et protéger les manifestants palestiniens qui répandent la haine et la terreur. Je croyais que l’on était chez-nous ici, au Canada, et que c’était nous les Canadiens qui faisions la loi, en fonction de nos valeurs et de notre culture. Vraiment?

Le déploiement de l’axe christo-bouddhique, deuxième partie: Le Bouddha bleu…

Le Lys d'OrLes montagnes de la province chinoise du Xinjiang renferment un trésor inestimable. Dans ce que l’on appelait auparavant le Turkestan se trouvent une série de grottes, trois cents soixante-trois au total, dont les sites de Kyzil et de Kumtura. Situées sur la Route de la soie, ces grottes de l’ancien royaume de Kucha abritent des murales témoignant des influences des différentes cultures de la région mais surtout de la diffusion du bouddhisme dans cette région de l’Asie, avant que des populations d’origine turque, les Ouïgours, ne s’y installent et propagent l’islam. Les représentations pariétales se rapportent à l’histoire du Bouddha, à ses vies antérieures, aux épisodes de sa vie avec tous les symboles, personnages et animaux associés. Or, ce qui en fait quelque chose d’absolument exceptionnel, c’est la couleur qui prédomine: le bleu. On retrouve aussi du vert et un peu de rouge mais le bleu ressort réellement comme la couleur maîtresse. Dans un article précédent sur le déploiement de l’axe christo-bouddhique, je vous ai parlé de la complémentarité de l’enseignement du Christ et du Bouddha. Le bleu est non seulement la couleur du ciel mais aussi celle par excellence de la liberté. On la retrouve sur le drapeau du Québec et sur celui d’Israël, entre autres. Il est arboré par un grand nombre d’institutions, de groupes, de compagnies et de cultures qui croient dans l’énergie qu’il renvoie.

C’est pourquoi il est difficile de ne pas voir dans ces murales la rencontre de nos deux cultures, occidentale et orientale, chrétienne et bouddhique. Le froc bouddhiste est de couleur orange généralement. Le bouddhisme tibétain utilise davantage le rouge rubis. Quoiqu’il en soit, on a affaire ici à un événement incroyable du point de vue symbolique. On doit s’y arrêter avec attention et c’est justement ce qu’a fait le photographe français d’origine iranienne Reza Deghati. Après de longues négociations avec les autorités chinoises, Deghati a enfin obtenu la permission de se rendre dans ces grottes du Xinjiang pour y photographier les murales. Le fruit de son travail est reproduit dans un merveilleux livre intitulé Le pinceau de Bouddha. L’ouvrage est commenté par les spécialistes du Musée Guimet, Jacques Giès, Laure Feugère et André Coutin. Je fournis également l’adresse du site web de l’artiste-photographe et je le remercie pour ce travail si extraordinaire. Vraiment, ces murales sont un joyaux de l’humanité et elles doivent être préservées. Elles sont le symbole de la compatibilité évidente des civilisations occidentale et orientale. À une époque où les fondamentalistes islamiques risquent de tout faire sauter, sachons nous inspirer de ce qu’il y a de mieux en l’homme.

Débat sur l’immigration entre Hervé Juvin et Olivier Pastré, animé par Alain Finkielkraut


L’Europe, continent d’immigration : Hervé Juvin... par _romegas

La vérité sur Nelson Mandela…

Je vous propose ici trois vidéos et trois articles. Le traitement médiatique auquel nous avons été livré suite à la mort de Nelson Mandela a été tellement outrancier et hystérique, que je me dois ici de remettre les pendules à l’heure. Loin d’être le « saint » que l’on voudrait nous faire croire, Mandela a été en fait un homme de gauche comme beaucoup d’autres, aucunement exceptionnel. Gagné à l’idéologie marxiste et communiste, il a fondé en association avec le Parti Communiste d’Afrique du Sud l’Umkonto We Sizwe, « le fer de lance de la nation », aile militaire de l’ANC, à partir de laquelle il a planifié et coordonné plus de 200 attaques terroristes ou actes de sabotage. Il n’a pas passé 27 ans en prison simplement parce qu’il différait d’opinion avec le gouvernement en place. Aussi, il est bon de rappeler la parabole de l’Évangile qui dit que l’on « juge un arbre à ses fruits ». En ce domaine, les nouvelles ne sont pas très bonnes. Selon les informations que j’ai colligées ici, les inégalités sont plus fortes maintenant que lors des années du régime blanc. Il y a plus de chômage, plus de tensions raciales, le racisme anti-blancs est devenu la norme, la criminalité est galopante, plus de meurtres, etc. L’économie s’est effondrée de manière dramatique, loin de la prospérité que la fin du régime blanc était supposée apporter. Le nombre de fermiers blancs qui ont été assassinés dans les dernières années est effarant, qualifiable de génocide. Le deuxième vidéo ici-bas témoigne de cette réalité, images à l’appui. Le troisième vidéo est un court extrait de ce que Mandela pensait d’Israël et du conflit en Palestine. On le voit embrasser Yasser Arafat, un autre terroriste, avec une passion qui donne froid dans le dos. Lorsqu’il marche avec lui, il lui tient la main comme s’il s’agissait de sa fiancée.

Dans l’ensemble, je retiens que l’unanimité envers quelqu’un cache souvent de grands mensonges. Lorsque des réactions dithyrambiques accompagnent les moindres faits et gestes d’un individu, on a souvent affaire à de la poudre aux yeux. Souvenez-vous des gens qui perdaient connaissance lors des concerts de Beatles, d’Elvis Presley, des discours d’Adolf Hitler, lors de l’inauguration de Barack Obama, etc. L’expérience de la civilisation n’a rien à voir avec une séance de spiritisme ou de possession vaudou. On ne joue pas à celui qui sera le plus étourdi. La civilisation s’apprécie comme on savoure un bon vin, admire un coucher de soleil, se repose sur le bord d’un lac. Les crises d’hystérie sont l’expression de l’enfumage et des sortilèges. Le monde moderne est parvenu à un niveau de mensonge tel que c’est à se demander si la situation est encore réversible. Les médias, de quatrième pouvoir, se sont transformés en cinquième colonne. De par le traitement qu’ils ont réservé à ce « saint », ils ont prouvé une fois de plus qu’ils font parti des troupes d’occupation mentales. Prenez le temps de fouiller les informations qui sont disponibles ici. Cela est toujours bon d’avoir une deuxième opinion…

Mandela le kafir cache misère est mort

Nelson Mandela : l’icône et le néant

Nelson Mandela: Quel bilan?