Conférence du National Policy Institute de 2016

Cette conférence intitulée « Become Who We Are » a été organisée par le National Policy Institute et a réuni plusieurs des plus éminents penseurs du mouvement politique Alt-Right. Le mouvement Alt-Right prône notamment l’arrêt de toute immigration, la fin de la mondialisation et développe une pensée politique où la race, l’identité et la nation tiennent une place importante. Il combat le multiculturalisme, le progressisme et l’influence de culture non-européennes comme les cultures juive et musulmane. Kevin McDonald, Jared Taylor et Richard Spencer y ont participé, pour ne nommer que quelques-uns. Elle a eu lieu le samedi 19 novembre et a été diffusée sur internet par le média alt-right Red Ice TV. Une conférence de presse y a été tenue, que l’on peut voir vers le milieu de la première partie. Notamment, la question de la liberté d’expression a été abordée lors de la conférence, puisque plusieurs porte-paroles du mouvement Alt-Right ont fait l’objet récemment de censure de la part de Twitter. Pour ma part, je ferais remarquer aux membres de ce mouvement que c’est une perte de temps d’utiliser ces plateformes dites des « médias sociaux ». En effet, elles sont contrôlées essentiellement par les mêmes forces qui contrôlent déjà la télévision, les journaux et la radio. Les patriotes et nationalistes de tous pays, qu’ils se disent Alt-Right ou non, doivent créer leurs propres médias et leurs propres plateformes au lieu de perdre leur temps sur Twitter et Facebook. En gros, je dirais que cette conférence a été très relevée et qu’elle incarne l’avenir. Le mouvement Alt-Right est à l’avant-garde de la pensée politique. Nous avons la chance de voir l’histoire s’écrire sous nos yeux. Profitons-en!

https://youtu.be/kYT3jE1Xknc

https://youtu.be/gWsvBpxSXts

L’élection de Donald Trump et la situation politique du Québec

L’élection de Donald Trump ouvre une autoroute toute grande pour les politiciens nationalistes québécois. Son élection à la Maison Blanche marque la fin d’une époque, celle du socialisme, et le début d’une nouvelle ère basée sur la défense des intérêts de la nation et de la patrie. C’est avec déception et incompréhension que j’assiste depuis des années, impuissant, aux chicanes de cuisine opposants le Parti Québécois à la Coalition Avenir Québec (CAQ). Alors que tout est en train de s’effondrer, que le peuple québécois risque de disparaître dans le brouhaha de la mondialisation sauvage, de l’immigration de masse et de l’islam radical, les membres du PQ et de la CAQ se querellent pour des broutilles. Pour continuer la métaphore culinaire, c’est comme s’il y avait deux chefs cuisiniers dans la même cuisine et qu’ils débattaient continuellement sur la composition de la soupe, sur la quantité de légumes à mettre dans le pâté au poulet, sur le choix des assiettes et des chaises, sur la couleur des murs et de l’éclairage, tout cela alors que le restaurant risque de fermer ses portes. Cette situation ne mène nulle part, d’autant plus qu’elle permet au Parti Libéral de se faire élire facilement et de rester au pouvoir malgré la médiocrité et la dangerosité de sa plateforme politique.

C’est pourquoi je crois que le temps est venu, suite à l’élection de Trump, pour les nationalistes québécois de faire front commun contre le Parti Libéral afin de défendre les intérêts supérieurs du Québec. Le Parti Québécois et la Coalition Avenir Québec pourraient, s’ils en avaient la maturité et le sens politiques, créer une coalition temporaire afin de prendre le pouvoir rapidement et former un gouvernement. Un sondage Léger réalisé dans les derniers jours indique que le Parti Québécois et la CAQ vont chercher respectivement 30% et 25% des intentions de vote des Québécois. En d’autres termes, les nationalistes de gauche du PQ et les nationalistes de centre et de droite de la CAQ totalisent ensemble au moins 55% des intentions de vote des Québécois. C’est plus que suffisant pour prendre le pouvoir. Il est vraiment malheureux que le Parti Québécois essaie constamment de rallier Québec Solidaire à sa cause en n’oubliant de facto la CAQ. Québec Solidaire ne fera jamais l’indépendance du Québec, pas plus qu’il ne pourra faire fonctionner l’économie ni créer des emplois.

Le rôle des représentants parlementaires dans un pays est de défendre les intérêts des citoyens, de la nation, de la patrie. En ne voulant rallier que la gauche politique et les nationalistes de gauche à sa cause, le Parti Québécois crée les conditions pour sa défaite permanente. Le temps est venu de changer de mentalité, de voir plus large, plus grand, plus loin. Nous avons un avenir à construire et cela commence maintenant par la défense des intérêts du Québec.

Quelques réflexions sur la victoire de Donald Trump

L’élection de Donald Trump à la Présidence américaine constitue un véritable miracle. Bien peu auraient pu prévoir ce scénario, incluant ses propres partisans. Quelques réflexions s’imposent sur ce résultat et ses conséquences. D’abord, il apparaît évident que la victoire d’un candidat populiste à la Présidence américaine pourrait signifier la fin du socialisme, celui que l’on a connu depuis 1945 jusqu’à aujourd’hui. En effet, depuis 1945, les peuples occidentaux ont été littéralement noyés sous une pluie de propagande gauchiste, marxiste et socialiste qui a changé en profondeur les sociétés occidentales, détruisant le socle conservateur et de droite sur lequel elles étaient fondées, et où la famille et l’agriculture jouaient un rôle premier. Car, il faut bien se l’avouer, le véritable perdant de la Deuxième Guerre Mondiale n’a pas été ni l’Allemagne ni l’Italie ni le Japon mais bel et bien plutôt la droite politique. Depuis 1945, la droite n’a plus eu le droit de parole, d’association ou d’expression et les institutions des sociétés occidentales ont été tour à tour soit abolies soit transformées, défigurées en pantins gauchistes faisant l’éloge de la pensée progressiste. Dans cette atmosphère de destruction et de désintégration, même l’Église Catholique n’a pas échappé à la subversion.

La victoire de Donald Trump donne donc de l’espoir au moment précis où tout apparaissait perdu. In extremis, nous avons évité la désintégration totale de la société occidentale par un cheveux. Bien sûr, nous ne savons pas encore de quoi l’Administration Trump aura l’air. Nous ne savons pas non plus s’il sera capable ou désireux de livrer la marchandise quant aux promesses qu’il a faites durant la campagne. En tous cas, j’espère qu’il le fera. Néanmoins, le résultat électoral qui l’a porté au pouvoir, suite à celui du Brexit, envoie un signal clair que les peuples en ont marre des politiques qui ont été mises en place depuis 1945. Si celles-ci ont réussi à créer un monde de paix et de prospérité pour quelques décennies, clairement, aujourd’hui, elles ne fonctionnent plus. Un monde nouveau demande à voir le jour et à être entendu et j’ai l’impression que peu importe ce que l’oligarchie euro-atlantiste puisse faire, celui fera sa place.

Cette victoire fut un travail d’équipe. Je ne crois pas que personne en particulier puisse en prendre crédit (à part Donald Trump lui-même, bien sûr.) Nous devons mentionner, parmi tous ceux qui ont participé à cette victoire historique, l’équipe de campagne, la famille de Donald Trump, les millions de supporteurs et d’électeurs qui ont voté pour lui, ainsi qu’une myriade de supporteurs via internet qui ont fait entendre leur voix, parmi lesquels ont retrouve des nationalistes, des membres du mouvement Alt-Right, des militants d’extrême-droite, de militants anti-mondialisation, des opposants aux traités de libre-échange, des opposants à l’immigration, etc. Chacun a mis l’épaule à la roue à sa façon. À cet effet, il remarquable que ce que j’appelle les forces de la liberté aient pu coller deux victoires en ligne, le Brexit et l’élection de Donald Trump. Comme retournement de situation, c’est assez spectaculaire.

Aussi, je crois que nous devons prendre cette victoire avec prudence et modestie. Si l’élection présidentielle américaine était une bataille importante que nous devions gagner, la guerre est loin d’être finie. Les forces de la tyrannie possèdent des moyens considérables, sont capables de mobiliser des masses importantes de personnes rapidement et elles n’hésitent pas à utiliser la violence ou l’intimidation si les choses ne vont pas dans leur sens. C’est pourquoi il est important de rappeler que la période de temps qui s’étendra jusqu’au 20 janvier prochain, date de l’entrée en fonction du Président Trump, est absolument cruciale. Un soin méticuleux doit être apporté à la transition des pouvoirs à la Maison Blanche. Monsieur Trump doit s’assurer qu’il a toutes les bonnes personnes aux bons postes stratégiques et que ce sont des gens en qui il peut faire confiance.

Par ailleurs, nous ne devons pas oublier non plus que l’on ne renverse pas 70 ans de propagande et de subversion gauchistes en un claquement de doigt. Ce sera un long combat, très dur, qui mobilisera toutes nos énergies. La victoire de Donald Trump marque non pas la fin du combat mais bien plutôt le début. Les forces de la tyrannie, communistes, socialistes, marxistes, islamistes, etc, pensaient pouvoir terminer la subversion de l’Occident pour le centième anniversaire de la révolution bolchévique de 1917. Malheureusement pour eux, heureusement pour nous, la victoire de Donald Trump tombe comme une brique et en laisse plusieurs pantois. Pour le moment, savourons cette grande victoire mais n’oublions jamais une chose. Dans l’histoire, seuls les hommes qui se tiennent debout survivent et triomphent. Ceux qui s’écrasent ou font exercice de génuflexion finissent tous par périr et disparaître. Alors, relevons la tête et défendons nos pays. Après tout, nous avons maintenant un allié de taille à la Maison Blanche. Profitons-en!

Entrevue de Donald Trump avec Bill O’Reilly, 27 octobre 2016

Les Américains doivent voter pour Donald Trump afin d’en faire leur prochain Président le 8 novembre. L’avenir de notre civilisation est en jeu. Les forces de la liberté doivent gagner, nous n’avons pas le choix.

Analyse du symbole Pepe-Kek dans le mouvement Alt-Right

Henrik et Lana de Red Ice font l’analyse du symbole ou « meme » appelé Pepe ou Kek dans les publications des partisans du mouvement politique Alt-Right. Ils y voient l’expression de quelque chose d’occulte ou de magique. Très intéressant et pertinent.

Entrevue avec Donald Trump, 12 octobre 2016

Voici une entrevue récente avec le candidat Républicain à la Présidence des États-Unis, Donald Trump. Trump a fait l’objet cette semaine d’allégations sérieuses visant à détruire sa réputation et son image pour lui faire perdre la course à la Maison Blanche. Personne n’est dupe de la manœuvre politique. J’insiste sur la nécessité de continuer à supporter et appuyer le candidat Républicain en vue des élections du 8 novembre prochain. Cette élection est trop critique pour que les forces de la droite et de la liberté se paient le luxe de la perdre. Nous devons tous apporter notre voix pour l’épauler dans ce combat si difficile. Les attaques dont il fait l’objet tombent à la fois dans des tactiques de terreur, dans la tradition de Trotsky, mais aussi dans celle de Saul Alinsky, car elles cherchent à humilier Trump publiquement pour le neutraliser ou le faire taire. Aussi, le fait que le Parti Démocrate et les médias se lancent dans des attaques à caractère sexuel montre bien à quel point ils sont désespérés. Les gauchistes ont l’habitude d’être plutôt incapables de défendre leurs idées sur le plan intellectuel. C’est assez normal, si on considère que les idées gauchistes, progressistes, marxistes, communistes ou socialistes ne tiennent pas debout en général. Comme ils ont perdu le débat des idées, ils en sont réduits (selon eux) à utiliser leur dernier argument ou leur dernière tactique, à savoir frapper en bas de la ceinture. C’est pourquoi je suis assez optimiste pour l’élection du 8 novembre. Curieusement, je crois que ces allégations sont bon signe et que Trump va gagner. Préparons-nous à une grande victoire!

La « tolérance » des gauchistes anti-Trump américains et l’élection présidentielle du 8 novembre…

L’équipe de Red Ice Radio a compilé une série d’incidents impliquant des militants gauchistes américains s’opposant à la candidature de Donald Trump à la Présidence des États-Unis. Bon nombre de ces incidents n’impliquent que le fait d’avoir dérobé une pancarte électorale, pour la faire disparaître, mais d’autres sont plus sérieux. Comme on peut le voir dans le montage réalisé par Red Ice, certains partisans de Donald Trump sont agressés physiquement ou subissent du vandalisme sur leur propriété. On voit ici que la supposée « tolérance » des gauchistes ou de ceux qui se disent « progressistes », ce n’est que de la bouillie pour les chats, du vent. Quand les enjeux sont gros, les « progressistes » redeviennent ce qu’ils ont toujours été sous le vernis hypocrite de leur rhétorique bien-pensante: des gens les plus intolérants et intransigeants possibles, qui n’hésitent pas à recourir au harcèlement, à l’intimidation et à la violence pour parvenir à leurs fins. En visionnant cette vidéo, on est en droit de se demander ce qui arrivera à tous les partisans de Donald Trump s’il parvenait à gagner la Présidentielle. Particulièrement, on peut se demander ce qui adviendrait de ses partisans qui vivent à l’extérieur des États-Unis. Seront-ils en sécurité?

De toute évidence, l’élection présidentielle américaine du 8 novembre prochain est cruciale. Les enjeux sont énormes. Soit Hillary Clinton l’emporte, et alors l’effondrement de la société occidentale continuera jusqu’à son implosion complète; soit Donald Trump l’emporte, et alors nous aurons là une véritable chance de redresser le navire avant qu’il ne chavire dans les eaux sombres du chaos économique et sociétal. La violence qui est manifestée contre les partisans de Donald Trump est un signe évident qu’on ne peut plus attendre pour réagir. Demain, il sera trop tard. Une victoire est nécessaire le 8 novembre prochain, sinon je crains que nous n’aurons plus jamais une deuxième chance de sauver notre civilisation.