Table Ronde Idées Nation avec Marine Le Pen, Gérard Lafay, Norman Palma et Jean-Jacques Rosa

Cette Table Ronde réunit Norman Palma, professeur à Paris-Sorbonne et à Vincennes, sociologue et docteur en économie, philosophie et lettres et auteur; Gérard Lafay, professeur d’économie à l’université de Paris-II, docteur en sciences économiques et auteur; Jean-Jacques Rosa, professeur en sciences économiques et politiques et auteur.


Table Ronde Idées Nation avec Marine Le Pen... par MarineLePen

L’intimidation dans les écoles du Québec: « Il va falloir faire en sorte »…

Cette entrevue de Chantale Longpré, présidente de la Fédération québécoise des directions d’établissements d’enseignement, avec Benoit Dutrizac du 98,5 FM est fort révélatrice. Nous pouvons bien dire ce que nous voulons, le Québec reste une société matriarcale, féminine, gauchiste et molle. C’est la réalité. En écoutant cette entrevue, vous aurez l’occasion de sentir toute l’exaspération de l’animateur radio qui n’en peut plus d’entendre toujours les mêmes arguments bidon, les mêmes formules creuses, les mêmes rationalisations de caniveau. On peut tous les résumer par la formule suivante, qui était utilisée ad nauseam voilà quelques années. Il est vrai qu’on l’entend moins depuis un certain temps mais elle demeure fort pertinente pour décrire la mentalité des Québécois en matière de gestion de problèmes: « Il va falloir faire en sorte ». Dans le fond, elle pourrait très bien remplacer le « Je me souviens », puisqu’on ne se souvient de rien de toute façon. Lorsqu’on dit « il va falloir faire en sorte », au fond, on dit quoi? On dit qu’il serait bon que quelqu’un s’occupe de ce problème. Or, ce quelqu’un, c’est personne car il n’y pas âme qui vive qui fera quoi que ce soit pour s’en occuper, puisque personne n’est responsable. Chantale Longpré n’utilise pas cette formule durant cette entrevue, mais elle est sous-entendue et partie intégrante de la culture fonctionnariste et bureaucratique où Madame Longpré évolue, qui est celui du monde de l’enseignement.

Voyez-vous, les réformes de la Révolution Tranquille ont permis au Québec de se moderniser, d’arriver enfin au vingtième siècle et ce avec beaucoup de retard il faut le dire. Elles ont permis de mettre l’Église Catholique en marge de la société, alors que celle-ci prenait beaucoup trop de place et qu’elle empêchait l’épanouissement des citoyens dans la liberté. Elles ont aussi mis un terme à un régime politique qui n’était pas démocratique, le duplessisme, mis en place par feu Maurice Duplessis. Le nouveau régime a créé des programmes sociaux et de nouvelles institutions afin de mieux répondre aux besoins de la population qui était assoiffée de pouvoir enfin s’épanouir dans le monde moderne avec tout ce qu’il comporte. Continuer la lecture

Intervention de Marine Le Pen à la journée spéciale sur le travail organisée par Radio France

Ce que je retiens le plus de cette présentation de Marine Le Pen, c’est la notion de relation affective dans les entreprises, qui n’existe presque plus aujourd’hui malheureusement, en raison de la financiarisation de l’économie et du monde du travail mais également de l’influence des syndicats qui encouragent les sentiments d’hostilité envers les employeurs. Aussi, le partage des bénéfices, qui ne se produit que trop rarement, fait en sorte que le travailleur a l’impression de le fruit de son labeur sert à enrichir les autres seulement. Le développement des compagnies à action a certainement été un facteur déterminant dans ce phénomène, puisque les actionnaires d’une compagnie donnée, parfois situés à des milliers de kilomètres, n’ont d’intérêt que le profit immédiat et se foutent totalement de qu’est-ce qui arrive aux travailleurs, d’où le sentiment de déconnexion que ces derniers peuvent ressentir. Il est grand temps de recréer le sentiment d’appartenance du travailleur à son milieu de travail et cela passe par le partage des bénéfices, et pourquoi pas même au niveau de la gestion de l’entreprise.


Espace Public - Marine Le Pen par EspacePublic

Miscellaneous articles for – Articles divers pour 01-27-2012

Italian Nobility Rejoices at Launching of TFP Book

Top archbishop ‘denounces Vatican corruption’

Hungary anti-EU protest: 100,000 march in Budapest

“I fought back”

Nazi ‘Charity’ Links To German Trial Of Dutch Journalists

Agents Posing as Development Workers

The End of the Win-Win World

Supremely Irrelevant

What Kind of Christianity Is This?

Don’t ignore electoral fraud in Egypt

America and the Arab Spring

The Audacity of Deceit: Notes on the State of the Union

Mainstreaming anti-Semitism

Soros Think Tank Adviser: There’s No Peace Because Those Rich Jews Bribed Congress

Hugo Chávez sabía que ministro de Defensa estaba ligado a narcos

Newt Gingrich Promises To Move US Embassy To Jerusalem On Day 1

Yeah, that’s the spirit! Why haven’t we thought about that before? It is only logical that all western embassies should be in Jerusalem…unless somebody is anti-semitic? Thanks to Newt Gingrich. You are my choice as Republican candidate!

Kevin Freeman on economic and financial terrorism: The Chinese threat and Unrestricted Warfare

© Boroda | Dreamstime.com

This episode from the Frank Gaffney Show on Secure Freedom Radio deals with a more tenuous aspect of terrorism than the one we are used to deal with. In effect, terrorism and warfare undertaken through means of economic and financial manipulations are not easily recognizable and diagnosable by us, the laymen, in normal circumstances. If such shenanigans can have as terrible consequences as 9/11 produced, they can never be as spectacular and so they remain most of the time unnoticed. The 2008 financial collapse produced a loss of wealth estimated at 13 trillion dollars for the U.S. and 53 trillions for the whole world. Frank Gaffney’s January 17th guest, Kevin Freeman, brought to our attention something that unfortunately passed under the radar of a vast number of western observers. In effect, two colonels of the People’s Liberation Army of China, Qiao Liang and Wang Xiangsui, have written in 1999 a book on military strategy titled Unrestricted Warfare. That manuel seems to have inspired a few of the machinations that we have seen unfolding since the ’90s, including possibly even 9/11 itself. In a nutshell, the book describes how a weaker military power can wage war against a powerful country like the United States through unconventional means, such as lawfare, economic warfare, network (computer) warfare, terrorism, etc, in a way to progressively weaken it and have it crumble from the inside.

Kevin Freeman unfolds the analysis of this case using the example of what he calls « Bear Raids », i.e. the aggressive and hostile financial and market manipulations that were used and that led to the crash of Bear Stearns and Lehman Brothers. George Soros is widely known to have used these kind of tricks against institutions perceived as weak links to become the rich man he is today, and he certainly didn’t miss the opportunity to do so prior to and during the 2008 crisis. He is even mentioned by name in the document itself of Unrestricted Warfare, at least once on page 135 of the English version. Anonymous people betted against these firms, in other terms they betted on their collapse. Freeman mentions a bet of some 1,7 million dollars. Who would take such a bet without having concrete evidence that the market will effectively collapse? Signs were indicating that these bets were coming from the Middle East and London. Kevin Freeman then alludes to more specific tricks used by financial predators and sharks, like short selling and naked short selling. Without puting into question the competence of Kevin Freeman on these matters, I think Lucy Komisar has done a better job of explaining the mechanics of these two particular gambits, so as a complement I would refer you to this previous post where you will be able to get a lot of detailed information about short selling and naked short selling. I recommend that you listen to the one-hour interview that she gave to radio host Dave Emory in For The Record #650. Freeman also touches on some complementary elements to try to sum up the question of financial terrorism in relation with Unrestricted Warfare. That show is a not-to-miss to understand a little better the world in which we live.

Kevin Freeman with Frank Gaffney

Étienne Pinte et Mgr Jacques Turck dénoncent le vote Front National: Attention, les souffleurs de verre contre-attaquent…

Étienne Pinte, député UMP des Yvelines et Mgr Jacques Turck, Prélat d’Honneur et curé de Saint-Étienne – Saint-Bruno à Issy-les-Moulineaux, viennent de publier un livre intitulé Extrême-droite. Pourquoi les chrétiens ne peuvent pas se taire, dans lequel ils s’inquiètent de la montée des intentions de vote du Front National chez les pratiquants catholiques. Les auteurs y détaillent les propositions du Front pour ensuite s’efforcer de démontrer leur supposée « incompatibilité » avec les valeurs « chrétiennes et évangéliques ». Leur argumentaire s’articule autour de notions que l’on entend souvent de la part des détracteurs de ce parti politique, à savoir le « rejet de l’étranger », la « fermeture des frontières », le « rejet de la diversité, etc. Je vous propose deux débats qui ont eu lieu récemment. Le premier, présenté lors de l’émission « Ça vous regarde » sur la chaîne LCP, opposait Pinte et Turck à Louis Aliot, vice-président du Front National. Antoine D’Abbundo, rédacteur en chef du magazine Pèlerin, était aussi présent afin de donner un éclairage sur la question qui se voulait non partisan. Le deuxième, présenté sur les ondes de Radio Notre-Dame dans le cadre de l’émission « La voix est libre », opposait ces deux mêmes catholiques à Bruno Gollnisch, député français au Parlement européen et président du groupe Front National au Conseil régional Rhône-Alpes.

Avant de vous laisser le plaisir (mais je crois surtout le déplaisir) de visionner et d’écouter ces deux débats, laissez-moi vous faire part de mes observations. Tout d’abord, en tant qu’ancien Grand Séminariste qui a quitté la vénérable institution du Grand Séminaire en claquant la porte, et en tant que théologien, je dois dire que je suis profondément écœuré par tous ces prélats, monseigneurs, mouettes de sacristie, bedeaux fanatiques et autres catholiques convaincus qui n’ont de chrétien que le nom. Depuis ce jour béni où j’ai quitté le Grand Séminaire, je n’ai cessé de constater à quel point les chrétiens catholiques, et spécialement les hommes d’église, ne vivent pas dans la réalité. Ils soufflent du verre. À les entendre parler, on a toujours l’impression qu’ils parlent d’un monde qui n’existent pas. Ainsi, ils passent leurs journées à faire la leçon à tout le monde alors qu’ils ne touchent souvent en aucune façon aux peines qui affligent les citoyens ordinaires. Par exemple, on les entend faire la morale aux femmes qui se font avorter alors que comme hommes ils ne seront jamais aux prises avec une grossesse, prêcher au peuple d’adopter certains comportements de « générosité » et d « ouverture » envers les autres alors qu’eux-mêmes vivent dans des tours d’ivoire protégées et à l’écart de la société civile, suggérer aux gens de payer toujours de plus en plus de taxes et d’impôts pour accueillir toujours de plus en plus d’étrangers, alors qu’eux-mêmes ne travaillent pas de leurs mains pour gagner leur pain et qu’ils vivent plutôt aux crochets des autres, par le biais de la « charité », de la dîme et de la quête dominicale… Continuer la lecture