Ken Pereira revient sur le concept des « théories du complot »

David Icke s’entretient avec John Smith: Comment le droit commun peut nous aider à vaincre le totalitarisme sanitaire

Le contenu de cette entrevue est quand même assez technique mais cela vaut la peine que l’on s’y attarde. John Smith de Common Law Court explique ici la différence entre le droit commun, qui s’adresse à l’être humain, et le droit des corporations, qui régit les entreprises et les contrats. Il mentionne que les gouvernements, les agences, les cours de justice et les corps policiers sont des corporations. Pour résumer, l’argumentaire juridique de John Smith est le suivant: Pour être capables d’assujettir les populations au droit des corporations, droit qui permet d’imposer aux individus beaucoup plus de contraintes que le droit commun, les gouvernements ont créé pour chaque citoyen une entité juridique fictive, une personne juridique. Cette personne est présentée sous le titre de Monsieur ou Madame et elle est considérée, par le droit des corporations, comme une entreprise. C’est cette entité juridique fictive qui contracte avec les gouvernements, agences, cours de justice et corps policiers, ce qui permet à ces institutions d’imposer aux citoyens toutes sortes de choses arbitraires, qui seraient impossibles à imposer avec le droit commun. John Smith aborde aussi, évidemment, la question des mesures sanitaires reliées à la covid-19, qui ne sont rendus possibles que par la mise en application du droit des corporations. Il explique, par exemple, que les commerces n’auraient qu’à opérer sur la base du droit commun au lieu d’opérer sur la base du droit des corporations, ce qui leur permettrait de ne pas être assujettis aux mesures sanitaires, puisque celles-ci ne sont pas applicables aux individus selon le droit commun mais seulement aux entreprises. À voir et à étudier.

Petite leçon d’Europe par Jean Gabin dans « Le président »

Cet extrait de film est un document exceptionnel nous aidant à réaliser l’épouvantable catastrophe qui s’est abattue sur la France. Ayant perdu sa gloire d’antan, la France voit ses leaders ne plus être aujourd’hui que les marionnettes de divers intérêts corporatistes les contrôlant à leur guise. Oui, la France est occupée, sans doute par les musulmans, mais aussi tout d’abord par sa classe industrielle et corporatiste qui la pressure aux dépens du peuple. À voir et à méditer.

Gérald Pichon nous entretient sur son dernier livre, Sale blanc! Chronique d’une haine qui n’existe pas

Le Lys d'OrLa haine anti-Blancs est à l’honneur en ce vingt et unième siècle. Nous avons été trahis à un niveau que l’on ne peut même pas imaginer. Les peuples occidentaux ont été confrontés à un choix difficile au vingtième siècle, parmi toutes les idéologies qui étaient « en vente » si l’on puis dire. Ils ont choisi de rejeter le racisme de l’Allemagne Nazie et du Japon et l’on est obligé d’être en accord avec cette décision. Le problème, c’est que le rejet du fascisme européen basé sur la supériorité de la race blanche a conduit à un autre forme de fascisme, celui-ci basé sur l’émancipation des peuples de couleur. Souvenez-vous des paroles de Churchill à la fin de la guerre, lorsqu’il disait que « les fascistes de demain s’appelleront eux-mêmes antifascistes ». Si le premier a bénéficié de l’appui de l’Église Catholique, le second bénéficie plutôt maintenant de celui de l’Islam. Les nègres d’autrefois à la peau noire ont fait place à ceux à la peau blanche. Dans ce Meilleur des mondes qui a « vaincu » le nazisme, les blancs sont traités comme de la merde afin de satisfaire les injonctions racistes de ce nouveau fascisme « antifasciste ». Et tout ça, bien sûr, se fait avec la bénédiction des élites politiques qui ne pensent qu’à gagner des élections, des élites financières et corporatistes qui ne pensent qu’à faire de l’argent, et de la gauche. Je commence à me dire que l’on a été berné depuis des lunes par des gens passés maîtres dans l’art de la manipulation. Ceux qui désiraient mettre en place un monde fasciste, à savoir les oligarques de la finance, des banques et des corporations, étant donné qu’ils n’ont pu réussir leur coup avec la race blanche, maintenant, reviennent à la charge en se servant des gens de couleur. Vraiment, ce monde moderne me donne envie parfois de vomir. Une entrevue de grande qualité avec l’auteur Gérald Pichon sur Radio-Courtoisie. Ne manquez pas ça.

Gérald Pichon sur Radio-Courtoisie

John Perkins describes his job as « economic hitman » for the corporations

The interview with John Perkins starts around 0:25 minutes in the movie, (Zeitgeist:Addendum) through 0:41 minutes. Various coup d’états, sponsored by CIA-connected corporations, are looked over.

Encore une fois les Québécois vont se faire fourrer…Léo Paul Lauzon en discute avec Benoît Dutrizac

Encore une fois, on va se faire avoir. Les gens qui sont supposés représenter nos intérêts représentent en fait leurs intérêts. À chaque fois qu’ils ont l’occasion de s’en mettre plein les poches en utilisant nos ressources, notre savoir-faire, notre main-d’oeuvre, ils n’hésitent pas. Le Québec, comme le Canada d’ailleurs, est une terre ouverte, un régime colonial où l’on peut piller, voler, extorquer, et ce avec la bénédiction du gouvernement. Et ça se comprend. Les portes sont tournantes entre le gouvernement et le secteur privé. On passe de l’industrie au gouvernement et du gouvernement à l’industrie comme on passe des coulisses à la scène et de celle-ci aux coulisses comme le font les acteurs de théâtre. C’est ça le fascisme. Les corporations ont mis la main sur l’ensemble des ressources, des outils, des institutions  et la vie publique n’est qu’un théâtre avec lequel on distrait les idiots que nous sommes, les exploités payeurs de taxes. Quand ce régime de barbarie va-t-il cesser de nous réduire à l’esclavage? Après cinquante ans de fascisme  corporatiste, êtes-vous toujours convaincus que les Allemands ont perdu la guerre?

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