Alexandre Cormier-Denis présente une étude sur l’origine génétique des Québécois

Alexandre Cormier-Denis présente ici une étude très intéressante sur l’origine génétique des Québécois. Elle confirme que les colons français provenaient principalement de l’ouest de la France. Alexandre Cormier-Denis mentionne que ces données discréditent la thèse avancée durant les années soixante selon laquelle les Québécois seraient très métissés avec les autochtones. Effectivement. Je tiens ici à insister sur un point précis. Alexandre Cormier-Denis suggère que cette thèse selon laquelle les Québécois seraient très métissés est due au fait que les élites gauchistes de l’époque cherchaient à effacer ou diminuer l’origine occidentale ou blanche des Québécois. Je dirais plutôt que ce que les élites gauchistes ont cherché à faire est d’effacer les origines françaises des Québécois. En effet, il ne faut jamais oublier que lors cette période le nom de notre peuple, les Canadiens-français, a été changé en Québécois. Les mots Québec et Canada sont des mots d’origine autochtone, ce qui dit tout ici. Les élites gauchistes, qui étaient bel et bien des communistes, ont cherché à effacer notre histoire et notre identité pour les remplacer par une version de ce que nous sommes qui ferait disparaître le caractère français de notre peuple. À ce sujet, Cormier-Denis rappelle le commentaire d’un internaute qui se demandait si on ne devrait pas faire débuter l’histoire des Canadiens-français par Clovis. Bien sûr qu’on le devrait, ce qui démontre à quel point l’opération de réécriture de l’histoire que les communistes des années soixante ont effectué a été efficace. Clovis et tout le reste de l’histoire des Français a complètement disparu, en plus de toute la période qui va de l’arrivée des Français en Amérique en 1534 jusqu’en 1960. Pour les gauchistes québécois, l’histoire de notre peuple commence en 1960 avec l’arrivée au pouvoir de Jean Lesage. C’est complètement ridicule mais c’est l’état de la situation. Nous sommes des Français d’Amérique. Même l’appelation Canadiens-français, avec laquelle je suis à l’aise, est tendancieuse. En ce 24 juin, jour de La Fête de la Saint-Jean-Baptiste, n’oublions jamais que nous sommes Français. Finissons-en avec les mensonges des gauchistes. Vive la France, vive l’Amérique française et bonne Saint-Jean-Baptiste à tous les… Français!

Fêtons la Saint-Jean-Baptiste convenablement: Parlons du droit de retour des Québécois en France…

En cette veille de la Fête de la Saint-Jean-Baptiste, il serait bon de montrer aux Québécois l’éléphant dans la pièce que l’on ne veut pas voir, à savoir que les Canadiens-Français sont les descendants des colons français venu ici du XVIe au XVIIIe siècle. Les Québécois, ainsi que tous les autres descendants des colons français vivant dans les autres provinces canadiennes et dans les états américains, sont des Français sur le plan ethnique, en plus d’en être sur les plans de la culture et de la civilisation. Ceux vivant sur le territoire du Québec actuel s’en tirent beaucoup mieux que les autres évidemment, puisqu’ils bénéficient d’un environnement favorable à leur épanouissement. Ceux vivant dans les autres provinces canadiennes ont souvent bien de la difficulté à maintenir leur héritage français, tandis que ceux vivant aux États-Unis depuis les jours de la colonisation ou qui y ont émigré pour trouver du travail au XIXe et XXe siècles, se trouvent dans un état d’assimilation avancée, pour ne pas dire irréversible. En Louisiane, au Vermont et dans le Maine par exemple, c’est souvent seulement les nom de familles et de certaines rues qui témoignent encore des racines françaises de certaines communautés.

Une des choses les plus tristes par rapport à la façon dont les élites québécoises approchent les célébrations de la Saint-Jean-Baptiste est l’omission délibérée, planifiée, organisée des racines françaises des Québécois et des autres Canadiens-Français ou Franco-Américains. À chaque fois, et c’est comme ça depuis les jours de la Révolution Tranquille, on nous raconte que le peuple québécois est né en 1960, qu’il est sorti de la Grande Noirceur religieuse où régnaient en maîtres le Premier Ministre de l’époque, Maurice Duplessis, et l’Église Catholique. On nous vante alors les mérites de l’État Providence qui a été créé avec toutes ses institutions, ses ministères. On nous chante aussi les louanges du «projet collectif» qui anime supposément les Québécois. Mais jamais il n’est fait mention des origines françaises du peuple québécois, du fait que nous sommes les descendants des colons français qui sommes venus en Nouvelle-France au nom du Roi et de l’Église pour créer justement une nouvelle France, qui serait aussi glorieuse que la première.

Pourquoi est-ce ainsi? Sans doute parce que la vérité fait mal. Les faits de l’histoire sont clairs. Les colons français ont été abandonnés en Nouvelle-France lorsque la France, sous la gouverne du très peu glorieux Louis XV, a fait acte de reddition en 1760. L’empire colonial de France a presque disparu lors de cette guerre, la Guerre des Sept Ans, et on ne peut pas dire que Louis XV ait fait preuve d’un grand leadership. Les colons français ont donc dû se débrouiller seuls, dans un environnement hostile, alors qu’il n’y avait rien. Ils ont dû par eux-mêmes contruire les routes, couper les arbres, cultiver la terre, assurer leur sécurité, etc, en sachant fort bien que la cavalerie ne viendrait pas à leur secours. C’est sans doute ce qui explique cette omission gigantesque dans la description de la génèse des Québécois. Cela fait mal de s’avouer que l’on a été abandonné. C’est donc avec un mélange d’amertume, de colère, de rancoeur, de rage, de tristesse et de déception qu’à chaque année, au moment de fêter la Saint-Jean-Baptiste, nos élites politiques évitent délibérément de parler de nos origines, de tout ce qui s’est passé avant 1960. Or, personnellement, moi qui anime ce blogue depuis 2010, je refuse de participer à cette mascarade. Nous sommes Français. Les Québécois sont Français. Quand est-ce que l’on va comprendre cela?

Ceci m’amène inévitablement à parler de ce que les élites politiques françaises ne veulent pas parler non plus, à savoir le droit de retour en France des descendants des colons français. Eh oui. Vous avez bien lu. Puisque nous sommes Français, nous avons le droit de retourner à notre Mère-Patrie. Louis XV avait peut-être le droit de nous abandonner mais il n’avait pas le pouvoir d’effacer notre hérédite. La question se pose en termes absolument implacables depuis quelques années. En effet, des vagues de migrants déferlent sur l’Europe et sur la France. C’est littéralement des millions et des millions d’individus qui débarquent sans s’être annoncés et qui, aussitôt sur place, réclament prestations sociales, nourriture, logement, etc, et à être servis rubis sur l’ongle évidemment. Ces individus sont souvent de piètre qualité à tous égards, commettant de multiples crimes en tout genre. Dans certains pays, on héberge même ces migrants dans des châteaux. C’est pour vous dire quel point les élites politiques européennes ont perdu tout sens du réel, à moins que cela ne soit du cynisme. Les descendants des colons français ont travaillé extrêmement fort, ont grandement souffert pour faire rayonner la culture et la civilisation française en Amérique du Nord. Que les élites politiques françaises donnent tout cuit dans le bec à des migrants et des clandestins qui vomissent sur la France et qui n’ont jamais rien fait pour elle alors que les descendants des colons français en Amérique du Nord ont mangé de la misère pendant quatre cents ans pour survivre est absolument déguelasse. Il n’y a pas d’autres mots. Et les héritiers de la Nouvelle-France ne sont pas les seuls dans cette situation. Les Afrikaners, ou Boers, en Afrique du Sud, vivent exactement la même situation par rapport à la Hollande où ils ne peuvent retourner sensiblement pour les mêmes raisons.

Mais ici, il ne s’agit pas que les descendants de colons français fassent leur valise tout d’un coup pour retourner en France. Il ne s’agit pas d’abandonner le Québec, bien sûr que non. Mais, la moindre des choses, ce serait que la France reconnaisse la citoyenneté française aux Québécois, Canadiens-Français et Franco-Américains qui sont Français sur le plan ethnique, dont l’hérédite remonte aux temps de la colonie. Le temps est venu pour la France de mettre les priorités à la bonne place. La France dilapide ses richesses pour des gens qui n’en ont rien à foutre, alors que ses enfants ont faim de pouvoir contribuer à faire rayonner cette belle civilisation, cette grande civilisation. La France survivra encore un autre millénaire si ses élites ont le courage de faire ce qui est bon pour la France et non pas ce qui est bon pour leurs intérêts personnels. Les Maghrébins et les Africains n’apporteront jamais rien à la France. Ils vont la vider de toutes ses richesses et détruire son héritage culturel. N’oublions jamais que c’est la France qui a offert la Statue de la Liberté aux États-Unis. Ce sont ces deux pays qui détiennent les clés de l’avenir de l’humanité. Les humains auront un avenir seulement et seulement si les États-Unis demeurent les États-Unis, et si la France redevient la France, ce qu’elle n’est plus depuis longtemps. Le jour où les Québécois pourront retourner en France pour réclamer leur dû, peut-être qu’à ce moment-là, la France aura une chance de redevenir ce qu’elle a été pendant des siècles, i.e. un flambeau de liberté, d’intelligence et de lumière dans la nuit des hommes.

Entrevue #1 et #2 avec Peter Levenda sur l’héritage hitlérien et le djihad mondial

Cette série d’entrevues avec Peter Levenda réalisée par Dave Emory est l’occasion pour lui de présenter son dernier livre, The Hitler Legacy. Cet ouvrage de recherche présente un monde complexe, dont l’histoire ne se résume pas aux versions simplistes que l’on nous présente souvent. Pour l’auteur, les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui ne sont que la continuité de ceux qui se posaient durant et après la Première Guerre Mondiale. À l’époque, les pouvoirs coloniaux qu’étaient la Grande Bretagne et la France, ainsi que la Russie, étaient en conflit avec l’Allemagne pour le contrôle du monde. L’Allemagne a rapidement compris qu’elle pouvait utiliser les frustrations et revendications des populations ayant vécu la colonisation, et en particulier les populations arabo-musulmanes, afin de les fanatiser contre la Grande-Bretagne, la France, la Russie, ainsi que contre les États-Unis et les sionistes, partisans de la création de l’état d’Israël. Des personnages importants de la finance et de l’industrie américaine et allemande, tels Henry Ford, la famille Thyssen et plusieurs autres, conservateurs et anti-communistes, ont prêté main-forte à l’Allemagne dans un effort justement pour freiner l’essor du communisme dans le monde. L’archéologue Max von Oppenheim (probablement du renseignement allemand) aurait joué un rôle important à cet égard en convaincant le Sultan Mehmet V de l’Empire Ottoman, allié de l’Allemagne, de déclarer un djihad mondial contre ces pays, dont nous vivons toute l’ampleur aujourd’hui. T.E. Lawrence (probablement du renseignement britannique) aurait essayé d’utiliser les populations arabo-musulmanes de façon à contrer les efforts de Oppenheim et du Sultan. À la fin de la guerre, Français et Anglais se sont divisés le Moyen-Orient en fonction de leurs intérêts lors du Traité Sykes-Picot, violant ainsi les promesses faites aux populations arabo-musulmanes et juives aussi. La Deuxième Guerre Mondiale n’a rien réglé de façon concrète. Plusieurs criminels de guerre nazis se sont vus offrir l’occasion de s’enfuir en sûreté à l’étranger, par le biais de ce qu’on appelle communément les « ratlines ». Certains se sont convertis à l’islam. Beaucoup ont trouvé de nouveaux emplois dans des gouvernements ou des agences de renseignement de par le monde. Ainsi, la nébuleuse fasciste et/ou nazie a pu continuer d’exister, dans l’underground jusqu’à tout récemment, et c’est cette nébuleuse que l’on voit refaire surface aujourd’hui sous la forme des islamistes/djihadistes. Beaucoup d’éléments sont apportés durant ces entrevues de haute qualité qu’il serait trop long d’énumérer. Il est indéniable que le livre de Peter Levenda est de fort calibre. Dave Emory lui attribue la note de cinq étoiles, ce qui est sûrement pleinement mérité. En compagnie du merveilleux livre de John Loftus The Secret War Against the Jews, ces deux ouvrages de recherche constituent sans doute les sources de renseignement les plus fiables, véridiques et pertinents pour comprendre l’histoire du vingtième siècle et notre situation actuelle. Le silence médiatique entourant ces deux livres, j’imagine, en est la preuve irréfutable. Je vous invite donc à prendre le temps d’écouter les entrevues et de lire les textes associés. Beaucoup d’éléments doivent être compris à la fois. Deux autres entrevues sont planifiées pour bientôt avec l’auteur, qu’il me fera plaisir de vous proposer quand elles seront disponibles. Bonne écoute.

FTR #838 Interview (#1) with Peter Levenda about “The Hitler Legacy”

FTR #839 Interview (#2) with Peter Levenda about “The Hitler Legacy”

Astérix le Gaulois et la résistance

Je vous offre cet extrait de la bande dessinée Astérix. Pourquoi? Parce que cela fait du bien de voir des Gaulois, des Français, taper sur la gueule des « Romains ». L’histoire se répète. Autrefois c’était les Romains, dernièrement ça été les Nazis et maintenant, c’est l’Union Européenne avec ses sbires islamistes, socialistes et immigrationnistes, agenouillée devant Washington et les pays arabes, qui occupe la France. Une chance qu’il y a les Bretons, gavés de potion magique, pour remettre les « Romains » à leur place. À l’heure de la révolte des « bérets rouges », méditons ces images qui nous feront sûrement réaliser que le peuple français ne se soumettra jamais à quiconque. Le peuple français vaincra ou il mourra. C’est tout.

André Sirois: La réalité de l’immigration au Québec et le rôle du gouvernement fédéral…

Le Lys d'OrCette excellente entrevue avec Me André Sirois doit être écoutée et méditée longuement. Elle décrit avec beaucoup de lucidité et d’exactitude la réalité de l’immigration au Québec. Fort d’une grande expérience internationale, Sirois dresse le portrait de ce qui attend les Québécois si nous ne prenons pas les mesures nécessaires pour contrer l’immigration arabo-musulmane. Car Sirois aborde ici quelque chose dont on ne parle jamais, à savoir l’utilisation par le gouvernement fédéral de l’immigration arabo-musulmane pour assimiler les francophones et le Québec dans l « unité » canadienne. Voyez-vous, le Rapport Durham de 1839 recommandait l’assimilation des Canadiens-Français pour renforcer l’emprise du commerce britannique. Or, ce Rapport Durham et ses recommandations n’ont jamais été reniés ni renoncés par le gouvernement fédéral canadien à ce jour. Tant bien que mal, au cours des décennies, Ottawa a essayé d’assimiler les francophones en utilisant des anglophones, en diluant les premiers dans les seconds. Mais, comme cela ne fonctionne pas vraiment, il a maintenant recours à une autre stratégie: il utilise les chemises brunes de l’extrême-gauche et de l’immigration arabo-musulmane, abondante, pour ce faire. Cette situation a comme avantage de fournir aux politiciens la « plausible deniability », la « dénégation plausible ». Les politiciens d’Ottawa, gonflés à bloc par la Charte canadienne des Droits et Libertés, peuvent ainsi nuire aux francophones, au Québec et aux Québécois tout en mettant ça sur le dos des islamistes et de la gauche. Ainsi, main dans la main, les intégristes sunnites, chiites, Amir Khadir, le PAJU, Québec Solidaire, la Fédération des Femmes du Québec et autres groupes de la sorte sont unis contre les Québécois pour piller nos richesses et prendre notre territoire, et tout ça pour faire plaisir au fédéral et remplir les exigences du Rapport Durham… Ça ma pris du temps, mais là, j’ai compris. Écoutons Sirois avec Benoit Dutrizac au 98,5 FM.

Me André Sirois sur l’immigration musulmane