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Le temps est venu de mettre fin au pharisaisme et au népotisme des Libéraux
Il y a une chose que je ne suis plus capable de supporter des élites Libérales, c’est leur extrême hypocrisie. Si vous observez les élites Libérales du Canada et du Québec, vous remarquerez assez rapidement que ce sont des gens qui ont toujours le souci des apparences. Leur habillement est toujours absolument impeccable, costards ou robes parfaitement ajustés. Leurs discours? Toujours parfaitement pondérés, avec des mots choisis parfaitement politiquement correct, toujours courtois, affables, diplomates, polis, mesurés, remplis de bonté et d’indulgence. Lors de rencontres en société? Les gentilles personnes Libérales affectent toujours les civilités d’usage en cours. Vous êtes en train de manger? Elles vous souhaitent «bon appétit». Vous quittez le bureau en fin de journée? Elles vous souhaitent «bonne soirée». Elles vous demandent de faire quelque chose? Elles vous remercient à l’avance de votre collaboration, etc. Mais tout cela, évidemment, n’est que de l’hypocrisie pure. Les Libéraux sont des gens qui n’ont aucun respect ni aucun soucis de personnes. Ces sont des prédateurs qui n’attendent que l’occasion de vider votre portefeuille ou de vous frapper (au sens figuré) aussitôt que vous aurez le dos tourné. J’ai abordé le sujet dans un article précédent sur le hockey que vous pourrez lire, si le coeur vous en dit. Il est absolument incroyable que des gens puissent voter pour de tels individus au Canada. C’est seulement possible parce que le Parti Libéral achète leurs votes en leur faisant des cadeaux. Mais ce sont des cadeaux qui n’en sont pas, puisque l’argent vient des poches des contribuables. Les Libéraux redonnent en cadeaux à certains électeurs les mêmes sommes d’argent qui leur ont été soutirées sous forme d’impôts et taxes.
À plusieurs égards, les Libéraux font grandement penser aux Pharisiens des évangiles. Un passage de l’évangile de Matthieu est particulièrement révélateur à ce sujet. Voici quelques extraits du chapitre 23, versets 5 et suivants (version de la TOB):
Toutes leurs actions, ils les font pour se faire remarquer des hommes (…) Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, vous qui versez la dîme de la menthe, du fenouil et du cumin, alors que vous négligez ce qu’il y a de plus grave dans la Loi: la justice, la miséricorde et la fidélité (…) Malheureux êtes-vous, scribes et pharisiens hypocrites, vous qui purifiez l’extérieur de la coupe et du plat, alors que l’intérieur est rempli des produits de la rapine et de l’intempérance (…) Ainsi de vous: au-dehors vous offrez aux hommes l’apparence des justes, alors qu’au-dedans vous êtes remplis d’hypocrisie et d’iniquité…
Lorsqu’on lit un passage semblable, on se demande parfois si par hasard le Parti Libéral n’existait pas en Palestine/Israël à l’époque de Jésus. La ressemblance est vraiment incroyable.
Aussi, une autre bonne raison de ne pas renouveller le mandat du Parti Libéral du Québec le 1er octobre prochain serait certainement de mettre fin au népotisme. Le népotisme, c’est ce modèle économique qui a été adopté par le Parti Libéral du Canada et par le Parti Libéral du Québec. Il consiste à se servir à même les poches des contribuables et des travailleurs pour en faire profiter les amis, les parents, les membres du parti et leurs relations d’affaires. En effet, se disent les bons Libéraux, pourquoi se casser la tête à créer un modèle économique qui fonctionne réellement, qui crée réellement de la richesse pour l’ensemble des citoyens quand nous pouvons tout simplement faire payer les autres pour nous enrichir? N’est-ce pas plus simple? La devise des Libéraux est celle-ci: les autres paient, et nous, on encaisse. Un autre exemple flagrant de ce système nous a été servi la semaine dernière alors que l’on apprenait que la famille Beaudoin-Bombardier pourrait toucher jusqu’à 300 millions de dollars de la revente d’actions de BRP. Or, comme tout le monde sait mais il faut le rappeler ici, le Gouvernement du Québec a investi quelques 3,3 milliards de dollars dans la compagnie Bombardier. Avec un tel investissement, on aurait pu s’attendre à ce que les contribuables récupèrent une certaine partie de leur investissement mais ce n’est pas comme cela que les choses fonctionnent au Canada et au Québec. Le montant de 300 millions de dollars ira dans les comptes de banques de gens déjà très fortunés alors que le citoyen moyen au Québec en arrache pour survivre.
Un autre exemple récent concerne la vente de Rona à l’entreprise américaine Lowe’s. Je vous invite à lire l’excellent article de Michel Girard dans le Journal de Montréal à ce sujet. Il y présente le témoignage de l’ancien PDG de Rona, Robert Dutton, qui affirme entre autres choses que Rona a fait l’objet de différentes tractations et magouilles afin de permettre la vente de la compagnie, tout cela dans le but de faire faire un profit à certains actionnaires. Les intérêts du Québec, des citoyens et de contribuables n’ont évidemment pas été pris en compte, et ce malgré le fait que la Caisse de Dépôts et Placement détenait plus de 10% de la compagnie et qu’elle était un fleuron du Québec Inc. Vous pouvez aussi écouter l’entrevue que Robert Dutton a acordé au réseau TVA lors de la parution de son dernier livre, qui traite justement de ce qu’il est maintenant convenu d’appeler «l’affaire Rona». Au surplus, la liste des sièges sociaux qui ont quitté le Québec ou qui sont devenus des coquilles vides, des compagnies qui ont été achetées par des intérêts étrangers depuis l’arrivée des Libéraux au pouvoir est ahurissante.
Les Québécois doivent donc voter stratégiquement le 1er octobre prochain pour mettre fin à l’occupation Libérale du Québec. Une vague bleue doit subvenir. Les électeurs doivent regarder lequel des candidats du Parti Québécois ou de la Coalition Avenir Québec a le plus de chance de gagner un comté. Car dans cette élection-ci, ce sont les comtés obtenus qui feront la différence entre un gouvernement minoritaire ou majoritaire ou entre un parti et un autre. Je répète qu’en cas de gouvernement minoritaire de la CAQ ou du Parti Québécois, l’alliance entre ces deux partis pour former un gouvernement majoritaire, comme je l’ai suggéré dans un article précédent doit se produire. Le PQ et la CAQ n’ont pas le choix. C’est une question de sécurité nationale. Il faut chasser les Libéraux.
Car les électeurs ne doivent pas se berner d’illusions ici. N’avez-vous pas remarqué que Philippe Couillard est bien gentil depuis l’élection de Donald Trump? Il a miraculeusement changé de ton par rapport à celui qu’il avait quand il a fait campagne en 2014 et durant les deux premières années de son mandat. Couillard avait l’habitude d’être arrogant et de rouler les épaules dans ce temps-là et les Québécois étaient en droit d’être inquiets sur leur avenir comme peuple et sur le plan individuel. Heureusement, l’élection de Donald Trump à la Présidence américaine a fait en sorte de changer la donne. Un jour, peut-être, les Québécois comprendront que l’élection de Donald Trump les a sauvés d’une asphyxie certaine alors qu’une grave menace pesait sur leurs libertés et sur leur avenir.
Philippe Couillard est devenu maître dans l’art de manier la carotte et le bâton. Les Québécois ont eu droit au bâton de 2014 à 2016. De l’élection de Donald Trump jusqu’à aujourd’hui, ils ont eu droit à la carotte. Si Philippe Couillard et les Libéraux sont réélus le 1er octobre prochain, aurons-nous droit de nouveau au bâton pour les quatre prochaines années? J’invite les électeurs à prendre leurs responsabilités. Les maisons de sondage de leur côté doivent publier des sondages détaillés comté par comté pour que l’on puisse voir si l’on doit voter pour la CAQ ou le PQ dans un comté donné. Au Québec, le jour du déménagement, c’est le 1er juillet. J’espère que cette année fera exception à la régle et que l’on aura droit à un déménagement le 1 octobre.
Some considerations and reflections for President Trump for the renegotiation of NAFTA
To begin with, let me say that President Trump knows that he has signed a very bad document with the last 1.3 trillion omnibus spending bill. He should never have signed it and he knows that. He regretted it as soon as he did. He is probably frustrated, angry, disappointed and saddened by that. However, time is running out and we don’t have time to indulge ourselves into emotional reactions while there is so much to do to save western civilization. We have to keep going and continue to fight back. That’s why, on this Easter weekend, I would like to talk strategy a little bit. Everybody knows that the United States, Canada and Mexico are in a process a renegotiating NAFTA. In this article, I will leave aside Mexico since I don’t know much about their situation, besides the fact that it is letting millions of migrants going through their territory to reach the United States without stopping them, which speaks by itself on their mentality and behavior. So I will focus on Canada and the U.S.
Like everybody else you have seen the kind of dirt, lies, hatred and propaganda that was thrown at Trump during the Presidential campaign and since the beginning of his presidency. Question: According to you, how much of that was coming in fact from Canada, from the political elites and their allies in the media and other institutions? There is no way to know but anybody can make an educated guess. It is possible that it was actually coming from Canada, at least in part, with of course the participation of the Democrat Party and their activists. The Liberal Party controls the legislatures in the Province of Quebec and in Ottawa, the national capital, and others throughout the country. And the fact that they are in power in a province or at the federal level gives them the ability to use state powers to do things.
Elections are coming fast. Elections in Quebec are scheduled to take place on October 1st 2018. Elections at the federal level are scheduled to take place on October 21st 2019. My fear is that if Liberals in those two legislatures are respectively re-elected, they would then use state powers to undermine President Trump and maybe even try to unseat him. They may have done that already before. That’s why I think that it would be extremely unwise for President Trump to sign a new NAFTA deal before these crucial elections are held. Why? Precisely because then the Liberals of Philippe Couillard in Quebec and those of Justin Trudeau in Ottawa would use the signing of the deal as a marketing tool to sell their re-election bids to the public. On the contrary, without a new deal to show to the electorate, they would inevitably look incompetent on matters related to the economy, which would render their re-elections difficult. I am sure that with the Coalition Avenir Québec or the Parti Québécois in power in the legislature of Quebec, and with the Conservative Party of Canada in power in the legislature of Ottawa, the United States would find much better partners to conclude a trade deal that would be beneficial for both countries. But not only that. The collaboration with the United States in terms of security, border security, immigration would be greatly improved.
In a civilized world, countries don’t get involved in elections of other countries. But that doesn’t mean that you should let your political enemies get away and do nothing. Trump has a chance to make sure that his political enemies in Canada don’t get a second mandate to continue their misdeeds. And by doing so, he would then give a hand to Canadian patriots who are in desperate need of help. If nationalist parties are elected in both Quebec’s and Ottawa’s legislatures, all conditions would then be reunited to have a brand new NAFTA deal to celebrate, somewhere maybe at the end of 2019 or at the beginning of 2020. That would fall perfectly, by the way, for Trump’s launching of his re-election campaign for the Presidential Elections, don’t you think?
Les voyages totalitaires de nos bons Libéraux…
À peine quelques jours après leur victoire aux élections fédérales de 2015, certains hauts gradés du Parti Libéral du Canada se sont rendus en Chine pour une mission économique. Ils y ont rencontré là-bas des membres influents de la communauté des affaires chinoise. La Société Radio-Canada avait réalisé un reportage sur le sujet, où l’on voyait l’état-major du parti se démener sur le terrain pour conclure des alliances et des ententes. Le voyage semblait une réussite complète et les participants ravis des résultats. Aussi, il me semblait que le Premier Ministre nouvellement élu, Justin Trudeau, en avait profité pour faire un arrêt en Corée du Nord avant de revenir au Canada. Malheureusement, mes recherches dans Google ont été infructueuses à cet égard. Je n’ai pas réussi à trouver de références qui pourrait nous le rappeler. C’est bien dommage.
Voyez-vous, les élites Libérales du Canada sont devenues spécialistes de ce genre de voyage. Ils les multiplient, à tel point qu’on se demande s’ils ne préfèrent pas dans le fond se retrouver dans des pays totalitaires, dictatoriaux ou autoritaires plutôt que de se trouver dans le pays démocratique où ils ont été élus et où ils sont responsables du bien-être de leur population. On se souviendra que le Premier Ministre Libéral du Québec Philippe Couillard, qui a vécu dans le régime islamiste de l’Arabie Saoudite plusieurs années, s’est rendu à Cuba en septembre 2016 pour une mission économique, où il a eu l’occasion de rencontrer Raul Castro lui-même. Le Premier Ministre arborait un très large sourire aux lèvres lors de cette rencontre. En janvier 2018, Couillard s’est à son tour rendu en Chine, encore une fois pour une mission économique. Il a eu droit d’accès à la Cité interdite, ce qui est assez rare pour un dignitaire étranger. Il y a fait la rencontre de plusieurs ministres du gouvernement chinois. On peut se demander à cet égard quels sont les critères qui déterminent la décision par les autorités chinoises de donner ou de ne pas donner accès à la Cité interdite à un dignitaire étranger. Est-ce la réputation, l’orientation idéologique, les valeurs, la vision de l’économie? Quel élément fait pencher la balance d’un côté ou de l’autre?
Le dernier épisode en date de ce genre de voyage a été réalisé par nul autre que le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, lors de son voyage en Inde voilà quelques semaines. Trudeau en a profité pour enfiler le plus possible de vêtements traditionnels et il était entouré d’une délégation sikh assez importante. Comme cela a été souligné par certains, comme Alexandre Cormier-Denis de Nomos-TV, plusieurs ministres de son gouvernement sont issus de la communauté sikh et certains semblent avoir des liens avec des groupes extrémistes sikhs. C’est peut-être pour cela qu’il y a été accueilli avec des sentiments partagés par les autorités indiennes.
Ce qui est frappant dans tout cela, c’est le type de pays qui est choisi par nos élites Libérales canadiennes pour leur ‘missions économiques’. C’est très souvent la Chine, Cuba, des pays arabes, etc. Or, si ces bonnes élites Libérales étaient réellement composées de patriotes, on s’attendrait à ce qu’elles se rendent en priorité appuyer les autres patriotes qui défendent nos libertés dans des pays comme le Japon, Israël et les quatre pays du Groupe de Visegrad, à savoir la Hongrie, la Pologne, la Slovaquie et la République Tchèque, d’une part et, d’autre part, dans des pays où les patriotes sont en difficulté, ce qui est le cas de l’ensemble des pays occidentaux, à part les quelques exceptions nommées plus haut. Et lorsque ces bonne élites se rendent aux États-Unis par exemple, c’est pour ‘mettre de la pression‘ sur le gouvernement américain comme l’a si bien dit Philippe Couillard, et non pas pour appuyer Donald Trump et l’ensemble des patriotes américains. (Notables exceptions ici, le maire de Montréal Denis Coderre s’est rendu au Japon en juillet 2014 et la nouvelle mairesse de Montréal s’y trouve au moment d’écrire ces lignes.) En fait, cela n’intéresse pas nos élites Libérales d’appuyer les patriotes. Leur priorité, c’est la Chine ou un de ses pays satellites. J’imagine que dans les prochaines semaines ou prochains mois on va nous annoncer un voyage en Iran ou en Corée du Nord. Ce serait tout à fait logique avec leur façon de faire et avec leurs valeurs. J’espère que les Québécois et les Canadiens se souviendront de tout cela au moment de voter lors des prochaines élections, qui auront lieu respectivement en 2018 au Québec et en 2019 au Canada.
Alexandre Cormier-Denis sur la mascarade de la commémoration de la fusillade de la Mosquée de Québec
Excellente analyse d’Alexandre Cormier-Denis sur la récupération politique de ce triste événement faite par les politiciens locaux.
Le problème de l’opposition à l’Assemblée Nationale du Québec
Ce qui me frappe le plus au niveau de la vie politique québécoise actuelle, c’est le niveau de désemparement de l’opposition officielle à Québec, si on peut appeler ça une opposition. En fait, il n’y a pas d’opposition à Québec, c’est justement ça le problème. Philippe Couillard a été élu en 2014. Il a mis en place toute une série de lois et de mesures pour mettre le Québec en pièces. On peut mentionner entre autres la Loi 3 qui permettait au gouvernement et aux municipalités d’aller piger dans le fonds de pension de leurs employés, légalement. Aussi, il y a eu le fameux Projet de Loi 59 qui s’attaquait directement à la liberté d’expression des Québécois, projet de loi qui a été abandonné, heureusement. Mais la pièce maîtresse du gouvernement Couillard reste, de toute évidence, l’investissement de 1 milliard de dollars dans le projet de la CSeries de Bombardier, suivi par un second investissement de 2 milliards de dollars dans la compagnie elle-même et sa division Transport. L’idée d’investir directement dans un projet et non pas dans la compagnie elle-même est une mauvaise idée en soi car cela contrevient directement aux principes d’économie 101. Lorsque l’on fait un achat, on essaie d’obtenir une valeur réelle en échange et pour un montant équivalent. Si le deuxième investissement du gouvernement satisfaisait ces critères, puisqu’il permettait d’obtenir des parts dans l’entreprise, le premier ne le permettait pas. En effet, si le projet de la CSeries tombait à l’eau ou se révélait être un échec, le gouvernement du Québec, en d’autres termes les Québécois payeurs de taxes, perdrait leur milliard de dollards en espèces sonnantes et trébuchantes. J’ai toujours remarqué que les Libéraux était très généreux avec l’argent des contribuables, avec l’argent des autres. On se demande s’ils le sont autant avec leur argent personnel. Ça reste à voir.
Ce ne sont que trois exemples qui font du gouvernement Couillard le pire gouvernement du Québec depuis 1867. Et qu’a fait l’opposition exactement pendant ce temps-là? Pas grand-chose. À l’occasion, Messieurs Jean-François Lisée et François Legault, respectivement chef du Parti Québécois et de la première opposition officielle, et chef de la CAQ et de la deuxième opposition officielle, y sont allés de quelques déclarations, en général assez polies et courtoises, sur les agissements du gouvernement ou du Premier Ministre. La troisième opposition officielle, Québec Solidaire, a continué à délivrer son message d’extrême-gauche comme on y est habitué mais force est d’admettre que les ténors du parti ont été assez tranquilles sous Philippe Couillard. Depuis que ce dernier a pris le pouvoir, plusieurs compagnies québécoises ont été vendues à des intérêts étrangers, sans que le gouvernement du Québec intervienne et la province ne cesse de s’enfoncer. Pendant que le Québec continue sur son déclin à tous les niveaux, notre Premier Ministre multiplie les déclarations et les condamnations sur l’intolérance et la xénophobie, ce qui l’empêche pas par contre d’aller visiter des régimes communistes comme celui de Cuba. On se demande s’il a sermonné Raul Castro au sujet du traitement réservé aux dissidents politiques dans son pays.
Tout cela n’est pas très sérieux. Dans un pays normal, l’opposition devrait être sur les dents pour essayer d’ébranler le gouvernement. Or, elle ne fait rien en ce sens. Jean-François Lisée et François Legault veulent trop être gentils et corrects. Je leur rappelerai une chose ici, à ne pas oublier: Les Québécois ne représentent que 2% de la population en Amérique du Nord. Ce n’est pas beaucoup, ce qui fait que nous sommes toujours sur la corde raide et que notre avenir n’est jamais assuré. Et le temps presse. Ainsi donc, je crois que le temps est venu pour Jean-François Lisée et François Legault en particulier de sortir de leur zone de confort et de commencer à y mettre du nerf. Voyez-vous, ils veulent faire de la politique en petits souliers. C’est tout à fait correct quand il y a le plein emploi, qu’il n’y a pas de guerre à l’horizon, que la démographie est de notre côté, qu’il n’y a pas d’invasion islamiste en cours, que les frontières sont sous contrôle, qu’il n’y a pas de cartels criminels qui contrôlent des secteurs entiers de l’économie, etc, etc, etc. En d’autres termes, faire de la politique en restant prudent et poli, ça peut aller quand tout va bien mais pas quand tout va mal. Je m’attends donc à ce que Jean-François Lisée et François Legault partent en guerre. Le temps est venu pour eux de sortir leurs bottes et de se mettre au travail. Dès la rentrée parlementaire, je veux que cela sente la transpiration à l’Assemblée Nationale. Comme dirait Ron Fournier, l’analyste de hockey, je veux que cela «sente le jackstrap». Philippe Couillard, de toute évidence, a le mandat le plus facile de tous les temps. On ne lui pose même pas de questions difficiles à l’Assemblée Nationale. Cela doit cesser.
Pour illustrer davantage le désarroi qui m’afflige par rapport aux comportements de l’opposition à Québec, je vais finir cet article en vous parlant de la victoire de Donald Trump. Honnêtement, quand Trump a gagné, je croyais que c’était la fin, politiquement, pour Couillard. Comme Lisée et Legault sont des nationalistes, Trump va leur donner son appui et Couillard va démissionner. Mais…ce n’est pas ce qui s’est passé. François Legault semblait de bonne humeur le 9 novembre au matin mais pas Jean-François Lisée. En fait, Lisée semblait inquiet. Si j’avais été dans la situation de Jean-François Lisée après la victoire de Donald Trump, j’aurais eu des discussions très sérieuses avec François Legault et, ensemble, on aurait mis en place une stratégie pour accéder au pouvoir rapidement. Je vous pose la question suivante: Si cela a été possible pour Pauline Marois et Amir Khadir de joindre leurs forces pour amener Jean Charest à démissionner en 2012, pourquoi Jean-François Lisée et François Legault, en compagnie d’Amir Khadir s’il désire se joindre à l’effort, ne pourraient faire de même pour montrer la sortie à Couillard? Je ne comprends pas. Notre peuple est en danger. Le temps est venu d’envoyer un message clair que c’est nous, ici, qui faisons la loi, que c’est notre terre. Le temps est venu de dire qu’ici, au Québec, ce seront nos valeurs qui seront honorées, pas celles de l’Arabie Saoudite ou d’un autre pays de dictature.
Série d’entrevues de Daniel Laprès sur les progrès de l’islam radical au Canada
Entre autres éléments à souligner, l’éditeur Daniel Laprès, dans cette série d’entrevues, commente les agissements des Premiers Ministres Justin Trudeau du Canada et Philippe Couillard du Québec qui facilitent par leurs actions l’installation et le déploiement de l’islam radical au Canada.
Justin Trudeau = désastre sur la scène mondiale
Justin Trudeau cautionne l’islam radical
Entrevue avec Daniel Laprès sur l’arrivée des réfugiés syriens au Canada et au Québec
Durant cette très bonne entrevue, Daniel Laprès des Éditions Accent Grave continue l’analyse de la soumission de nos élites politiques canadiennes aux forces de l’islam fondamentaliste. Entre autres éléments à souligner, il note la collaboration active des médias locaux qui ne font que répéter en perroquets les lignes officielles des représentants des gouvernements québécois et canadien. Les médias couchent avec le pouvoir ni plus ni moins, ils ne font plus leur travail d’information. Il note aussi comment le gouvernement québécois de Philippe Couillard est d’une grande générosité envers les étrangers, les migrants syriens dans ce cas-ci, alors qu’il est avare envers les Québécois, surtout ceux dits « de souche ». Ce gouvernement n’a fait que multiplier les coupes dans les services publics à la population pour se retourner et tirer en l’air l’argent des contribuables en l’offrant à des étrangers. Le cas des réfugiés est un exemple flagrant mais il y a aussi celui de la « contribution » récente du Québec de 25 millions de dollars aux pays en voie de développement lors du sommet COP21. Il est de plus en plus évident que les peuples occidentaux sont en train de se faire extorquer des sommes considérables par des gens d’ailleurs, et ce avec la complicité de nos dirigeants politiques, alors que beaucoup de nos citoyens sont dans la pauvreté ou même dans l’itinérance. S’occuper des itinérants qui traînent dans les rues des grandes villes du Canada serait beaucoup mieux que d’accueillir des réfugiés. Ces réfugiés syriens n’ont jamais rien accompli pour le Canada ou pour le Québec, alors que les itinérants, la plupart du temps des Québécois de souche en passant, sont les descendants des colons français qui sont venus ici à partir du seizième siècle et qui ont travaillé fort pour construire ce pays. Charité bien ordonnée commence par soi-même. On devrait s’occuper de nos citoyens avant de penser à en accueillir d’autres. Depuis que Barack Obama est entré en fonction, on a parfois l’impression qu’il a mis en place des politiques discriminatoires envers les populations locales des pays sous influence américaine. Il y a des jours où on dirait que les gouvernements occidentaux sont en guerre contre leurs propres populations. Daniel Laprès exprime ici sa frustration et sa colère face à cette situation, que je partage entièrement.
Deux entrevues avec Daniel Laprès sur l’islam radical
L’éditeur des Éditions Accent Grave, Daniel Laprès, toujours aussi éloquent et pertinent, nous livre ici ses réflexions sur l’islam radical en regard des événements récents.
Daniel Laprès sur l’état de l’islam radical au Canada
Daniel Laprès, des Éditions Accent Grave, insiste notamment ici sur l’importance d’organiser un contrepoids politique pour combattre et repousser les attaques et l’influence des islamistes, qu’ils utilisent des méthodes violentes ou non-violentes. Le problème du fondamentalisme islamiste ne se limite pas au terrorisme.