Deux directs de Nomos-TV sur la nécessité de battre Justin Trudeau aux élections du 20 septembre prochain

Alexandre Cormier-Denis analyse la récente manifestation contre la Loi 21

Après avoir enduré le groupe PAJU (Palestiniens et Juifs Unis) sur la rue St-Denis pendant plusieurs années, eux qui contestaient la vente de souliers fabriqués en Israël, voici maintenant que s’est constitué un groupe, informe pour le moment, de nature similaire, avec un but similaire, celui de saper la légitimité de l’État québécois. Encore une fois, comme cela a été le cas aussi lors de la saga de la Charte des valeurs, ce sont exactement les mêmes groupes en présence même si les visages sont différents. Leurs méthodes, bien connues, se résument à pratiquer différentes formes d’intimidation et de harcèlement jusqu’à ce que les pouvoirs publics cèdent en leur faveur. Évidemment, nous ne devons absolument rien céder à ces individus qui n’ont d’autres fins que de briser le modèle québécois pour le remplacer par un régime gauchiste anti-capitaliste plus ou moins favorable à l’instauration de la charia.

Analyse de Nomos-TV des partis politiques fédéraux canadiens en regard des prochaines élections

Justin Trudeau et la tentation de la Chine: ‘Their basic dictatorship’…

Alors que le Canada est en période électorale, on a eu droit cette semaine à une scène digne d’un épisode de roman-savon. Les médias de masse ont concentré leur attention sur les photos de «blackface» qui ont surgi des années de jeunesse de Justin Trudeau. Ils n’ont parlé que de ça ou presque pendant 48 heures. Mais force est d’avouer qu’il ne s’agit ici que d’une anecdote, d’un fait divers, à la limite anodin, pas d’un enjeu fondamental de la politique d’état du Canada. Je comprends la controverse générée par la vue de telles photos et c’était en fait bien rigolo de les voir. Certains analystes politiques, avec justesse, ont fait remarquer qu’ils se sentaient davantage préoccupés par le manque de jugement de Justin Trudeau que par ces photos de blackface ou par d’autres déguisements qu’il a pu enfiler depuis qu’il est en politique.

Or, il y a beacoup plus inquiétant dans le gouvernement Trudeau que ses nombreux déguisements et frasques. Tout d’abord, il y a la présence de membres de la communauté sikhe au sein du gouvernement et au sein de l’Armée Canadienne et cette présence est inquiétante. En effet, un mouvement indépendantiste chez les Sikhs cherchent à créer un état autonome dans le continent indien, le Khalistan, et certains actes terroristes qui se sont produits dans les dernières décennies semblent être reliés à ce mouvement indépendantiste. D’ailleurs, dans cet article, on peut voir des membres des Forces Armées Canadiennes appartentant clairement à la communauté sikhe participer au défilé d’une fête communautaire, le Khalsa Day à Toronto en avril dernier, avec leurs armes de combat. Rien de moins. Et à la Chambre des Communes, non seulement retrouve-t-on des membres de la communauté sikhe parmi les élus mais le chef même du NPD, Jagmeet Singh, est lui aussi Sikh. Je crois que les électeurs canadiens sont en droit de se demander ce qui se passe réellement sur la scène politique fédérale. Les Sikhs sont-ils en train de prendre le contrôle du gouvernement canadien? Peut-être pas à proprement parler mais disons que les apparences nous font commencer à douter de l’état de la démocratie canadienne.

Ce qui m’amène à la pièce centrale de cet article. Lors d’une conférence donnée à un groupe de femmes en préparation des élections générales fédérales de 2015, Trudeau avait déclaré en anglais qu’il admirait la Chine «because their basic dictatorship»… Autrement dit, Trudeau n’admire pas la Chine en raison de ses prouesses technologiques, en raison de sa puissance économique ou pour quelque autre raison mais pour sa dictature de base… Ainsi, les électeurs canadiens sont également en droit de se demander ceci: Quelles sont les valeurs de Justin Trudeau? En quoi croit-il? Qu’est-ce qui est important pour lui? Comme je l’ai mentionné plus haut, beaucoup d’analystes politiques, de politiciens et de citoyens engagés lui reprochent son manque de jugement, illustré par ses nombreuses frasques qui ont été reprises par les médias. Personnellement, le fait que Justin Trudeau ne voit pas de problème à ce que son gouvernement fleurte avec la communauté sikhe pour les raisons et j’ai évoquées, et le fait qu’il admire la Chine «en raison de sa dictature de base», m’inquiète au plus haut point. Le chef du Parti Conservateur, Andrew Scheer, a dit que Justin Trudeau était indigne d’occuper la fonction de Premier Ministre suite à la publication des photos de blackface. Pour ma part, c’est plutôt en raison de son attitude envers la commnauté sikhe et en raison de son admiration pour la «dictature de base» de la Chine, que je crois que Justin Trudeau est indigne d’être Premier Ministre du Canada.

Analyse d’Alexandre Cormier-Denis du voyage de Justin Trudeau en Inde

Dans cette nouvelle vidéo, Alexandre Cormier-Denis analyse la prise de contrôle du gouvernement canadien par une minorité radicale sikh qui semble se produire présentement. Plusieurs membres influents du gouvernement semble appartenir à cette frange radicale. On ne doit pas oublier non plus que le chef du Nouveau Parti Démocratique, Jagmeet Singh, est lui aussi issu de cette communauté, ce qui pose bien des questions pour l’avenir du pays. Alexandre Cormier-Denis propose cette analyse au moment-même où Justin Trudeau termine un voyage en Orient durant lequel il a attiré l’attention des médias en portant des costumes traditionnels, dont souvent il ne connaît rien certains diront. Pour plusieurs, Justin Trudeau a fait un fou de lui, en plus de manquer de respect envers les cultures et nations qu’il a visitées.