David Icke a parfaitement raison. L’attitude de certains ténors des médias alternatifs est absolument condamnable. Il n’y a jamais eu de virus de la covid-19. Et c’est précisément le fait d’accepter qu’il y avait un virus qui nous a mis dans la situation précaire où l’on s’est retrouvé en mars 2020. Si nous tombons dans le même piège cette fois-ci, cela permettra aux mondialistes de répéter le même manège avec la variole du singe.
Je joins également un article de la docteure Ana Maria Mihalcea sur le sujet.
Breaking News: Graphene Confirmed In Dental Anesthetics By University Of Colorado
Cette entrevue date de 2022. Néanmoins, elle est toujours d’actualité. David Hughes passe ici en revue l’ensemble des anomalies identifiées dans les injections pour la covid-19. Aussi, il compare les découvertes de différentes équipes de chercheurs de par le monde. Ce tour d’horizon procure un bon résumé de la recherche sur le sujet des injections pour la covid-19. À VOIR ABSOLUMENT.
Pedro Chavez et son équipe se sont rendus dans un cimetière isolé de toute radiation électromagétique. Ils ont pu constater que certains cadavres émettaient des adresses MAC (Media Access Control) qui s’enregistrent sur Bluetooth. Après vérification, ces cadavres étaient des personnes ayant reçu l’injection pour la covid-19. En d’autres termes, l’injection pour la covid-19 transfert une technologie qui connecte le corps humain à l’internet des objets. À VOIR ABSOLUMENT.
Entre autres éléments intéressants de la présentation, vous pourrez voir des fioles d’injections pour la covid-19 de Pfizer (vers 11:32 dans la vidéo). Les fioles sont clairement fluorescentes. Aussi, Melissa McAtee démontrent, avec des courriels internes de Pfizer, que de l’oxyde de graphène et des nanotechnologies sont présents dans les fioles d’injections pour la covid-19 de Pfizer. Pendant l’entrevue, la docteure Ana Maria Mihalcea compare ces informations avec ses propres recherches. À voir.