David Icke fait le lien entre le vaccin pour la covid et le roman Le Meilleur des mondes d’Aldoux Huxley

Entrevue avec Shai Dannon sur la tyrannie covid qui s’est installée en Israel

Plusieurs parallèles sautent aux yeux entre le régime nazi et le type de société qui est en train de se mettre en place sous le prétexte de faire face à la pandémie de covid-19. Shai Dannon est israélien et il partage dans cette entrevue donnée à David Icke ses inquiétudes quant au sort qui sera réservé aux Juifs d’Israël, en relation avec la campagne de vaccination mais aussi avec l’ensemble des mesures visant à restreindre les libertés. Une chose est sûre, c’est que, cette fois-ci, ce n’est pas seulement les Juifs qui sont ciblés pour être exterminés mais bel et bien tous les humains, peu importe leur couleur de peau, groupe ethnique, sexe ou autre caractéristique. Si l’Allemagne Nazie était un test-bêta pour le plan d’eugénisme mondial, maintenant, nous assistons à l’opération complète. L’être humain vit présentement ses heures les plus sombres. Nous devons résister et défendre notre droit d’exister en tant qu’être humain. Refusons cette tyrannie. Je joins une deuxième vidéo où David Icke analyse plus en longueur le même sujet.

David Icke s’entretient avec John Smith: Comment le droit commun peut nous aider à vaincre le totalitarisme sanitaire

Le contenu de cette entrevue est quand même assez technique mais cela vaut la peine que l’on s’y attarde. John Smith de Common Law Court explique ici la différence entre le droit commun, qui s’adresse à l’être humain, et le droit des corporations, qui régit les entreprises et les contrats. Il mentionne que les gouvernements, les agences, les cours de justice et les corps policiers sont des corporations. Pour résumer, l’argumentaire juridique de John Smith est le suivant: Pour être capables d’assujettir les populations au droit des corporations, droit qui permet d’imposer aux individus beaucoup plus de contraintes que le droit commun, les gouvernements ont créé pour chaque citoyen une entité juridique fictive, une personne juridique. Cette personne est présentée sous le titre de Monsieur ou Madame et elle est considérée, par le droit des corporations, comme une entreprise. C’est cette entité juridique fictive qui contracte avec les gouvernements, agences, cours de justice et corps policiers, ce qui permet à ces institutions d’imposer aux citoyens toutes sortes de choses arbitraires, qui seraient impossibles à imposer avec le droit commun. John Smith aborde aussi, évidemment, la question des mesures sanitaires reliées à la covid-19, qui ne sont rendus possibles que par la mise en application du droit des corporations. Il explique, par exemple, que les commerces n’auraient qu’à opérer sur la base du droit commun au lieu d’opérer sur la base du droit des corporations, ce qui leur permettrait de ne pas être assujettis aux mesures sanitaires, puisque celles-ci ne sont pas applicables aux individus selon le droit commun mais seulement aux entreprises. À voir et à étudier.