Entrevue avec Trevor Loudon sur les liens entre l’Union Soviétique et l’islam

Cette excellente entrevue avec l’activiste politique et blogueur Trevor Loudon brosse le tableau des liens étroits existant entre les fondamentalistes islamistes et les mouvements, partis, régimes et pays communistes et/ou socialistes. Il a présenté les fruits de sa recherche dans un livre intitulé The Enemies Within: Communists. Socialists and Progressives in the U.S. Congress. La thèse du livre, en gros, est que l’Union Soviétique n’a cessé depuis la fin de Deuxième Guerre Mondiale d’infiltrer l’Occident, en particulier les États-Unis, afin de se livrer à du sabotage de l’intérieur. Depuis la chute du Mur de Berlin, la Russie continuerait de se livrer à cette infiltration et ce sabotage par l’emploi des fondamentalistes islamistes. Durant cette entrevue d’une heure avec Frank Gaffney, l’auteur donne plusieurs exemples pour étayer son propos, notamment l’activité de groupes comme ACLU, le Council for a Livable World, celle d’oligarques comme George Soros et de politiciens comme Barack Obama. Le travail de Loudon complète bien les travaux de Diana West sur l’infiltration communiste des États-Unis, qu’elle a merveilleusement bien campé dans son livre American Betrayal: The Secret Assault on Our Nation’s Character. Ces deux livres donnent l’autre côté de la médaille expliquant l’effondrement de l’Occident. Dernièrement, je vous ai présenté une série d’entrevue avec l’auteur Peter Levenda sur le monde underground nazi de l’après-guerre dans son livre intitulé The Hitler Legacy. Un autre ouvrage du même genre de John Loftus intitulé The Secret War Against the Jews: How Western Espionage Betrayed The Jewish People, présente l’histoire de l’industrie pétrolière et de ses liens avec le renseignement. Il nous amène à comprendre comment ces éléments ont façonné la résolution des conflits et des guerres et pourquoi les idéologies nazie et islamiste ont pu continuer à prospérer malgré la monstruosité de leurs actions.

Ceci m’amène à une réflexion plus générale. Je vous avoue que cela me fatigue depuis longtemps mais on dirait que le moment est venu de faire le point. Comme vous le savez sans doute si vous suivez ce blogue depuis un certain temps, ce site est dédié au combat contre les idéologies totalitaires, quelles qu’elles soient. Or, je remarque que bien peu de mes contemporains sont capables de suivre mes pas. Les activistes antinazis ou antifascistes sont rarement anticommunistes et vice versa. Les gens choisissent un camp ou l’autre sans comprendre qu’il s’agit des deux côtés d’une même médaille. Pour donner l’exemple des États-Unis, pour les Républicains tout est de la faute des Démocrates, et pour les Démocrates, tout est de la faute des Républicains. Si on passe en revue la planète, on voit aussitôt que les protagonistes d’un conflit se blâment l’un l’autre continuellement. Arabes et Juifs, Ukrainiens et Russes, Iraniens et Saoudiens, Chiites et Sunnites, orthodoxes et catholiques, catholiques et protestants, Irlandais et Britanniques, Canadiens-Français et Canadiens-Anglais, etc, etc… C’est toujours la faute de l’autre. Cependant, l’histoire montre toujours qu’il n’y a ni bons ni méchants mais des circonstances qui font en sort que certains peuples ou certains pays prennent des décisions afin de protéger leurs intérêts ou leur survie. Les protagonistes d’un conflit ont à la fois tort et raison, en ce sens qu’ils défendent leurs intérêts et donc, à ce niveau, ils ont tous des choses à se reprocher.

Je suis estomaqué par le fait que beaucoup de mes contemporains ne peuvent pas voir les deux côtés des choses. Pour donner un exemple concret, mes deux émissions de radio préférées, For The Record animée par Dave Emory et Secure Freedom Radio animée par Frank Gaffney, reçoivent régulièrement des excellents invités. Or, les invités de l’une des deux émissions ne sont jamais invités sur l’autre, ce qui fait que le débat d’analyse politique et de renseignement se fait en vase clos, même si le résultat est très bon. Ainsi, en ce qui concerne les excellents livres que j’ai cité précédemment, il faut donc les lire en parallèle. Comme les auteurs ont vraisemblablement des réticences à tenir compte de l’autre côté de la médaille, c’est le lecteur lui-même qui doit le faire. On en est rendu là. Je vous invite donc à livre The Hitler Legacy, The Secret War Against the Jews, American Betrayal et The Enemies Within en parallèle en « remplissant les espaces libres » qui auront été laissés par leurs auteurs. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons reprendre en main notre compréhension de l’histoire. Je vous offre également certains articles précédents où vous pourrez retrouver des entrevues avec les autres auteurs mentionnés.

Trevor Loudon sur Secure Freedom Radio

Entrevues #5, #6 et #7 avec Peter Levenda sur l’héritage hitlérien et le djihad mondial

Entrevue #4 avec Peter Levenda sur l’héritage hitlérien et le djihad mondial

From Communism to Islamism: The Secret Invasion of American Society

Diana West: Des agents soviétiques ont subverti les États-Unis dans les années trente

John Loftus parle de son dernier livre, America’s Nazi Secret

FTR #731 Interview with John Loftus about “America’s Nazi Secret”

Diana West: Des agents soviétiques ont subverti les États-Unis dans les années trente

Excellente entrevue avec Diana West, auteur du merveilleux livre American Betrayal: The Secret Assault on Our Nation’s Character. En compagnie de Ginni Thomas, elle refait ici l’histoire, la vraie histoire, de la subversion des États-Unis, et par le fait même de l’Occident, par les forces de gauche, communistes ou socialistes. Ces agents soviétiques qui ont infiltré l’Administration de F. D. Roosevelt, de façon à amener les États-Unis à servir les objectifs et le but de l’Union Soviétique n’étaient que la première génération d’agents étrangers à nous infiltrer. Après la Deuxième Guerre Mondiale, il y a eu aussi d’ex-agents de l’Allemagne Nazie que nous avons recrutés pour combattre cette même Union Soviétique pendant la Guerre Froide. Certains d’entre eux ont immigré aux États-Unis avec la complicité du Département d’État, de façon secrète. John Loftus, de par sa cote de sécurité maximale, a très bien étudié ce dossier. Vous pouvez voir une entrevue avec lui sur le sujet ici: John Loftus à propos de America’s Nazi Secret Et maintenant, depuis le 11 septembre 2001, nous assistons à une troisième vague d’infiltrateurs d’une idéologie de gauche, les islamistes. À chaque fois que l’Occident s’est allié à des gauchistes, qu’ils soient communistes, nazis ou islamistes, cela a toujours mal fini. Ces « collaborations » ou « alliances » ont toujours contribué à diminuer la spécificité de l’Occident et ses valeurs, à corrompre la nation et les valeurs judéo-chrétiennes, en somme à livrer notre civilisation sur un plateau d’argent à nos ennemis. Nous avons été trahis par les gens qui étaient supposés nous protéger. L’excellent travail de Diana West et de John Loftus nous aident à refaire l’histoire réelle et à redresser le navire avant qu’il ne soit trop tard. En passant, à chaque fois que je réfléchis sur ces tragiques événements du vingtième siècle, je suis étonné de constater qu’Adolf Hitler et Roosevelt ont pris le pouvoir la même année, soit 1933. Il y a de quoi réfléchir ici.

Ezra Levant: Les frères Rockefeller, le Club Sierra et les Mohawks…

Levant est tout à fait dans le sujet dans ce commentaire sur les émeutes reliées au gaz de schiste au Nouveau-Brunswick. Il porte à notre attention, de façon explicite dans l’article que vous retrouverez plus bas, le fait que le Fonds des Frères Rockefeller supporte financièrement des organisations écologiques, comme la Fondation du Club Sierra par exemple, qui semblent avoir des liens avec l’activisme politique des Mohawks. La famille Rockefeller a fait fortune en raison de ses investissements dans l’industrie pétrolière d’Arabie Saoudite, ce pays étant à toute fin pratique une création des États-Unis pour soutirer l’activité pétrolière du Moyen-Orient à l’Empire britannique. Des intérêts privés comme ceux des Rockefeller, et ceux de l’OPEP de façon plus générale, peuvent certainement être tentés de radicaliser certains groupes autochtones, écologiques et d’extrême-gauche afin de protéger leurs intérêts financiers. L’OPEP voit d’un très mauvais œil le développement de l’industrie pétrolière domestique, qu’elle soit canadienne, américaine ou autre, et n’entend pas perdre son marché d’exportation sans livrer bataille. Ces « protestations » de Mohawks en sont probablement une belle illustration. Pour en connaître davantage sur les transformations de l’industrie pétrolière dans les années précédant la Deuxième Guerre Mondiale, je vous suggère l’ouvrage de John Loftus, The Secret War Against the Jews. Voici également l’article de SunNews dont je parlais plus haut.

L’article de SunNews sur les émeutes du gas de schiste

John Loftus parle de son dernier livre, America’s Nazi Secret

Le Lys d'OrBetween the iron gates of fate,
The seeds of time were sown,
And watered by the deeds of those
Who know and who are known;
Knowledge is a deadly friend
When no one sets the rules.
The fate of all mankind I see
Is in the hands of fools.

Extrait de la chanson « Epitaph » du groupe King Crimson

Un entretien vraiment exceptionnel considérant l’état lamentable du travail médiatique d’aujourd’hui. Dans cette entrevue accordée à la chaîne médiatique internet d’Alex Jones, Loftus présente certains des secrets les mieux gardés et des plus scandaleux de la Deuxième Guerre Mondiale et de la Guerre Froide. Entre autres sujets, on y apprend que les services secrets britanniques et le Département d’État américain ont littéralement « dumpé » des centaines d’agents nazis en Amérique après la guerre, scientifiques et agents de renseignements, que plusieurs grandes familles américaines ont investi massivement non seulement dans l’Allemagne nazie et l’Arabie Saoudite dans le but de récolter d’immenses profits mais aussi dans le mouvement bolchévique en Russie, qui lui n’a pas rapporté contrairement aux deux autres. Loftus explique les agissements de ces grandes familles ainsi que de leurs avocats et agents tels les Allen Dulles, Henry Kissinger et plusieurs autres. Aussi, Loftus révèle qu’il fut l’un des rares à avoir accès aux voûtes secrètes situées au Maryland, grâce à sa cote de sécurité maximale. C’est à cet endroit qu’il a pu découvrir la vérité sur le monde d’après-guerre et entrevoir les conséquences désastreuses des décisions qui ont été prises par les dirigeants de l’époque.

Outre le contenu présenté ici, on ne peut faire autrement que de remarquer le parallèle évident qui existe entre ce qui s’est passé dans les années cinquante et soixante et ce qui se passe depuis quelques décennies dans le monde. Nous sommes en train de répéter les mêmes erreurs. On procure asile et confort aux islamistes, qui ne sont que des Nazis de deuxième génération, à la fois pour générer des profits mais aussi dans l’espérance de s’épargner les souffrances d’une guerre éventuelle. De toute évidence, on ne pourra pas éviter cette guerre et ce sont nos populations qui paieront la note de leur souffrance et de leur vie. Une entrevue à mettre dans vos favoris et à réécouter ad nauseam.

Tony Gosling: Martin Bormann, post-WWII nazism and the state of corruption in the UK

La campagne de boycott antisioniste sur la rue St-Denis à Montréal: Une inquisition anti-Québécois et une opération nazie/fasciste

Introduction

Le présent article est le résultat de plusieurs mois de luttes contre le groupe PAJU qui harcèle certains commerçants de la rue St-Denis à Montréal depuis octobre 2010. Je vais donc essayer ici de rassembler les pièces du dossier comme le ferait n’importe enquêteur de police ou d’un autre service. Et je dois dire d’emblée que cet article se révèle à la fois être un résumé, un répertoire, un bottin, le premier d’une série de plusieurs articles ou même l’introduction d’un livre, tant la quantité des liens et des connections est importante à connaître. Tout au long de ces interminables mois durant lesquels je me suis rendu manifester contre le groupe PAJU pour essayer de contrecarrer leurs efforts envers les boutiques Le Marcheur et Naot, et ce parce qu’ils auraient commis l’odieux crime de vendre des souliers fabriqués en Israël selon les dires du PAJU, j’ai toujours eu l’impression que nous n’avions pas les bonnes clés d’interprétation pour comprendre le conflit et, ce faisant, ne nous pouvions alors adopter la bonne stratégie pour gagner la bataille. J’avais l’impression que ce qui se passait dépassait largement les cadres de l’antisémitisme et des dérives de la gauche. Comme pour vaincre une maladie il faut d’abord faire le bon diagnostic, l’honnêteté par rapport aux faits est essentielle. Cette campagne a toutes les allures d’une opération de renseignement de très haut niveau. J’adore les opérations de renseignement, les analyser, les décortiquer…sauf quand elles font paraître mon peuple comme une bande d’idiots ou d’antisémites, ce qui est le cas présentement. J’ai donc décidé de retourner aux sources afin d’avoir une meilleure vue d’ensemble, dans le but de tuer dans l’oeuf ce qui m’apparaît comme une véritable voie de fait contre le peuple québécois. Ce n’est qu’en leur remettant le nez dedans, eux les ingénieurs de cette opération, qu’on pourra la désamorcer. 

J’en profite pour clarifier que je ne reprendrai pas l’argumentaire présenté par Pierre K. Malouf dans son merveilleux livre Les faces cachées d’Amir Khadir (Éditions Accent Grave, 2012, 280 pages). Ce serait inutile. Dans une formule tout à fait appropriée, Malouf a affirmé que Françoise David et Amir Khadir représentait « la vitrine présentable de Québec Solidaire ». En ce qui me concerne, partant de là, je vais plutôt m’attarder sur ce qui se trouve à l’intérieur de la boutique de l’extrême-gauche québécoise, pour ne pas dire dans l’arrière-boutique et peut-être même dans la ruelle, si c’est possible. Je m’intéresse aux conditions sociales, politiques, historiques, idéologiques et financières qui ont rendu possible cette campagne de boycott sur la rue St-Denis pour commencer. Aussi, je veux mentionner que je ne prétends pas que tous les liens présentés ici sont nécessairement fondés et pertinents à notre investigation. Tout enquêteur sérieux et compétent est parfois amené à s’intéresser à de fausses pistes et à de fausses connexions, sans le vouloir. Que voulez-vous, ça fait parti du métier et toutes les hypothèses doivent être regardées systématiquement pour en venir à isoler la plus plausible. Néanmoins, les découvertes que j’ai faites lors de cette enquête sont suffisamment troublantes pour mériter que je vous les présente dans cet article. Mais pour permettre à ceux qui ne seraient pas familiers avec la manifestation du PAJU sur la rue St-Denis d’en connaître les grandes lignes, voici une entrevue de Pierre K. Malouf accordée à l’émission En Direct De Nulle Part.

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The investigation of Rita Katz on Operation Green Quest

This radio show by Dave Emory explores the heroic investigation of private citizen Rita Katz on Operation Green Quest that led to the Holy Land Foundation trial. Her work allowed us to unveil the deep penetration of the GOP and of the Bush Administration by islamist elements from the Muslim Brotherhood, Hamas, Palestinian Islamic Jihad and Al-Qaeda. However, her research was eventually subverted and neutralized by members of the CIA and FBI. Among several things, Dave Emory explores the role eventually played by the Ptech firm, owned and controlled by the Muslim Brotherhood, on the day of 9/11. In effect, the fact that it is Ptech that developped the threat assessment software used by the Air Force, the FAA and Norad could account for the confusion experienced on the morning of 9/11, which facilitated the attacks and delivered New York and Washington D.C. to hostile forces. Also, the role played by the Safa Trust and the SAAR network on the economic side of it is also explored, among other elements. Rita Katz has written a book titled Terrorist Hunter in which she chronicles the whole story.

FTR #569: The triumph of treason

The Muslim Brotherhood in America documentary, Part 3

This is part 3 of a documentary produced by the Center For Security Policy and presented by Frank Gaffney. I also join two radio shows and blog posts by anti-fascist researcher Dave Emory for supplemental and different information, one of them being an interview with previous Justice Department attorney John Loftus. Loftus wrote many great books, such as The Secret War Against the Jews and America’s Nazi Secret, among others. In this interview, he discusses the Muslim Brotherhood as exemplifying what came to be called islamofascism.

FTR #455 Compendium on the Muslim Brotherhood

FTR #564 Interview with John Loftus

Ukraine cleanses its history: The Golden Rose and the Gehenna of present-day Europe

Last week, the remnants of the Golden Rose synagogue that was once one of Europe’s most beautiful ones, have begun to be demolished in the city of Lviv. The historical and religious site is planned to leave the way for a hotel in prevision of some European championships of soccer. These remnants are one of the few remaining Jewish vestiges in Lviv after the passages of both Nazi and Soviet totalitarian bulldozer regimes. In a recent article published in the National Post, journalist Tom Gross asks rightfully: Where is the UNESCO in all this? Well…as the UNESCO is an institution of the UN, it can’t go against its wishes. The UN being now under the control of a majority, or close to a majority of countries, that are either Muslim or that have had a long history of anti-semitism, it is clear that it is not at the UN that the Jewish community and Israel will find favorable ears for their demands or complaints.

And…it gets a little worse than that. As a matter of fact, and the National Post has chosen the exact title that says it all, Ukraine is trying to rewrite its history in an effort to erase the Jews. That’s what is going on. Don’t forget that Ukraine’s national « hero », Stepan Bandera, leaded mobile killing units to exterminate the Jews at gunpoint during WWII. These guys didn’t need crematory ovens. No. Guns were sufficient for them, as they exterminated in Belarus and Ukraine something like 3 million out of the 6 million Jews who died during the war. For more information on that, you can check the marvellous book of former Justice Department attorney John Loftus, America’s Nazi Secret. And it is these same Ukrainians who recently complained about the « special treatment » that the Canadian Museum for Human Rights in construction in Winnipeg was willing to give to the Jewish holocaust at the « detriment » of other human suffering, such as the holodomor, the killings of Ukrainians by Soviet troops. Continuer la lecture

Ukrainian descendants train their propaganda muscle over the content of the Canadian Museum for Human Rights

© Fabrizio Mariani | Dreamstime.com

Another chapter in the never-ending saga of anti-semitism and nazi cover-up has been deployed recently, as Ukrainian organizations complain about foreign intervention of intellectuals over the content of the Canadian Museum for Human Rights. An advocacy group, the Ukrainian Canadian Civil Liberties Association, and the Ukrainian Canadian Congress, are accused of distorting historical account of the Holodomor, the genocide perpetrated by Soviet Russia in Ukraine in 1932-33. In a letter signed by a hundred scholars around the globe and published last week, the foreign intellectuals also claim that the UCCLA and the UCC refuse to acknowledge the role played by Ukrainian nationalist movements in the Holocaust. Also, the UCCLA and the UCC are having a different with the Museum on the issue of the place that the Holocaust should occupy in the physical space of the building. They argue that there shouldn’t be a separate room for the Holocaust, or that there should be a room for the Holodomor also, to avoid that such an approach « elevates » the suffering of a particular group to the detriment of other groups.

The first article of the Globe and Mail, that you find below, ends with this sentence: « Others are well known for making unfounded allegations concerning the nature and behaviour of the Ukrainian nationalist movement of the 20th century, assertions serious scholars have dismissed as prejudicial. » If I may try to bring more « foundation » for these accusations, here is an extract from a book authored by John Loftus and titled America’s Nazi Secret, which is the new edition of the original The Belarus Secret. Loftus is a former U.S. government prosecutor for many years. He is also a prolific author acclaimed by the critics. In the early ’80s, he was in charge of the Belarus file for the U.S. Justice Department. His job was to hunt down Belarus Nazis. He had the privilege to read the Top Secret Files and made some astonishing discoveries on a variety of topics, including the Ukrainian File. So, in America Nazi Secret we read, about Mykola Lebed:

« Anti-Nazi resistance leader, indeed. The CIA and Congress were thoroughly suckered in. Lebed had been the head of the SB, the Ukrainian version of the Gestapo. His men murdered tens of thousands of Polish, Jewish and Ukrainian citizens. I know this is true because I found the original files of Mykola Lebed in the Army Intelligence vaults at Suitland, Maryland, and showed them to my two superiors at the Justice Department: Ryan and Sullivan. It will be impossible for them to deny that they were briefed in detail before allowing this killer to enter the United States. » (p. 28)

and now about the Organization of Ukrainian Nationalists, headed by Stepan Bandera:

« The CIC (the Counter-Intelligence Corps, precision mine: C.H.) had an agent who photographed eleven volumes of Lebed’s secret internal files of OUN/Bandera. These files clearly show how most of its members worked for the Gestapo or SS as policemen, executioners, partisan hunters, and municipal officials. The OUN contribution to the German war effort was significant, including the raising of volunteers for several SS divisions. It was precisely because of its work with the Nazis that Wisner (the head of the Office of Policy Coordination, precision mine: C.H.) wanted to hire the OUN for his Special Forces. The Ukrainian letter succeeded in fooling the immigration officials, however, and OUN/Bandera was subsequently taken off the inimical list. » (p. 194)

Now you understand why these Ukrainian organizations, the UCCLA and the UCC, are not particularly enchanted by this letter published by the foreign scholars. You also have to know that nazi war criminals, including Ukrainians, have been smuggled everywhere around the world, in every country imaginable, and in Canada as well. So it is conceivable that descendants of these Ukrainian who have « immigrated » to Canada, and their families, might feel a little uncomfortable with being reminded of the past too much. Their efforts to mute and discredit these foreign scholars and to present a counter-propaganda explain themselves easily.

Happy Easter…

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