André Pitre commente le phénomène des arnaques amoureuses et financières

Ezra Levant et André Pitre commente le projet de Loi C-63 qui s’attaque à la liberté d’expression au Canada

Le projet de Loi C-63 présenté à la Chambre des Communes du Canada est absolument orwellien. Ce projet de Loi se propose de punir sévèrement ceux qui se permettent de porter des jugements critiques ou négatifs sur des personnes ou des groupes. Des amendes importantes et même des peines de prison sont prévues pour les fautifs. Une chose qui saute aux yeux ici est l’absence totale de leadership du Bloc Québécois. Le Premier Ministre du Québec, François Legault, le faisait remarquer dernièrement alors qu’il questionnait la pertinence du Bloc Québécois à Ottawa. François Legault a absolument raison dans ce dossier. Depuis que Justin Trudeau a pris le pouvoir en 2015, le Bloc Québécois n’a cessé de protéger le gouvernement Trudeau pour l’aider à garder le pouvoir, alors qu’il est évident que Justin Trudeau est un mondialiste convaincu qui adore les régimes totalitaires et dictatoriaux. En soi, c’est très ordinaire et décevant. Or, maintenant, la situation sécuritaire a changé. Il est désormais devenu dangereux pour le Québec et le peuple québécois que le Bloc continue la même politique parlementaire. Mais où est donc passé Yves-François Blanchet? Mais où est donc passé le Bloc Québécois? Le Québec est en train de se faire envahir par les migrants et les réfugiés et le gouvernement Trudeau prépare ce projet de Loi C-63 pour abolir la liberté d’expression et tout ce que l’on entend du Bloc est silence radio? Si le Bloc ne peut même pas défendre le Québec contre l’invasion migratoire et contre l’abolition des droits de la personne, le parti devrait tout simplement plier bagage d’Ottawa et aller faire autre chose. Ezra Levant commente le Projet de loi C-63 lors de l’émission d’Infowars animée par Owen Shroyer dans la première vidéo. André Pitre, de son côté, commente le Projet de loi C-63 à partir d’environ 20:00 minutes dans la deuxième vidéo.

Rapport final de la Commission d’enquête nationale citoyenne sur la gestion de la covid-19 au Canada

Vous trouverez ci-bas le rapport final de la Commission en version pdf (disponible en anglais seulement pour le moment), ainsi que la version vidéo présentée par les Commissaires. Le dernier lien est une émission de Lux Média animée par André Pitre où il présente les recommandations du rapport. Cette émission est réservée aux membres de Lux Média. Profitez-en pour vous abonner à Lux Média si ce n’est pas déjà fait.

https://nationalcitizensinquiry.b-cdn.net/wp-content/uploads/2023/12/NCI-Commissioners-Final-Report-Volume12-Inquiry-into-the-Appropriateness-and-Efficacy-of-the-COVID-19-Response-in-Canada-November-28-2023.pdf

https://luxmedia.info/emissions/reinformation-29-11-2023-le-cenc-depose-son-rapport-des-recommendations-pour-eviter-un-covid-2-0

La crise financière chez TVA et les problèmes de financement des médias indépendants et alternatifs: Les exemples d’Infowars et de Lux Média

La décision récente de TVA de licencier quelques 500 personnes a confirmé combien les grands médias subventionnés sont en perte de vitesse. En effet, ils n’ont jamais réussi à s’adapter à l’arrivée de l’internet et de son caractère interactif. Beaucoup de dirigeants de ces entreprises médiatiques pensent encore comme on le faisait dans les années soixante-dix, alors que télévision, radio et journaux constituaient l’ensemble de l’offre médiatique où le consommateur devait gober un produit entièrement fini. Les médias alternatifs et indépendants, en misant sur la liberté procurée par internet, ont proposé aux consommateurs d’information des produits inédits, interactifs et malléables. J’aurais le goût ici de faire des suggestions à TVA pour qu’ils améliorent leurs produits et services mais je vais résister à cette tentation. En effet, voilà pas si longtemps, durant la «pandémie», les chroniqueurs et journalistes des grands médias subventionnés ont passé leur temps à déblatérer des insultes et des quolibets envers ceux qu’ils appelaient les «complotistes» (vous savez, ces énergumènes comme moi qui disaient la vérité au lieu des mensonges du gouvernement, oui oui ceux-là). Si un jour une autre pandémie s’installe dans nos pays, il n’y a aucune raison de croire que ces supposés journalistes et chroniqueurs se comporteraient de façon différente. Je vais donc utiliser mon temps de meilleure manière en réservant mes remarques et mes suggestions pour deux médias indépendants que j’aime beaucoup et qui, ceux-là, livrent la marchandise, Infowars et Lux-Média.

Commençons par Infowars, ce grand média américain de réinformation. Pour ceux qui ne le sauraient pas, la compagnie dont Alex Jones est propriétaire se trouve dans un processus de faillite présentement. Hier, lors de son émission du dimanche, Alex Jones a évoqué que la compagnie pourrait être liquidée dès le mois de janvier. Cela ne donne pas beaucoup de temps pour sauver les meubles mais il n’est peut-être pas trop tard. En effet, afin de financer son média alternatif, Alex Jones a depuis longtemps misé sur la vente de suppléments naturels. Pendant de nombreuses années, ce modèle d’affaire fonctionnait très bien. Les nombreux internautes se bousculaient pour acheter les produits naturels d’Infowars. Ça, c’était avant la censure instaurée par les Apple, Google, Facebook et Twitter à partir de 2016 en réaction à l’élection de Donald Trump. La censure a fait très mal aux médias alternatifs comme Infowars. Le matériel médiatique produit par Infowars ne se retrouvant plus sur les grandes plateformes numériques populaires, c’est autant de vues, de partages en moins, ce qui veut dire moins de visibilité et donc moins de ventes au détail. Comme il n’y pas lieu de croire que le problème de la censure va se résorber à court terme, Infowars doit changer de stratégie pour se financer. Et la solution est toute simple.

Se financer par la vente de produits naturels est un processus coûteux, long, fastidieux et lourd alors que la marge de profit est mince. Infowars devrait changer de modèle d’affaire en privilégiant la vente d’abonnements au lieu de produits naturels. Par exemple, Infowars pourrait créer des produits médiatiques exclusifs accessibles aux membres seulement, en plus du matériel régulier gratuit pour tous les internautes. Et cela n’obligerait pas Infowars à abandonner sa ligne de produits naturels. Ceux-ci pourraient prendre une place secondaire par contre. L’avantage avec la vente d’abonnements, c’est que l’argent va directement dans les poches de l’entreprise sans aucun coût à absorber, sauf ceux reliés à la production du contenu médiatique alors qu’Infowars a déjà ses studios et son personnel pour produire le matériel gratuit. La marge de profit est presque de 100%. Pour convaincre les internautes de prendre un abonnement, Alex Jones pourrait, par exemple, proposer de donner accès en prime au matériel de Resetwars, une série payante mise en ligne voilà quelques temps déjà. Pour ceux ayant déjà payé pour Resetwars, Alex Jones pourrait décider, par exemple, de donner en prime le premier mois d’abonnement gratuit. Comme on le voit, la solution aux problèmes financiers d’Infowars est simple. Il ne s’agit que de la mettre en place.

Passons maintenant à Lux Média, le seul média indépendant du Québec. Le fondateur de Lux Média, André Pitre, a souvent fait remarquer que son média a de la difficulté à recueillir des dons et des abonnements. Le fait que Lux Média opère au Québec en langue française y est certainement pour quelque chose. Le marché du Québec est très petit et l’utilisation de la langue française limite grandement les possibilités d’expansion dans un domaine déjà très difficile, comme on l’a vu avec l’exemple d’Infowars. Néanmoins, Lux Média pourrait facilement améliorer sa situation en apportant certaines modifications à son modèle d’affaire. Tout d’abord, pour ceux qui ne connaissent pas Lux Média, disons que c’est un média de réinformation indépendant qui possède sa propre technologie de diffusion. Le contenu couvre surtout la scène québécoise mais aussi internationale. Lux Média a joué un rôle important durant la pandémie en étant le seul média québécois à présenter la réalité des faits au lieu de la propagande gouvernementale.

Pour assurer le financement de Lux Média, les dons n’étant pas suffisants, André Pitre a décidé voilà quelques mois de vendre des abonnements donnant accès à du matériel exclusif. Une partie du matériel est donc gratuite et l’autre est payante. Cette décision semble avoir été bénéfique pour Lux Média au moins à court terme. Mais dernièrement, André Pitre s’est plaint, durant certaines émissions, de la baisse des dons et des abonnements. Or, de mon côté, en tant qu’internaute, je ne suis pas sûr que l’obligation de payer ou de prendre un abonnement est mise en place correctement et je m’explique. Lux Média est un jeune média indépendant, alternatif, dont la mission est de réinformer la population dont le cerveau a été lavé par des décennies de propagande gouvernementale. Lux Média en est encore à l’étape de se faire connaître. Ce qui veut donc dire que toutes les opportunités pour faire connaitre le contenu doivent être saisies. Or, André Pitre et son équipe ont décidé de réserver le journal quotidien de réinformation pour les abonnés et c’est une mauvaise idée. Voyez-vous, le journal quotidien de réinformation constitue de loin la meilleure publicité que Lux Média peut se faire à lui-même. Les liens du journal de réinformation, en étant vus sur les grandes plateformes numériques, contribuent à faire connaitre Lux Média et ses produits médiatiques. Donc, en réservant le journal de réinformation pour les abonnés, cela a pour effet de ralentir la croissance de Lux Média…et donc des abonnements. Présentement, le journal de réinformation est accessible aux abonnés seulement alors que les émissions spécialisées avec des invités sont accessibles à tous. André Pitre et son équipe devraient prendre la décision de faire l’inverse: le journal de réinformation devrait être toujours gratuit afin de faire connaitre Lux Média, et le matériel plus spécialisé devrait être réservé aux membres payants. Ainsi donc, à moyen et à long terme, Lux Média pourrait voir une augmentation des dons et des abonnements et sortir de la précarité financière.

J’espère que ces suggestions aideront Infowars et Lux Média à régler leur problèmes financiers. D’ici là, il faut continuer le combat.

André Pitre commente le Projet de loi C-11 du gouvernement fédéral canadien

Selon André Pitre, le Projet de loi C-11 met en péril la liberté d’expression sur internet au Canada puisqu’il vise à censurer les créateurs de contenu comme les podcasts, chaînes vidéo, etc, par le biais des diffuseurs. Éventuellement, l’internet pourrait devenir complètement censuré au Canada.

André Pitre s’entretient avec Ken Pereira sur les plus récentes persécutions judiciaires visant Donald Trump

Ken Pereira fait une excellente analyse des ennuis judiciaires de l’ancien Président Donald Trump et de ce que cela augure pour l’avenir. Il en profite également pour faire le point sur le Mouvement de la liberté, la liberté d’expression et les droits fondamentaux des dissidents politiques dans le monde occidental. À VOIR.

DONALD TRUMP – ÇA VA BIEN ALLER AVEC KEN PEREIRA

André Pitre et Caroline Mailloux font le point sur la nouvelle réglementation sur les produits naturels au Canada

André Pitre: Le CDC a caché les effets secondaires des vaccins pour la covid-19

André Pitre présente les données de l’application V-Safe pour illustrer ce dossier.

André Pitre suggère à Éric Duhaime de concentrer ses attaques sur la CAQ sur sa gestion de la pandémie

Durant cette émission de réinformation, André Pitre présente des statistiques et des tableaux très révélateurs sur la pandémie de covid-19 et sur la campagne de vaccination. Et il se demande pourquoi le chef du PCQ, Éric Duhaime, n’insiste pas davantage durant la campagne électorale sur la gestion de la pandémie par la CAQ. En effet, s’il y a un élément qui peut permettre de faire tomber le gouvernement de la CAQ, c’est bien sa gestion de la pandémie. Pourquoi Éric Duhaime n’en parle-t-il pas ou si peu? C’est une bonne question. L’émission est réservée aux membres mais vous pouvez l’écouter pour seulement cinq dollars. À voir.

RÉINFORMATION 16/09/2022 – MALGRÉ DES CHIFFRES ALARMANTS – LA PLANDÉMIE BALAYÉE SOUS LE TAPIS