Le déploiement de l’axe christo-bouddhique, deuxième partie: Le Bouddha bleu…

Le Lys d'OrLes montagnes de la province chinoise du Xinjiang renferment un trésor inestimable. Dans ce que l’on appelait auparavant le Turkestan se trouvent une série de grottes, trois cents soixante-trois au total, dont les sites de Kyzil et de Kumtura. Situées sur la Route de la soie, ces grottes de l’ancien royaume de Kucha abritent des murales témoignant des influences des différentes cultures de la région mais surtout de la diffusion du bouddhisme dans cette région de l’Asie, avant que des populations d’origine turque, les Ouïgours, ne s’y installent et propagent l’islam. Les représentations pariétales se rapportent à l’histoire du Bouddha, à ses vies antérieures, aux épisodes de sa vie avec tous les symboles, personnages et animaux associés. Or, ce qui en fait quelque chose d’absolument exceptionnel, c’est la couleur qui prédomine: le bleu. On retrouve aussi du vert et un peu de rouge mais le bleu ressort réellement comme la couleur maîtresse. Dans un article précédent sur le déploiement de l’axe christo-bouddhique, je vous ai parlé de la complémentarité de l’enseignement du Christ et du Bouddha. Le bleu est non seulement la couleur du ciel mais aussi celle par excellence de la liberté. On la retrouve sur le drapeau du Québec et sur celui d’Israël, entre autres. Il est arboré par un grand nombre d’institutions, de groupes, de compagnies et de cultures qui croient dans l’énergie qu’il renvoie.

C’est pourquoi il est difficile de ne pas voir dans ces murales la rencontre de nos deux cultures, occidentale et orientale, chrétienne et bouddhique. Le froc bouddhiste est de couleur orange généralement. Le bouddhisme tibétain utilise davantage le rouge rubis. Quoiqu’il en soit, on a affaire ici à un événement incroyable du point de vue symbolique. On doit s’y arrêter avec attention et c’est justement ce qu’a fait le photographe français d’origine iranienne Reza Deghati. Après de longues négociations avec les autorités chinoises, Deghati a enfin obtenu la permission de se rendre dans ces grottes du Xinjiang pour y photographier les murales. Le fruit de son travail est reproduit dans un merveilleux livre intitulé Le pinceau de Bouddha. L’ouvrage est commenté par les spécialistes du Musée Guimet, Jacques Giès, Laure Feugère et André Coutin. Je fournis également l’adresse du site web de l’artiste-photographe et je le remercie pour ce travail si extraordinaire. Vraiment, ces murales sont un joyaux de l’humanité et elles doivent être préservées. Elles sont le symbole de la compatibilité évidente des civilisations occidentale et orientale. À une époque où les fondamentalistes islamiques risquent de tout faire sauter, sachons nous inspirer de ce qu’il y a de mieux en l’homme.

Aldo Sterone: Différence entre Islamisme et Takfirisme

Excellente vidéo ici d’Aldo Sterone, qui prend le temps de bien expliquer les nuances de certains aspects du fondamentalisme islamique. C’est un sujet difficile et complexe qui mérite bien évidemment que l’on donne beaucoup de détails et d’explications, ce qu’Aldo fait ici si généreusement. Merci à toi!

La prière du dimanche: Cérémonie pour souligner le Nouvel An au Cambodge

Ce vidéo présente une cérémonie organisée pour souligner le Nouvel An au Cambodge en 2014. Le rituel semble d’inspiration bouddhiste ou hindouiste, ou un mélange des deux. Ne parlant pas la langue khmer, ce qui me frappe surtout ici, c’est le choix des couleurs et l’ensemble comme tel. Le déploiement de l’axe christo-bouddhique nécessite que nos deux civilisations puissent se comprendre et se rejoindre.

Bernard Drainville en débat avec Andrés Fontecilla, président et porte-parole de Québec Solidaire

Ceux qui pensaient qu’avec le retrait d’Amir Khadir comme porte-parole de Québec Solidaire on pourrait enfin souffler un peu seront déçus. En effet, Andrés Fontecilla, et cela est particulièrement frappant durant ce débat, est un démagogue encore pire qu’Amir Khadir, ce qui n’est pas peu dire. Je n’ai rarement entendu quelqu’un faire l’apologie du multiculturalisme avec autant de force. Il va même jusqu’à nier qu’il y ait quelque problème que ce soit dans les gestions des accommodements religieux, avec les comportements culturels des nouveaux arrivants sur le sol québécois et autres phénomènes. Non, Québec Solidaire reste Québec Solidaire, un parti d’extrême-gauche qui dit tout simplement en termes clairs ce que le Parti Libéral du Québec présente de façon hypocrite. Ce sont des alliés objectifs dans la destruction de la culture et de la nation québécoises.

Bernard Drainville en débat avec Andrés Fontecilla

Contre-djihad 101: L’exemple du Japon…

Cela ne sert à rien, j’aime de plus en plus les asiatiques. Dans beaucoup de dossiers, ils ont exactement la bonne attitude qu’il faut. Comme dans le cas de la lutte contre l’islamisme et la charia, le Japon a adopté des mesures, des lois, des règlements qui rendent pratiquement impossible aux musulmans qui voudraient promouvoir et répandre l’islamisme de le faire. Les données ci-dessous m’ont été fournies par le site Amitiés Québec-Israel. Comme vous pourrez le constater, les Japonais ne lésinent pas sur les moyens à prendre pour contrer l’avancée de l’islam. Ils ont compris que l’islam était une religion rétrograde, dégénérative et qu’elle devait systématiquement être combattue avec force. Cette attitude fait grandement contraste avec la soumission et l’à-plat-ventrisme occidental qui caractérisent notre élite politique, financière et économique. Bonne lecture…

Vous n’avez jamais lu qu’un dirigeant politique ou un premier ministre d’un pays islamique ait visité le Japon? Avez-vous jamais entendu que le roi d’Arabie Saoudite ou le Président Iranien aient visité le Japon? (Il y a eu quatre visites d’un officiel d’Arabie Saoudite au Japon en presque un siècle, et une visite d’un Président Iranien, en 2000). Le Japon impose des restrictions strictes à l’islam et aux musulmans.

1 – Le Japon est le seul pays qui ne donne pas la citoyenneté aux musulmans.

2 – Au Japon les musulmans n’ont pas droit à la résidence permanente.

3 – La propagation de l’Islam au Japon est très mal vue par la population.

4 – Dans les universités du Japon, l’arabe et l’islam ne sont pas enseignés, dans quelque langue que ce soit.

5 – L’importation de Corans en langue arabe est interdite.

6 – Selon les données du gouvernement japonais, il a été donné le droit à la résidence temporaire à seulement deux musulmans lakhs qui doivent respecter la loi japonaise. Ces musulmans doivent parler le japonais et effectuer leurs rites religieux dans leurs appartements.

7 – Le Japon est le seul pays au monde qui dispose d’un nombre négligeable d’ambassades de pays islamiques.

8 – Les Japonais ne sont pas attirés par l’Islam.

9 – Les rares musulmans résidant au Japon sont des salariés des sociétés étrangères.

10 – Aujourd’hui, le Japon n’accorde plus de visas aux médecins, ingénieurs, ou gestionnaires musulmans envoyés par des sociétés étrangères.

11 – Dans la majorité des entreprises, il est précisé dans leurs règlements que les musulmans ne peuvent pas postuler pour un emploi.

12 – Le gouvernement japonais est d’avis que les musulmans sont des fondamentalistes qui, même à l’ère de la mondialisation, ne sont pas prêts à changer leurs lois rétrogrades.

13 – Les musulmans peuvent difficilement louer une maison au Japon.

14 – Si quelqu’un apprend que son voisin est musulman, tout le quartier est alerté.

15 – Nul ne peut créer une cellule islamiste ou école islamique au Japon.

16 – La charia n’est pas autorisée au Japon.

17 – Si une femme japonaise se marie avec un musulman, elle est considérée comme une paria.

18 – Selon M. Komico Yagi de l’Université de Tokyo, «il y a un état d’esprit au Japon selon lequel l’islam est une religion très étroite d’esprit et que chacun devrait se tenir à l’écart de cette religion».

19 – Le journaliste indépendant Mohamed Juber a visité de nombreux pays islamiques après les attentats du 11 septembre 2001, Il a aussi visité le Japon. Il y a constaté que les Japonais sont persuadés que les extrémistes musulmans ne peuvent pas frapper au Japon.

20 – Le Japon compte 126 millions d’habitants. Interrogé sur le nombre de musulmans, Abu Bakr Morimoto, ex-président de l’association islamique japonaise répondait: «Franchement, il y a peut-être mille musulmans japonais et le nombre de 30 000 est très largement exagéré».

21 – Quelques Japonais ont entendu parler de l’islam pour la première fois en 1877 mais seulement comme «histoire des cultures».

22 – Le « boom de l’islam » au Japon a été provoqué par l’armée japonaise et date de la seconde guerre mondiale. Une mosquée a été construite à Kobe et une centaine de livres et journaux ont été publiés sur l’islam. L’objectif de l’armée était d’être mieux équipée afin d’acquérir une bonne connaissance de l’islam et des musulmans. En 1945, l’islam a disparu rapidement du Japon.

23 – En 1890, l’ Empire Ottoman a envoyé un vaisseau au Japon dans le but d’entamer des relations diplomatiques et pour présenter l’islam aux Japonais. Le navire s’appelait Ertugrul et sur le chemin du retour, il a coulé avec 609 personnes à bord.

24 – Il y a une trentaine « d’ appartements mosquées » dans tout le Japon.

25 – Les Japonais considèrent que l’islam est une religion étrange de pays sous-développés.

26 – Au Japon, on ne trouve ni nourriture halal, ni éducation islamique, ni médias en arabe, ni littérature islamique…

Les Chinois jettent une bombe nucléaire sur La Mecque…

Un peu d’humour n’a jamais fait de mal à personne (sauf aux musulmans bien sûr). Ce vidéo, vraisemblablement réalisé par le gouvernement communiste chinois, présente leurs efforts dans le déploiement de l’arme atomique. En surimpression, un texte en français nous laisse croire que le gouvernement chinois aurait comme projet de jeter une bombe nucléaire sur La Mecque. Il s’agit certainement d’un canular mais la blague étant fort bonne, je vous la partage. Les hommes politiques avaient des couilles autrefois mais plus aujourd’hui. Alors que les musulmans sont en train de mettre la Terre à feu et à sang, on parle encore de rapprochement, de collaboration, de « bonnes relations » avec ces gens qui ne sont en fait que des barbares. Enfin, on peut toujours rêver…