Documentaire sur la restauration du Parthénon

Cet excellent documentaire sur la restauration du temple grec du Parthénon est une métaphore incroyablement éloquente sur ce qui est arrivé à notre civilisation occidentale. Nous avons oublié qui nous sommes, nous ne savons plus comment construire des temples, sans parler du reste, ce qui fait que tout tombe en ruines. On nous dit que ce temple merveilleux aurait été construit en 9 ans, alors que l’homme contemporain, même avec les meilleurs outils, pourrait difficilement arriver à un tel résultat en plusieurs décennies voire même plusieurs siècles. L’homme moderne est dégénéré par rapport à ce qu’il était dans l’Antiquité. Jean Sendy a parfaitement raison lorsqu’il affirme, dans son livre L’ère du Verseau, que c’est l’humanisme adopté à la Renaissance qui est responsable de cet effondrement civilisationnel. L’homme est l’alpha et l’oméga de toutes choses, qu’on nous disait, il est parvenu à la civilisation par lui-même…Il n’en est rien évidemment, puisque pour apprendre, les humains ont besoin d’avoir des instructeurs, des guides, des professeurs. Pour mettre sur pied la civilisation humaine, les humains ont dû avoir de l’aide sinon, ils seraient encore semblables à des primates. Parmi les éléments significatifs présentés dans ce document, on notera l’utilisation du Nombre d’Or (1,618) entre autres pour le design de la façade du temple. Cette proportion a été utilisée pour la construction de nombreux temples dans beaucoup d’anciennes civilisations. Ce travail de restauration s’annonce très difficile mais il est nécessaire. Il est l’image du défi qui nous attend, nous les Occidentaux, afin que nous puissions sauver notre civilisation. Dans la présente vidéo, le documentaire reprend depuis le début vers 53:00 minutes.

Le déraillement du rassemblement de Donald Trump à Chicago: Une attaque savamment préparée et orchestrée…

C’est avec passablement de lassitude et d’écœurement que j’écris cet article. La sphère politique est devenue un véritable cirque et la situation se dégrade de jour en jour. Néanmoins, ce qui s’est passé vendredi dernier à Chicago est d’une gravité telle que je ne peux pas laisser cela sans réagir. Comme vous le savez peut-être, le candidat à la nomination Républicaine, Donald Trump, devait tenir un rassemblement à Chicago vendredi dernier le 11 mars, qui a été annulé. En effet, des activistes politiques de gauche, reliés pour certains à la campagne présidentielle de Bernie Sanders, mais également de certains groupes comme apparemment MoveOn.org et Black Lives Matter, ont infiltrés les partisans de Donald Trump lors du rassemblement. Ils ont alors profité de l’occasion pour mettre la pagaille dans l’assemblée, en utilisant la violence et l’intimidation. Les images de l’événement laissent voir des activistes portant littéralement le chandail de Black Lives Matter ou des pancartes électorales de Bernie Sanders. Devant cette situation, l’équipe de la campagne présidentielle de Donald Trump a décidé d’annuler l’événement. D’autres perturbations ont eu lieu également lors de d’autres rassemblements du candidat Républicain lors de la fin de semaine.

Ces images reflètent un pattern que l’on connait tous par cœur. Lorsqu’un groupe ou des individus qui se disent de droite ou conservateurs essaient de se réunir pour tenir un événement, irrémédiablement on voit surgir des agitateurs de gauche pour essayer de le faire annuler ou le perturber. Si les activistes politiques de gauche sont très bons pour exprimer leurs opinions et défendre leurs droits, ils sont néanmoins incapables de respecter les opinions et les droits des autres. La liberté d’expression de Donald Trump et de tous ses partisans n’a pas été respectée ce vendredi 11 mars 2016. Or, les autres candidats Républicains, au lieu de dénoncer les tactiques d’intimidation de ces activistes de gauche, ont plutôt essayé de mettre les événements sur le dos de Donald Trump et de sa « rhétorique ». Je dois vous dire que je suis pas impressionné par cet argumentaire. Il y a de la violence sur Terre depuis l’époque d’Adam et Ève. Prétendre que Donald Trump est responsable de la violence aux États-Unis ou durant ses rassemblements est ridicule. Il faut aussi dire que certains candidats et ex-candidats Républicains à la nomination ont déclaré vouloir « faire dérailler » la campagne de Donald Trump. Ont-ils une complicité alors dans ces événements? Je ne sais pas.

Je voudrais insister sur certains points qui me paraissent importants. Tout d’abord, il faut mentionner que ces événements sont survenus comme par hasard au moment même où le Premier Ministre du Canada, Justin Trudeau, était en visite officielle aux États-Unis. Comme Obama et Trudeau sont très à gauche au niveau de leur idéologie politique, socialiste et marxiste diraient certains, un tel débordement cela semble aller de soi. Aussi, le rassemblement se tenait à Chicago où Barack Obama a vécu et évolué pendant plusieurs années. Or, Chicago semble être un milieu assez malsain où pullulent les radicaux et les extrémistes de toutes sortes. Le choix du lieu était donc risqué, et en plus, l’événement avait lieu un vendredi, qui est le jour religieux des musulmans. Vous n’êtes peut-être pas sans savoir que dans les mosquées le vendredi en Amérique du Nord, et ailleurs dans le monde probablement, on récite une prière demandant à Allah de faire périr les infidèles. La table était donc mise pour qu’un certaine violence s’exprime et il est malhonnête de mettre ça sur le dos de Donald Trump puisque, de toute évidence, elle est plutôt le résultat des machinations de ses adversaires politiques.

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Entrevue avec Benjamin Baruch sur l’avenir du monde…

Cette entrevue avec ce professionnel du monde de la finance, accordé à Lyn Leahz, peut passer pour du délire religieux. Néanmoins, ce discours religieux chrétien, que certains diront délirant, donne une bonne idée du monde vers lequel on se dirige s’il n’y a pas de changement de cap significatif qui est effectué rapidement. Le monde de demain sera fait de camps de concentration, d’esclavage, de malheur et de souffrance et c’est exactement ce que cet homme témoigne ici. L’œuvre artistique apparaissant à la première image, nous montrant le Président Obama jouant du violon au milieu des décombres, est de Jon McNaughton.