Patriots and nationalists show up at Dan Crenshaw’s ‘Prove Me Wrong’ speech

Patriots and nationalists are tired of the propaganda put out by the fake so-called «Conservatives». They have the impression that the right-wing in the United States has been completed subverted by pro-Israeli and warmongering activists and politicians. Patriots and nationalists of the dissident right showed up at this Dan Crenshaw speech the same way they showed up for the several TPUSA and other similar events that have been held recently, with energy and determination to be heard. The Conservative movement has been stolen from them and we can see similar situations in other western country. In fact, it is so critical right now that sometimes we are not even allowed to talk to present our ideas and grievances to our elected officials. These officials have an agenda to push on us without considering what we want or what we have to say. But more and more people are awakening to this. We will not be silenced anymore. A revolution is coming.

Alexandre Cormier-Denis: La CAQ est un parti gauchiste…

Tulsi Gabbard responds to Hillary Clinton, on Tucker Carlson Tonight

Hillary Clinton accuses Tulsi Gabbard of being a «Russian asset», which is absolutely ridiculous. Where is the evidence of that anyway?

Conférence de presse de Maxime Bernier en réponse à l’article du Globe and Mail faisant état d’une campagne de salissage à son endroit

Le chef du Parti Populaire du Canada réagit ici à l’article du Globe and Mail faisant état d’une campagne de salissage qui aurait été menée à son endroit dans le but de le  discréditer lui et son parti. Le Globe and Mail affirme que cette campagne aurait été concoctée par un ancien stratège du Parti Libéral, Warren Kinsella, pour le compte du Groupe Daisy. Toujours selon le Globe and Mail, ce serait nul autre que le Parti Conservateur qui aurait mandaté le Groupe Daisy de procéder à cette campagne.

Quelques observations ici. Tout d’abord, je dois avouer que je ne suis pas vraiment surpris. Comme blogueur politique, je peux témoigner que durant les années de règne de Stephen Harper et du Parti Conservateur du Canada, le harcèlement et l’intimidation non seulement étaient courants mais que c’était même pire en fait par rapport à ce que c’est aujourd’hui. J’en ai fait l’objet de façon fréquente et ce que j’entends ici ne fait que confirmer ce que j’ai moi-même expérimenté. Comme je l’ai déjà dit par le passé, le Parti Conservateur, c’est un gros Parti Libéral avec une pancarte bleue. Que ce soient les Libéraux ou les Conservateurs qui prennent le pouvoir, c’est toujours la même poutine. Quand on est actif sur le plan politique et que l’on ne pense pas comme le pouvoir en place, on sait qu’on se faire écoeurer, peu importe qui a le pouvoir. C’est pourquoi, dès le premier jour, j’ai décidé d’appuyer le Parti Populaire et Maxime Bernier pour que l’on puisse avoir une chance de changer la culture politique au Canada. La route sera longue et difficile, comme on le voit. Le fait qu’un candidat farfelu portant le même nom que Maxime Bernier se présente dans le même comté que lui est une bonne illustration du genre de problème auquel on est tous confronté. Pour continuer la réflexion sur le genre de culture politique que les Libéraux ont créée et que les Conservateurs continuent et perpétuent aussi, vous pourrez lire cet article précédent que j’ai écris sur le hockey et la culture canadienne.

L’autre aspect du problème affectant le Parti Populaire et Maxime Bernier, c’est la censure médiatique dont le parti et son chef ont fait l’objet. Non seulement Bernier avait été exclu au départ des débats télévisés mais, en plus, la consigne visant à réduire au silence le Parti Populaire faisait en sorte que les grands médias et les commentateurs ne le mentionnaient même pas durant leurs reportages et leurs analyses. Ils faisaient comme si le Parti Populaire et Bernier n’existaient pas ou n’étaient pas dans la course. Ils ont commencé à mentionner leurs noms alors que plusieurs semaines de campagne s’étaient écoulées.

Pour ce qui est de la soirée électorale de lundi prochain, on se retrouve dans une situation où le gouvernement qui prendra forme aura peu de légitimité pour gouverner. Les sondages donnent une bonne probabilité de gouvernement minoritaire, ce qui veut dire qu’il y aura une autre élection dans un an et demi. Le Parti Populaire aurait donc intérêt à continuer à faire campagne sans interruption avec tous ses candidats même après l’élection et de garder ses locaux électoraux chauffés et éclairés. Pour ce qui est des résultats dans chaque comté, le Parti Populaire aurait intérêt à ne pas se gêner pour demander un recomptage judiciaire si les résultats semblent suspects, si des irrégularités sont évidentes ou si le score est serré. Je suis d’accord avec Maxime Bernier lorsqu’il dit que 2% des intentions de vote ne représentent probablement pas les intentions de vote réelles des électeurs du PPC. 5% me semble un chiffre plus réaliste. J’appuis et j’encourage Maxime Bernier et le Parti Populaire du Canada à défendre leurs droits et les nôtres car il en va de l’avenir de la démocratie au Canada.

Conférence de presse de Maxime Bernier du 8 octobre 2019

Cette conférence de presse s’est tenue le lendemain du débat en anglais sur CBC. Je vous la présente ici pour signifier et réitérer mon appui à Maxime Bernier et au Parti Populaire du Canada lors des élections fédérales qui auront lieu le 21 octobre prochain. Je tiens à dire certaines choses ici. Tout d’abord, les sondages ne placent pas le Parti Populaire bien bien haut dans les intentions de vote des Canadiens. Ainsi, il est possible que les résultats électoraux du PPC soient plutôt modestes et ne répondent pas aux attentes des candidats et des militants du parti. Mais qu’à cela ne tienne. Bâtir un parti politique est long et ardu. Souvent, cela prend plusieurs années, voire plusieurs décennies avant que les résultats deviennent suffisamment substantiels pour permettre de prendre le pouvoir. Je suis convaincu que d’ici une vingtaine d’années, peut-être avant, le Parti Populaire du Canada sera une force politique majeure au Canada. D’ici là, Monsieur Bernier, les candidats et les militants devront être patients. L’aventure du Parti Populaire ne fait que commencer. Cette aventure mènera éventuellement à l’abolition du socialisme au Canada. La route sera difficile et parsemée d’embûches. Je m’attends donc à ce tous les membres du PPC, des bénévoles jusqu’au chef lui-même, peu importe les résultats des urnes, se retroussent les manches le 22 octobre au matin pour continuer à défendre les droits des Canadiens. Il reste tant de choses à accomplir et l’avenir s’ouvre devant nous. Bonne Fête de l’Action de grâces à tous!

President Trump rallies in Minneapolis and Lake Charles

The President at his best in these two rallies, especially the one in Minneapolis. Let’s continue to support the President during the bogus impeachment attempt that is going on right now. Ukrainegate is a hoax!

La visite de Greta Thunberg à Montréal et la partition du Québec…

Voici une vidéo du passage de Greta Thunberg à Montréal lors de la Grève Pour le Climat qui se tenait le 27 septembre dernier. Au début de la marche, il y a eu une courte présentation (pour l’essentiel en anglais, ce qui est très significatif) où l’on a pu voir Greta Thunberg être accueillie par quelques leaders des nations autochtones. Les médias étaient présents et ont pu poser quelques questions. Il y aurait beaucoup de choses à dire mais je vais me concentrer sur un point essentiel. On a pu voir lors de cette présentation des membres des communautés autochtones essayer de récupérer le phénomène médiatique entourant Greta Thunberg afin de faire des gains politiques. C’était somme toute assez bas mais prévisible. Apparemment, c’est Greta Thunberg elle-même qui avait demandé à l’origine à ce que les communautés autochtones soient représentées pour l’accueillir. Très bien. Mais il y a quelque chose qui m’inquiète ici. Durant la cérémonie, le chef Perry Bellegarde de l’Assemblée des Premières Nations a remis une veste à Greta Thunberg, parmi quelques autres présents qu’on lui a offert. Dans l’Antiquité, la remise du manteau ou de la veste avait une portée symbolique considérable et cette tradition s’est perpétuée jusqu’à aujourd’hui. En effet, dans le Golf professionnel par exemple, une veste est remise parfois au gagnant d’un tournoi. Lorsque celui-ci la reçoit, il l’enfile. Aussi, plus tard dans la journée, Greta Thunberg devait recevoir, des mains de la Mairesse Plante, les Clés de la Ville de Montréal. Avoir les clés de la ville, ça signifie y entrer et en sortir comme on veut et y faire toutes sortes de choses intéressantes sans craindre d’être inquiété. Encore là, il s’agit d’un symbole fort que l’on ne peut ignorer.

Or, la Mairesse de Montréal, Valérie Plante, qui est une ardente défenderesse du dossier des changements climatiques, a une vision pour Montréal très favorable aux autochtones. En effet, elle considère que Montréal est un «territoire non cédé» aux Français par les autochtones. Dans cet esprit, elle a décidé de rebaptiser une rue de Montréal, la rue Amherst, avec le nom mohawk Atateken, un nom qui ressemble aux mots français «attaque» ou anglais «attack». Elle a aussi annoncé la création d’un parc dans l’Ouest de l’île de Montréal, le Grand parc de l’Ouest, reliant différents parcs déjà existants pour la plupart. Ce qui est particulier ici, c’est que ces parcs se trouvent dans l’Ouest de l’île, donc dans le secteur géographique qui est attenant à la partie de la Rive Nord où l’on retrouve Oka…et Kanesatake. Dans cette partie de la région de Montréal, on retrouve incidemment plusieurs clubs de golf et on se rappelle tous que c’est en raison d’un club de golf que la Crise d’Oka a commencé.

J’en viens au questionnement suivant. Est-ce que ça se pourrait que la Mairesse de Montréal, Valérie Plante, soit en train de se servir de la cause des changements climatiques pour essayer de commencer un processus par lequel une partie du territoire de Montréal serait cédé aux Amérindiens? La question se pose. L’empressement des nations autochtones de faire de Greta Thunberg leur porte-parole en est une bonne indication. Comme ils flairent la bonne affaire, ils embarquent sans se poser de questions et sans réfléchir. On peut peut-être penser que la visite de Greta Thunberg à Montréal était en fait une opération de communication visant à préparer les esprits des citoyens à accepter la partition de Montréal. À cet égard, le Premier Ministre du Québec, François Legault, commence déjà à subir des pressions, de Québec Solidaire entre autres, pour qu’il accepter le principe de partition. Ces pressions font fait suite aux excuses du Premier Ministre Legault présentées aux Amérindiens mercredi dernier en réponse à des allégations de discrimation dont les Amérindiens feraient l’objet. Mais il n’est jamais bon de s’excuser en politique. Cela envoit un signal de faiblesse et un énorme prix politique s’en suit la plupart du temps. D’ailleurs, le bal avait été lancé voilà quelques semaines par le Maire d’Oka, Pascal Quevillon, lorsqu’il s’était excusé aux grand chef Serge Simon pour des déclarations concernant la réserve de Kanesatake. Lors de la mêlée de presse qui a suivi cette réconciliation, on avait pu voir le Maire Quevillon et le grand chef Simon souriants et décontractés. Mais il y a fort à parier que ce sera de courte durée pour le Maire d’Oka et qu’il en viendra à regretter cette décision. Les Québécois ont la manie de toujours s’excuser pour tout et pour rien, même quand ils ont raison et qu’ils n’ont rien à se reprocher. Et ce qui est particulièrement intéressant dans ce cas-ci, c’est que le conflit entre les deux hommes avait éclaté justement en rapport avec la cession de territoires aux Mohawks que voulaient effectuer un promotteur immobilier.

C’est un dossier à suivre. Lorsque l’on ne se tient pas debout dans la vie, que ça soit pour les peuples ou les individus, on en paye toujours le prix. Comment voulez-vous que l’on réalise la souveraineté du Québec si l’on est même pas capable de se faire respecter sur notre territoire? La visite de Greta Thunberg a permi à bien des gens d’avancer leurs pions sur l’échiquier. C’est à nous maintenant de faire en sorte que nous ne soyons pas mis en échec et mat. Je joins deux vidéos d’analyse du phénomène Greta Thunberg, l’une de Nomos-TV et l’autre de Red Ice TV.

Analyse de Nomos-TV des partis politiques fédéraux canadiens en regard des prochaines élections

Justin Trudeau et la tentation de la Chine: ‘Their basic dictatorship’…

Alors que le Canada est en période électorale, on a eu droit cette semaine à une scène digne d’un épisode de roman-savon. Les médias de masse ont concentré leur attention sur les photos de «blackface» qui ont surgi des années de jeunesse de Justin Trudeau. Ils n’ont parlé que de ça ou presque pendant 48 heures. Mais force est d’avouer qu’il ne s’agit ici que d’une anecdote, d’un fait divers, à la limite anodin, pas d’un enjeu fondamental de la politique d’état du Canada. Je comprends la controverse générée par la vue de telles photos et c’était en fait bien rigolo de les voir. Certains analystes politiques, avec justesse, ont fait remarquer qu’ils se sentaient davantage préoccupés par le manque de jugement de Justin Trudeau que par ces photos de blackface ou par d’autres déguisements qu’il a pu enfiler depuis qu’il est en politique.

Or, il y a beacoup plus inquiétant dans le gouvernement Trudeau que ses nombreux déguisements et frasques. Tout d’abord, il y a la présence de membres de la communauté sikhe au sein du gouvernement et au sein de l’Armée Canadienne et cette présence est inquiétante. En effet, un mouvement indépendantiste chez les Sikhs cherchent à créer un état autonome dans le continent indien, le Khalistan, et certains actes terroristes qui se sont produits dans les dernières décennies semblent être reliés à ce mouvement indépendantiste. D’ailleurs, dans cet article, on peut voir des membres des Forces Armées Canadiennes appartentant clairement à la communauté sikhe participer au défilé d’une fête communautaire, le Khalsa Day à Toronto en avril dernier, avec leurs armes de combat. Rien de moins. Et à la Chambre des Communes, non seulement retrouve-t-on des membres de la communauté sikhe parmi les élus mais le chef même du NPD, Jagmeet Singh, est lui aussi Sikh. Je crois que les électeurs canadiens sont en droit de se demander ce qui se passe réellement sur la scène politique fédérale. Les Sikhs sont-ils en train de prendre le contrôle du gouvernement canadien? Peut-être pas à proprement parler mais disons que les apparences nous font commencer à douter de l’état de la démocratie canadienne.

Ce qui m’amène à la pièce centrale de cet article. Lors d’une conférence donnée à un groupe de femmes en préparation des élections générales fédérales de 2015, Trudeau avait déclaré en anglais qu’il admirait la Chine «because their basic dictatorship»… Autrement dit, Trudeau n’admire pas la Chine en raison de ses prouesses technologiques, en raison de sa puissance économique ou pour quelque autre raison mais pour sa dictature de base… Ainsi, les électeurs canadiens sont également en droit de se demander ceci: Quelles sont les valeurs de Justin Trudeau? En quoi croit-il? Qu’est-ce qui est important pour lui? Comme je l’ai mentionné plus haut, beaucoup d’analystes politiques, de politiciens et de citoyens engagés lui reprochent son manque de jugement, illustré par ses nombreuses frasques qui ont été reprises par les médias. Personnellement, le fait que Justin Trudeau ne voit pas de problème à ce que son gouvernement fleurte avec la communauté sikhe pour les raisons et j’ai évoquées, et le fait qu’il admire la Chine «en raison de sa dictature de base», m’inquiète au plus haut point. Le chef du Parti Conservateur, Andrew Scheer, a dit que Justin Trudeau était indigne d’occuper la fonction de Premier Ministre suite à la publication des photos de blackface. Pour ma part, c’est plutôt en raison de son attitude envers la commnauté sikhe et en raison de son admiration pour la «dictature de base» de la Chine, que je crois que Justin Trudeau est indigne d’être Premier Ministre du Canada.