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L’Occident sous occupation, cinquième chapitre. Le problème de la radicalisation: Lorsque le loup garde la bergerie…
N.B. J’ai d’abord publié ce billet en tant qu’article régulier. Après réflexion, j’ai décidé de l’inclure dans mon texte en développement sur l’occupation de l’Occident. Il complète bien l’ensemble des autres éléments que j’essaie de développer dans cette série. (31 janvier 2015)
Un reportage récent de Radio-Canada concernant notre approche pour lutter contre le terrorisme a attiré mon attention. Je joins le lien en bas de page. Une courte vidéo accompagnant le texte écrit du reportage met en lumière le malaise que plusieurs peuvent ressentir face à cette question. On y voit un policier, nous dit-on, donnant une conférence au Québec à d’autres policiers sur le phénomène de la radicalisation des musulmans et sur les moyens de détecter ceux qui peuvent s’inscrire dans cette mouvance. Or, le policier donnant la conférence est visiblement originaire du Moyen-Orient. Vous me direz peut-être que l’origine ethnique d’un conférencier n’a rien à voir avec le sujet dont il est question. En ce qui touche la charia, l’islamisme, le djihad ou la radicalisation, peu importe comment on appelle ce phénomène, je crois que cela a une grande importance. Car il y a plusieurs personnes au Canada et aux États-Unis, qui sont des nationaux, des de souche, dont les ancêtres sont ici depuis plusieurs générations, qui peuvent faire ce travail sûrement tout aussi bien que le conférencier que l’on nous montre ici (qui n’est pas nommé en passant). Je n’enlève rien à la compétence de ce dernier cela dit. Mon point est qu’il y a un manque flagrant de reconnaissance envers les forces vives de la communauté patriote québécoise, canadienne et américaine. Au lieu de faire appel à des gens d’origine arabo-musulmane pour expliquer aux policiers en quoi consiste le phénomène de la radicalisation, les forces policières pourraient donner l’opportunité à des Québécois comme par exemple l’éditeur du site Poste de veille ou encore à Marc Lebuis du site Pointdebasculecanada. Au Canada-Anglais, des gens comme Tarek Fatah et Salim Mansur, qui sont musulmans, pourraient s’acquitter de cette tâche aussi, puisque leur respect des valeurs séculières, humanistes et occidentales n’est plus à démontrer. En Europe, le blogueur vidéo Aldo Sterone, un Algérien arabo-musulman, est une excellente référence pour comprendre le phénomène de l’islamisme de l’intérieur des sociétés qui le produisent. Aux États-Unis, quelqu’un comme Stephen Coughlin a fait un travail remarquable sur le Coran et l’idéologie islamiste. Après quelques temps passés au Pentagone à faire exactement cela, il a été mis de côté parce que l’on jugeait ses opinions non conformes avec l’agenda politique du gouvernement. Andrew Bostom est aussi quelqu’un ayant les compétences pour faire un tel travail. Je me dois également de mentionner le travail remarquable de l’écrivaine et critique de la politique américaine Diana West. Ses efforts pour identifier les résurgences de la pensée communiste aujourd’hui, se manifestant sous la forme de l’islamisme, ont produit un livre absolument exceptionnel intitulé American Betrayal, qui est une lecture obligée pour nos leaders publics. J’ai bien peur que peu d’entre eux ne l’ont lu cependant. Et ce ne sont ici que quelques exemples.
En passant, je profite de l’occasion pour mentionner l’existence d’un document complet et détaillé sur l’infiltration de nos sociétés occidentales par les Frères Musulmans, réalisé par le Center for Security Policy. On peut retrouver leur excellent travail, une présentation vidéo en dix chapitres ici, en suivant ce lien: The Muslim Brotherhood in America. Auparavant, ils avaient réalisé un document tout aussi étoffé sur l’implantation de la charia en Amérique du Nord: Shariah: The Threat to America.
En définitive, curieusement, les forces policières dans le monde occidental ont la manie de ne pas faire confiance aux locaux du coin. Ils préfèrent s’en remettre à des étrangers dont on ne connaît ni les allégeances ni les convictions ni le passé. Ils ont tendance aussi à ne pas tenir compte de la religion elle-même dans le processus pour n’arrêter leur regard que sur les comportements. C’est pourquoi je considère qu’une telle attitude ne peut mener qu’à la ruine de nos sociétés puisque, en quelque sorte, on remet les clés de la ville à nos ennemis. Et ce genre de dérive n’a pas lieu qu’au Canada mais dans plusieurs endroits dans le monde également. Dans les conditions actuelles, la stratégie policière sera un échec complet. Il ne ne faut pas être un spécialiste pour le comprendre. Cette manie à essayer à tout prix de plaire à nos ennemis pour atteindre je ne sais quel objectif stratégique rappelle à la mémoire, malheureusement, certaines scènes du célèbre film Casablanca dans lequel on pouvait voir le chef des forces nazies, le major Strasser, s’amuser comme larrons en foire avec le chef de la police locale, le capitaine Renault. L’intrigue du film se passe au Maroc lors de l’occupation du pays par le régime de Vichy. Les implications d’une telle proximité avec des puissances ennemies ne sont plus à démontrer. Il y a péril en la demeure. Ce qui est fondamental à comprendre ici est que nos élites ne peuvent comprendre que le problème de l’islamisme ne pose pas qu’en termes de terrorisme. Celui-ci n’est qu’un tout petit aspect du problème. En fait, les dommages matériels qu’une société peut subir en raison du terrorisme sont bien inférieurs en conséquences aux dommages psychologiques et spirituels causés par l’infiltration de nos institutions par les forces islamistes. Les dommages immatériels sont irréparables. Lors d’un texte précédent, j’ai eu l’occasion déjà de préciser ces notions. Alors, quand allons-nous finir par comprendre le danger qui nous guette? « I’m so shocked, shocked… » Suite au reportage de Radio-Canada, je joins une entrevue que Tarek Fatah a accordée au réseau SunNews en décembre 2013. Il nous informait alors qu’un imam radical de la région de Toronto, du nom de Said Rageah, occupait le poste, croyez-le ou non, de conseiller pour la GRC sur les questions religieuses. C’est là qu’on est rendu…
Radicalisation : comment traquer un ennemi indéfinissable?
Restez branchés sur lys-dor.com pour le sixième chapitre. Pour accéder aux chapitres précédents, veuillez visiter les liens suivants:
L’Occident sous occupation, troisième chapitre: La véritable nature du djihad islamique
Le Ministre canadien de l’emploi Jason Kenney sur la nature maléfique du communisme
L’entrevue avec Jason Kenney est précédée d’un court extrait d’un discours du Premier Ministre canadien Stephen Harper. Kenney fait référence durant l’entrevue à l’ouvrage Le livre noir du communisme. Aussi, pour bien comprendre la nature du communisme, on doit mentionner également le merveilleux livre de Diana West, American Betrayal.
Diana West: Des agents soviétiques ont subverti les États-Unis dans les années trente
Excellente entrevue avec Diana West, auteur du merveilleux livre American Betrayal: The Secret Assault on Our Nation’s Character. En compagnie de Ginni Thomas, elle refait ici l’histoire, la vraie histoire, de la subversion des États-Unis, et par le fait même de l’Occident, par les forces de gauche, communistes ou socialistes. Ces agents soviétiques qui ont infiltré l’Administration de F. D. Roosevelt, de façon à amener les États-Unis à servir les objectifs et le but de l’Union Soviétique n’étaient que la première génération d’agents étrangers à nous infiltrer. Après la Deuxième Guerre Mondiale, il y a eu aussi d’ex-agents de l’Allemagne Nazie que nous avons recrutés pour combattre cette même Union Soviétique pendant la Guerre Froide. Certains d’entre eux ont immigré aux États-Unis avec la complicité du Département d’État, de façon secrète. John Loftus, de par sa cote de sécurité maximale, a très bien étudié ce dossier. Vous pouvez voir une entrevue avec lui sur le sujet ici: John Loftus à propos de America’s Nazi Secret Et maintenant, depuis le 11 septembre 2001, nous assistons à une troisième vague d’infiltrateurs d’une idéologie de gauche, les islamistes. À chaque fois que l’Occident s’est allié à des gauchistes, qu’ils soient communistes, nazis ou islamistes, cela a toujours mal fini. Ces « collaborations » ou « alliances » ont toujours contribué à diminuer la spécificité de l’Occident et ses valeurs, à corrompre la nation et les valeurs judéo-chrétiennes, en somme à livrer notre civilisation sur un plateau d’argent à nos ennemis. Nous avons été trahis par les gens qui étaient supposés nous protéger. L’excellent travail de Diana West et de John Loftus nous aident à refaire l’histoire réelle et à redresser le navire avant qu’il ne soit trop tard. En passant, à chaque fois que je réfléchis sur ces tragiques événements du vingtième siècle, je suis étonné de constater qu’Adolf Hitler et Roosevelt ont pris le pouvoir la même année, soit 1933. Il y a de quoi réfléchir ici.
Entrevue avec Diana West sur Vladimir Konstantinovitch Boukovski, dissident soviétique
Dans cette brève entrevue qu’elle a accordée à Frank Gaffney sur Secure Freedom Radio, Diana West nous entretient sur le fameux dissident soviétique Vladimir Konstantinovitch Boukovski. Pour avoir résisté au régime soviétique, pour avoir défendu et exercé la liberté d’expression de différentes manières, Boukovski a passé plusieurs années emprisonné sous diverses formes, de la prison, au camp à l’asile psychiatrique. Le plus étonnant dans le compte rendu que fait Diana West ici, est le fait que Boukovski fut mandaté par Boris Eltsine pour faire des fouilles dans les archives de l’Union Soviétique afin de faire la lumière sur ce qui se passait vraiment durant les années de ce régime. Un procès du communisme devait avoir lieu, dans le même genre que le procès de Nuremberg. Or, beaucoup de dirigeants occidentaux ont fait des pressions sur Eltsine pour que les faits de cette période soient étouffés. En effet, il appert que beaucoup ici même ont été complices des crimes du communisme, par leur corruption, leur support ou leur silence et voyaient d’un mauvais oeil que l’on dévoile des faits troublants les concernant. Eltsine s’est plié et a mis fin aux recherches. Excellente présentation de l’auteur du merveilleux livre American Betrayal: The Secret Assault on Our Nation’s Character, qui traite justement de l’infiltration d’agents soviétiques en Occident durant toute la période de la Guerre Froide et de la complicité de nos élites. À écouter, car cela donne une vision particulièrement incisive sur notre situation présente. L’entrevue se trouve au segment #3.
L’héritage de la normalisation des relations diplomatiques avec l’URSS
La normalisation des relations diplomatiques avec l’URSS, officialisée le 16 novembre 1933 (incidemment la même année où Hitler a pris le pouvoir), constitue une erreur historique majeure qui a mené à la subversion des États-Unis par les forces du communisme/socialisme. De même nature que l’entente de Chamberlain avec Hitler ou celle récente entre le Conseil de sécurité de l’ONU et l’Iran sur la question du nucléaire, ce genre de « pacte de non-agression » ne fait qu’accroître la capacité de nos ennemis à nous infiltrer et nous détruire. Cette excellente conférence brosse un tableau de la situation qui avait amené le Président Roosevelt à conclure une entente avec l’Union Soviétique. À voir.