Alex Jones intervient en direct pour stopper le trafic d’enfants

Alex Jones et son équipe se trouvaient au Texas pour un reportage sur la frontière mexicano-américaine. Selon ses dires, lorsqu’ils se déplaçaient sur la rue, ils ont aperçu un véhicule dans lequel un grand nombre d’enfants embarquaient. Comme cela semblait louche, ils sont intervenus pour empêcher ce qui ressemblait vraiment à du trafic d’enfants. Bien joué!

Alex Jones dit sa façon de penser à l’équipe de sécurité d’un centre pour migrants à la frontière mexicano-américaine

Dans la seconde vidéo, Alex Jones résume la situation du flot de migrants alors qu’il se trouve à la frontière physique entre le Mexique et les États-Unis, constituée par la rivière Rio Grande.

Vidéo d’un lanceur d’alerte et reportage de Greg Reese sur l’effondrement de la frontière mexicano-américaine

La vidéo du lanceur d’alerte a été tournée sous le pont Anzalduas International Bridge, à Granieno au Texas, par l’équipe de Project Veritas, tandis que le reportage de Greg Reese a été effectué dans la localité de McAllen au Texas.

Reportage d’Owen Shroyer sur l’arrivée de migrants aux États-Unis

Owen Shroyer a rencontré des migrants qui arrivaient au Texas avec des enveloppes (d’argent?). Ces migrants ne parlent pas anglais et semblent complètement perdus. Ils ne savent pas où aller ni quoi faire. La situation est étrange mais elle correspond tout à fait à l’état d’effondrement de la frontière mexico-américaine où les trafiquants humains et de drogues font la loi. L’adminstration Biden pour sa part en profite, entres autres, pour faire venir des électeurs.

Reportage spécial de James O’Keefe sur les camps de détention à la frontière américaine

L’excellent James O’Keefe de Project Veritas continue son bon travail. Il expose ici les conditions de détention très sévères auxquelles les migrants sud-américains doivent faire face lors de leur arrivée au Texas. Il a réussi à obtenir des photos exclusives montrant les migrants entassés comme des sardines, couchant par terre et recouverts de couvertures métalliques, dans le camp de détention de la ville de Donna. Après avoir été expulsé par la sécurité, il a fait le tour du campement dans un petit avion. Bravo!

Reportage-choc d’Alex Jones sur le Grand Reset

Alex Jones fait ce reportage alors que des pannes de courant électrique affectent plusieurs secteurs de l’état du Texas où sont situés les studios d’Infowars.

Secure Freedom Radio: « The Islamic State Threat in Juarez »

Cet épisode récent de l’émission de radio Secure Freedom Radio animée par Frank Gaffney présente quatre excellentes entrevues relatives aux menaces les plus imminentes pour notre sécurité. Chris Farrell et Joe Heck attirent notre attention sur de possibles alliances entre des groupes terroristes tels l’État islamique et les cartels de drogue mexicains et leur utilisation des filières d’immigration légale et clandestine à la frontière du Texas et ailleurs. Andy McCarthy regarde de son côté les actions de l’État islamique en tant que tel et Cliff Kincaid le cas du comportement de la Russie, des libertariens et des frères Koch. À écouter.

The Islamic State Threat in Juarez

Pour en finir avec le pétrole « sale » de l’Alberta et la mystique réchauffiste: Le soleil et la pulsation de la Terre

Les écologistes ressemblent de plus en plus à de vieux curés recyclés en chamanes bobos des esprits de la nature. Le pétrole de l’Alberta, devenu véritablement le symbole du mal dans la mythologie du réchauffement climatique est, nous disent-ils, jusqu’à 67% plus polluant que le pétrole que l’on importe. Ils nous présentent les projets d’Enbridge (de l’inversion du flux du Pipeline 9B en direction du Québec), de Keystone XL (devant amener le pétrole canadien vers le Texas), de Northern Gateway (visant à amener celui de l’Alberta vers les marchés asiatiques) et autres initiatives littéralement comme des déclarations de guerre contre la nature et contre l’homme lui-même. Les « méchantes » compagnies pétrolières n’auraient qu’une obsession, à savoir polluer le plus possible la planète Terre pour la rendre inhabitable… OK, je caricature un peu mais vous voyez ce que je veux dire. Évidemment, la vraie question ici n’est pas de savoir si le pétrole est polluant. Bien sûr qu’il l’est, personne n’a jamais dit le contraire. Le véritable but des initiatives qui sont proposées ici dans le domaine de l’industrie pétrolière domestique à l’Amérique du Nord consiste, évidemment, à assurer l’indépendance énergétique du continent. Importer notre pétrole de pays qui sponsorisent le terrorisme ou qui essaient d’exporter l’observance de la charia n’est pas dans notre intérêt. En demeurant dépendant du pétrole livré par des pays, groupes d’influence ou d’intérêts ou des régimes religieux totalitaires qui font la promotion de l’islamisme et/ou terrorisme, nous continuons à être exposés à toutes sortes de tentatives d’intimidation, de chantage, de menaces et de pressions qui ne peuvent qu’être fatales à la souveraineté de nos pays. C’est pourquoi nous devons soutenir les initiatives de la communauté des affaires locale des Amériques, afin que nous puissions obtenir les moyens d’assurer notre autonomie énergétique dans un monde de plus en plus incertain et dangereux.

En second lieu, sur le plan strictement de la science, les arguments ou les « preuves » apportés par les gourous du réchauffement climatique sont non concluantes dans le meilleur des cas. D’autres données suggèrent en effet que nous serions peut-être dans un processus de refroidissement. En effet, selon cet article, la calotte glaciaire aurait crû de 29% de 2012 à 2013, alors que les pseudo-experts de la « science » du réchauffement nous annonçait en 2007 que l’Arctique serait libre de glace en 2013! Or, c’est le soleil qui semble être le facteur déterminant dans les températures que nous observons sur la surface de la Terre. De la même manière qu’il serait idiot de prétendre que le fait de griller une cigarette dans un appartement pourrait faire grimper la température, davantage que le système de chauffage, les fameux « gaz à effet de serres » n’ont aucun impact ou très minime sur la température. C’est le système de chauffage qui fait la différence, i.e. le soleil. Le soleil connait des cycles qui font en sorte que la température varie d’une période à l’autre. Les cycles solaires durent 22 ans, 11 ans pendant lesquelles on se dirige vers le maximum et 11 autres années vers le minimum. Aussi, les cycles solaires démontrent un certain degré de force ou de faiblesse, ce qui peut provoquer des températures froides dans le deuxième cas dans les années suivantes, comme le Minimum de Maunder de 1645-1715. Il y a aussi d’autres phénomènes comme la Grande Année, pendant laquelle les astres de notre système solaire gravitent dans la galaxie pour revenir exactement à leur emplacement initial, qui dure environ 26 000 ans. Nous n’avons aucune idée des écarts de température que cela peut comporter. Il y a également la polarité du champ magnétique solaire, ainsi que les taches solaires qui ont un impact sur les températures. Vous pouvez retrouver ici un site dédié à la climatologie donnant beaucoup d’informations pertinentes sur les variations d’activité du soleil et ses interrelations avec les températures observées. Pour terminer, je vous propose une excellente conférence du Dr. Nir J. Shaviv qui présente ici des données scientifiques crédibles permettant de réaliser un fait très important, à savoir que ce sont les hausses de température qui PRÉCÈDENT les « gaz à effet de serre » et non l’inverse. Une hausse des températures provoquent davantage d’émission de CO2 provenant des océans. Ce processus met des siècles à se réaliser. En d’autres termes, lorsque l’on remarque une augmentation des « gaz à effet de serre », c’est en réaction à la hausse de température qui s’est produit voilà des siècles. Peut-être que cela ne vous convaincra pas mais à ce jour, ce sont les informations les plus crédibles sur la question du fameux « réchauffement climatique » que j’ai pu trouver. Les données à long terme semblent indiquer que les phénomènes de réchauffement ou du refroidissement climatique, toujours temporaires et non pas permanents, sont tout à fait naturels dans leur essence.