La crise financière chez TVA et les problèmes de financement des médias indépendants et alternatifs: Les exemples d’Infowars et de Lux Média

La décision récente de TVA de licencier quelques 500 personnes a confirmé combien les grands médias subventionnés sont en perte de vitesse. En effet, ils n’ont jamais réussi à s’adapter à l’arrivée de l’internet et de son caractère interactif. Beaucoup de dirigeants de ces entreprises médiatiques pensent encore comme on le faisait dans les années soixante-dix, alors que télévision, radio et journaux constituaient l’ensemble de l’offre médiatique où le consommateur devait gober un produit entièrement fini. Les médias alternatifs et indépendants, en misant sur la liberté procurée par internet, ont proposé aux consommateurs d’information des produits inédits, interactifs et malléables. J’aurais le goût ici de faire des suggestions à TVA pour qu’ils améliorent leurs produits et services mais je vais résister à cette tentation. En effet, voilà pas si longtemps, durant la «pandémie», les chroniqueurs et journalistes des grands médias subventionnés ont passé leur temps à déblatérer des insultes et des quolibets envers ceux qu’ils appelaient les «complotistes» (vous savez, ces énergumènes comme moi qui disaient la vérité au lieu des mensonges du gouvernement, oui oui ceux-là). Si un jour une autre pandémie s’installe dans nos pays, il n’y a aucune raison de croire que ces supposés journalistes et chroniqueurs se comporteraient de façon différente. Je vais donc utiliser mon temps de meilleure manière en réservant mes remarques et mes suggestions pour deux médias indépendants que j’aime beaucoup et qui, ceux-là, livrent la marchandise, Infowars et Lux-Média.

Commençons par Infowars, ce grand média américain de réinformation. Pour ceux qui ne le sauraient pas, la compagnie dont Alex Jones est propriétaire se trouve dans un processus de faillite présentement. Hier, lors de son émission du dimanche, Alex Jones a évoqué que la compagnie pourrait être liquidée dès le mois de janvier. Cela ne donne pas beaucoup de temps pour sauver les meubles mais il n’est peut-être pas trop tard. En effet, afin de financer son média alternatif, Alex Jones a depuis longtemps misé sur la vente de suppléments naturels. Pendant de nombreuses années, ce modèle d’affaire fonctionnait très bien. Les nombreux internautes se bousculaient pour acheter les produits naturels d’Infowars. Ça, c’était avant la censure instaurée par les Apple, Google, Facebook et Twitter à partir de 2016 en réaction à l’élection de Donald Trump. La censure a fait très mal aux médias alternatifs comme Infowars. Le matériel médiatique produit par Infowars ne se retrouvant plus sur les grandes plateformes numériques populaires, c’est autant de vues, de partages en moins, ce qui veut dire moins de visibilité et donc moins de ventes au détail. Comme il n’y pas lieu de croire que le problème de la censure va se résorber à court terme, Infowars doit changer de stratégie pour se financer. Et la solution est toute simple.

Se financer par la vente de produits naturels est un processus coûteux, long, fastidieux et lourd alors que la marge de profit est mince. Infowars devrait changer de modèle d’affaire en privilégiant la vente d’abonnements au lieu de produits naturels. Par exemple, Infowars pourrait créer des produits médiatiques exclusifs accessibles aux membres seulement, en plus du matériel régulier gratuit pour tous les internautes. Et cela n’obligerait pas Infowars à abandonner sa ligne de produits naturels. Ceux-ci pourraient prendre une place secondaire par contre. L’avantage avec la vente d’abonnements, c’est que l’argent va directement dans les poches de l’entreprise sans aucun coût à absorber, sauf ceux reliés à la production du contenu médiatique alors qu’Infowars a déjà ses studios et son personnel pour produire le matériel gratuit. La marge de profit est presque de 100%. Pour convaincre les internautes de prendre un abonnement, Alex Jones pourrait, par exemple, proposer de donner accès en prime au matériel de Resetwars, une série payante mise en ligne voilà quelques temps déjà. Pour ceux ayant déjà payé pour Resetwars, Alex Jones pourrait décider, par exemple, de donner en prime le premier mois d’abonnement gratuit. Comme on le voit, la solution aux problèmes financiers d’Infowars est simple. Il ne s’agit que de la mettre en place.

Passons maintenant à Lux Média, le seul média indépendant du Québec. Le fondateur de Lux Média, André Pitre, a souvent fait remarquer que son média a de la difficulté à recueillir des dons et des abonnements. Le fait que Lux Média opère au Québec en langue française y est certainement pour quelque chose. Le marché du Québec est très petit et l’utilisation de la langue française limite grandement les possibilités d’expansion dans un domaine déjà très difficile, comme on l’a vu avec l’exemple d’Infowars. Néanmoins, Lux Média pourrait facilement améliorer sa situation en apportant certaines modifications à son modèle d’affaire. Tout d’abord, pour ceux qui ne connaissent pas Lux Média, disons que c’est un média de réinformation indépendant qui possède sa propre technologie de diffusion. Le contenu couvre surtout la scène québécoise mais aussi internationale. Lux Média a joué un rôle important durant la pandémie en étant le seul média québécois à présenter la réalité des faits au lieu de la propagande gouvernementale.

Pour assurer le financement de Lux Média, les dons n’étant pas suffisants, André Pitre a décidé voilà quelques mois de vendre des abonnements donnant accès à du matériel exclusif. Une partie du matériel est donc gratuite et l’autre est payante. Cette décision semble avoir été bénéfique pour Lux Média au moins à court terme. Mais dernièrement, André Pitre s’est plaint, durant certaines émissions, de la baisse des dons et des abonnements. Or, de mon côté, en tant qu’internaute, je ne suis pas sûr que l’obligation de payer ou de prendre un abonnement est mise en place correctement et je m’explique. Lux Média est un jeune média indépendant, alternatif, dont la mission est de réinformer la population dont le cerveau a été lavé par des décennies de propagande gouvernementale. Lux Média en est encore à l’étape de se faire connaître. Ce qui veut donc dire que toutes les opportunités pour faire connaitre le contenu doivent être saisies. Or, André Pitre et son équipe ont décidé de réserver le journal quotidien de réinformation pour les abonnés et c’est une mauvaise idée. Voyez-vous, le journal quotidien de réinformation constitue de loin la meilleure publicité que Lux Média peut se faire à lui-même. Les liens du journal de réinformation, en étant vus sur les grandes plateformes numériques, contribuent à faire connaitre Lux Média et ses produits médiatiques. Donc, en réservant le journal de réinformation pour les abonnés, cela a pour effet de ralentir la croissance de Lux Média…et donc des abonnements. Présentement, le journal de réinformation est accessible aux abonnés seulement alors que les émissions spécialisées avec des invités sont accessibles à tous. André Pitre et son équipe devraient prendre la décision de faire l’inverse: le journal de réinformation devrait être toujours gratuit afin de faire connaitre Lux Média, et le matériel plus spécialisé devrait être réservé aux membres payants. Ainsi donc, à moyen et à long terme, Lux Média pourrait voir une augmentation des dons et des abonnements et sortir de la précarité financière.

J’espère que ces suggestions aideront Infowars et Lux Média à régler leur problèmes financiers. D’ici là, il faut continuer le combat.

Diffusion d’urgence, douxième partie/Emergency Broadcast, part 12

L’équipe d’Infowars est de retour à McAllen au Texas pour enquêter sur l’immigration illégale aux États-Unis

La situation sur le terrain à McAllen est de pire en pire. Des centaines d’immigrants illégaux arrivent à tous les jours sans arrêt, parmi lesquels il y a beaucoup d’enfants. Les images tournées par l’équipe d’Infowars permettent de voir clairement que certains de ces petits ne sont pas les enfants biologiques des adultes qui les accompagnent. On assiste donc non seulement à une filière d’immigration illégale mais aussi fort probablement à du trafic d’enfants à grande échelle. C’est ça, l’Amérique de Joe Biden. Pour revoir le premier voyage de l’équipe d’Infowars à McAllen plus tôt cette année, consultez les liens suivant les vidéos.

« America Primero »: Reportage d’Owen Shroyer à la frontière mexicano-américaine

Reportage d’Owen Shroyer à la frontière mexicano-américaine, 16 avril 2021

Alex Jones Stops Smugglers From Illegally Transporting Children At The Border

Why Republicans lost the House. Reflections on the absence of freedom of speech online and its consequences

On election night last Tuesday November the 6th, Alex Jones and his co-host Roger Stone were dissecting the results of this last election on Infowars (I couldn’t embed or link the video file due to technical issues, sorry). Their discussions summed up brilliantly the core of the problem that we, right-wingers, face in our struggle to take back power in America. Alex Jones and his colleague Roger Stone brought to our attention a key element in the comprehension of our present predicament. The Republicans lost the House that night, although they kept the Senate. Why? Because they failed to understand what happened during the Presidential campaign in 2016. A lot of people say that Trump won because he has a strong personality, that he is a great campaigner and that he made a lot of rallies and attracted a lot of people. That is true. But what is not often said, not publicly at least, is that he won because of his fan base, of his supporters. And a lot of these supporters were absolutely instrumental to take the word of truth and spread it on the internet. Blogs, alternative medias, tweets, Facebook pages, online articles, memes of Pepe the Frog, memes of Trump, etc, expressions and enthusiasm for the Trump campaign exploded all over the web. It might have been seen as trivial to certain pundits but it was enough to tip the scales in favor of Trump to win the Presidential campaign against Clinton.

Alex Jones and Roger Stone then very perspicaciously pointed out that Democrats, in all likelihood, made the decision to go after this fan base active over the internet and that’s when this heavy censorship began. A lot of Trump supporters saw their Facebook or Twitter accounts being suspended or closed, their Youtube channels being closed, quarantined or demonetized, their blogs being shot down or denied access to. Some even lost their domain names or web host providers. Democrats strategists quickly grasped that they had to control speech online because if not, they wouldn’t stand a chance in the coming elections. Trump supporters are proactive and energetic over the internet and the content that they present is often innovative, interesting, refreshing and inspiring. So, instead of trying to start the impeachment procedure right away on January 20th 2017, they went after us, Trump’s supporters. After all, we are easy targets and we don’t have important resources to fight back, contrary to the establishment Republicans. So the Democrats targeted us and they smashed our ability to communicate online, express and spread ideas, share content with others, organize rallies, conferences, etc. Intimidation and harassment was used frequently and even physical violence sometimes.

While all that was going on, Republicans acted as if they couldn’t care less. Democrats, left-wingers, socialists took control (if it wasn’t already the case) of Facebook, Twitter, Youtube, etc, and then the Great Purge began. The most popular figure in the Trump movement over the internet is certainly Alex Jones himself. Recently, he was banned on the same day by several of the most important Big Tech companies. Alternative media Red Ice TV, saw their Paypal account being terminated, which greatly diminished their ability to finance their operations. Their website was hacked last year and they were only starting to recover. They also saw several of their videos on Youtube being taken off. Another alternative media, TV Libertés, in France, saw their Youtube channel being terminated, just before a very important financing campaign that was about to take place. Tommy Robinson was put in jail in the U.K. for a bogus reason. Mastercard and Discover began refusing to process payments for Robert Spencer‘s Jihad Watch website. I could continue forever but I think you get the idea. The point is that while we were the subject of a systematic campaign of harassment and intimidation and that our freedom of speech was being denied, establishment Republicans, country club Republicans if you will, sat on their hands and did nothing to defend us and our rights.

There is only one option for Trump if he wants to win in 2020 and continue to implement the MAGA agenda and that is to re-establish freedom of speech online. Trump supporters can’t effectively do their job if they can’t express and share their ideas over the internet. Since the big media are controlled by the establishment and the globalists, it is only on the internet that the word of truth can spread and open the eyes of the masses. If the Democrats have transformed Big Tech, the Apple, Facebook, Twitter and Google companies into propaganda machines for themselves, then Trump has to break that spell by doing something that would make that impossible. Some have suggested to give Big Tech companies the status of public utilities. That would render them similar to hydroelectricity, phone, television, internet and water providers. Since you can’t refuse the service on the basis of political ideas, that would work. But some don’t like the idea of government intervention. In that case, anti-trust laws is the solution. You break these four companies into several dozens of smaller companies and you let competition do its work. At least, in the short term, that could work until the problem starts again if there are mergers or other arrangements.

Leaving the issue of voter fraud aside (that is a subject for another day) I am hopeful that Trump will win in 2020. But that will only happen if we, his fan base, his supporters, can play our role over the internet and energize the masses up to victory. That’s why the President has to defend our freedom of speech. Our freedom of speech is President Trump’s path to re-election and the path to our victory as a nation and a civilization.

Alex Jones analyses Apple’s moves to please communist China

I always thought that Apple was different from the ‘other’ Big Tech companies. I thought that, since their machines are difficult to hack, are more secure, more stable, they were on our side…Maybe I was wrong. In this video, Alex Jones brings some interesting facts about Apple that should raise a few red flags, so to speak. The company seems to become more and more friendly with communist China and they are not alone. We know that Google has adapted some of it practices and technologies to please the power elite in China, such as the development of a search engine that will allow the government to censor what people can see and find. Also, communist China has begun implementing a system of ‘social credit score’ by which individuals are rated in society in regard to everything they might say or do. These moves by Big Tech companies such as Apple and Google are frightening. They are showing that they are beginning to act as if China was the new number one superpower of the world. One wonders if they consider themselves de facto ‘Chinese’ companies now. They certainly behave as if they were. Tim Cook utilizes the word ‘curate’ during interviews to describe Apple’s mission. Alex Jones brings the proximity of that word with the word ‘cauterize’, which is very interesting and relevant. It seems that the CEOs of our Big Tech companies have capitulated to the communist Chinese. I don’t know if Tim Cook is the most dangerous living person in the world but the facts that are brought here are very frightening and don’t bode well for the future. After the video, you will find an article by Gordon Chang summarizing the rise of totalitarianism in China.

Gordon Chang: China’s ‘Digital’ Totalitarian Experiment

A few guests on Red Ice TV about internet censorship by big tech companies

In order, Vincent James, Daniel Frändelöv and Frank Espinoza adress this very important issue with Red Ice TV host, Henrik Palmgren.