Montage vidéo sur Donald Trump – Extraits d’entrevues et de discours

La vidéo qui suit est un montage présentant des extraits d’entrevues et de discours de Donald Trump s’échelonnant sur plusieurs décennies. Je ne suis pas certain qui au juste a réalisé ce montage mais quoiqu’il en soit, il permet de mettre au clair un point très important. Les détracteurs de Donald Trump affirment souvent qu’il est un « flip-flopper », c’est-à-dire quelqu’un qui change d’idée continuellement. Or, si le nominé Républicain a pu certainement changer d’idée sur certains sujets en particuliers, comme cela nous arrive à chacun de nous, les grandes orientations de sa vision politique et de son projet politique, elles, n’ont pas changé depuis 1980. J’espère que cette vidéo pourra calmer les ardeurs de ceux essayant de le discréditer sur ses prises de position. La classe politique qui nous gouverne depuis les années soixante est composée de gens qui ne changent jamais d’idée sur rien…jusqu’à la prochaine élection. Le peuple a besoin de leaders politiques qui ont de la constance sur le long-terme et non pas d’opportunistes qui concoctent des slogans et des discours seulement pour gagner des élections et qui se foutent de la population aussitôt élus. Je voulais vous offrir cette vidéo en ce 4 juillet. Happy Independence Day, dear Americans!

https://youtu.be/OCabT_O0YSM

Entrevue avec Kevin Freeman sur Secure Freedom Radio

Ne manquez pas cette excellente entrevue avec Kevin Freeman sur la guerre économique se déroulant entre les États-Unis et ses compétiteurs au niveau mondial que sont la Chine, la Russie, les pays du Golfe Persique et des acteurs du monde de l’ombre s’adonnant aux cyberattaques et autres manoeuvres.

Kevin Freeman sur Secure Freedom Radio

Conférence de François Asselineau. Les origines cachées de la construction européenne…

La présentation de cette excellente conférence de François Asselineau tombe à pic au lendemain de la victoire du camp du Brexit, qui fera bientôt du Royaume-Uni un pays de nouveau libre et indépendant. La conférence a pour objectif de démontrer les origines cachées de la construction européenne. Images, extraits de discours et documents à l’appui, le Président de l’Union Populaire Républicaine démontre que l’Europe de Bruxelles, avec ses institutions que sont l’Union Européenne, la Commission Européenne, l’Euro, etc, n’est pas autre chose que la réalisation concrète du projet qui avait été mis en chantier par l’Allemagne hitlérienne. La propagande incessante à laquelle nous avons été soumis depuis la fin de la Deuxième Guerre Mondiale nous a amené à croire que le projet de l’Allemagne nazi pour l’Europe se résumait à l’extermination des Juifs et à la glorification du nationalisme. Or, la situation est bien différente. Le projet nazi était d’abord de nature économique et politique, puisqu’il visait l’intégration des pays européens dans une seule entité politique et économique au profit de grands cartels financiers et d’une oligarchie toute-puissante et dictatoriale. Les slogans qui sont balancés par les ténors de l’Union Européenne d’aujourd’hui sont les mêmes que ceux qui étaient utilisés par les ténors et les collabos du nazisme: « Ensemble, on est plus forts »,  « Nous sommes trop petits », « l’Europe des nations, c’est ringard », etc.

François Asselineau mentionne d’autres influences dans la genèse de l’idée de l’Europe unifiée qui circulaient déjà avant l’éclatement de la guerre, comme celle du projet paneuropéen de Richard Coudenhove-Kalergi. Cet homme politique imaginait une Europe du futur, unie, dont la population blanche aurait été remplacée par une race métissée faite d’asiatiques et d’Africains. Il rappelle également les idées politiques de Victor Hugo et de Roland Freisler pour l’Europe, le rôle joué par certains cartels comme ceux de l’acier, de la chimie et des banques, ainsi que le souvenir de l’empire de Charlemagne. Vers 1h15 minutes, on peut voir des affiches de propagande de l’époque et des banderoles présentant le concept de la « France Européenne ». Vers 1h18minutes, on peut en voir une datant de 1941 montrant la disparition des frontières entre les pays d’Europe. Aussi, le conférencier présente certains personnages de l’Allemagne hitlérienne qui ont été recyclés par les différents services américains après la guerre. L’ensemble des indices et des documents présentés par François Asselineau donnent à penser que certains stratèges américains ont pu chercher à récupérer le projet de la Grande Europe nazie pour le compte des États-Unis après 1945. À cet effet, vers 2h48minutes, on peut voir une photo nous montrant le maréchal Pétain en conversation avec l’Amiral William Leahy, qui était ambassadeur des États-Unis auprès du régime de Vichy, ce qui porte à croire que les États-Unis préféraient discuter avec le régime de Vichy plutôt qu’avec le Conseil National de la Résistance et de Gaulle. Le Président de l’UPR rappelle le rôle joué par ce dernier dans l’organisation d’une résistance à l’intégration forcée de l’Europe que les européens subissent toujours jusqu’à aujourd’hui. François Asselineau termine sa conférence en présentant des éléments du programme du Conseil National de la Résistance et ce que sont pour lui les leçons de la Libération.

Ce ne sont ici que quelques bribes de cette conférence monumentale. Son visionnement est absolument obligatoire pour la suite des choses en Europe. Les peuples d’Europe devront choisir entre la tyrannie et la liberté, il n’y a pas de demi-mesure possible. La bonne nouvelle, c’est que c’est si facile. Tout ce que les peuples ont à faire pour recouvrer leur liberté est d’évoquer l’article 50 du Traité sur l’Union Européenne, prévoyant les modalités de sortie, lors d’une rencontre formelle des instances de l’Union Européenne. Un délai de deux ans suit cette notification. Si après deux ans aucune entente n’est survenue durant les négociations sur les modalités de sortie, le pays recouvre alors automatiquement sa liberté de toute façon. La conférence dure plus de quatre heures. Je vous suggère de séparer son visionnement en segments d’une heure chacun, plus facilement digestibles. Pour la chronique, notons que le jour du scrutin du Brexit s’est tenu la veille de la Fête Nationale des Québécois, la Saint-Jean-Baptiste, et de la sortie de la suite du film américain Independence Day. Avec le décalage horaire, ça tombe pile. Les astres étaient donc alignés pour une victoire des forces de l’indépendance contre celles de la tyrannie. Servons-nous de cette victoire pour rassembler nos forces et faire avancer la liberté et la démocratie. Plus jamais nous ne devrons nous laisser intimider par des despotes.

Conférence de Jared Taylor: « Race in Post-Racial America »

Le propos principal de cette conférence est de présenter l’invraisemblance de la société américaine actuelle où l’on accorde aux membres de toutes les races de célébrer leur identité…sauf évidemment aux membres de la race blanche, caucasienne, qui eux, n’ont pas ce droit. L’Amérique « égalitaire » et « post-raciale » de Barack Obama est un mensonge qu’il faut dénoncer et c’est ce que fait le conférencier ici.

https://youtu.be/TgogXt1hLV0

Entrevue avec Donald Trump sur FoxNews

L’équipe du candidat Républicain Donald Trump est en train de regarder une liste de noms qui pourraient servir comme vice-président, et j’imagine aussi à d’autres fonctions. En plus de Chris Christie (à la Justice) et de Ben Carson (à la santé) qui ont déjà exprimé leur volonté de faire parti de l’Administration Trump, je crois que l’on devrait considérer également Mike Huckabee et Newt Gingrich. Ces deux hommes me semblent avoir le bon ton, le bon discours et la bonne attitude pour embarquer dans le « Trump train ». Pour ce qui est du poste de vice-président, je crois que le critère principal doit être d’avoir une longue expérience en politique et d’avoir occupé des fonctions parlementaires substantielles. L’occasion est belle également de ramener John Bolton à son poste d’ambassadeur aux Nations Unies ou de l’inclure dans l’Administration. Il y a sûrement des dizaines d’excellents candidats qui pourraient contribuer leurs forces afin de ramener les États-Unis sur les rails de la prospérité. Si les États-Unis redeviennent des « gagnants », cela aura un effet domino sur les pays alliés qui eux aussi pourront recommencer à gagner. C’est ce que je nous souhaite.