Jamie Andrews est le directeur d’un groupe de scientifiques menant des recherches indépendantes. Durant cette excellente entrevue, Jamie Andrews présente des données scientifiques très intéressantes remettant en question la validité de la science que l’on appelle la virologie, i.e. le mécanisme par lequel les maladies se transmettent. Parmi les sujets abordés, on retrouve le test PCR, le processus d’isolation et de purification d’un virus, l’effet cytopathique, les vaccins pour le cancer, etc. Entre autres expérimentations, l’équipe de Jamie Andrews a utilisé des lignes de cellules standard fournies par l’industrie pour la recheche scientifique. Ensuite, le processus d’isolation a été appliqué par l’équipe de Jamie Andrews menant à une découverte étonnante: les cellules soumises au processus d’isolation avaient exactement l’apparence des virus SARS-CoV-2 que l’on nous a présentés dans les grands médias! En d’autres termes, ce que l’industrie bio-médicale prétend être des virus ne sont en fait que des cellules mortes qui sont en processus de désintégration. À VOIR ABSOLUMENT.
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Jaymie Icke s’entretient avec David Icke sur l’importance de ne pas tomber dans le piège du ‘virus’
David Icke a parfaitement raison. L’attitude de certains ténors des médias alternatifs est absolument condamnable. Il n’y a jamais eu de virus de la covid-19. Et c’est précisément le fait d’accepter qu’il y avait un virus qui nous a mis dans la situation précaire où l’on s’est retrouvé en mars 2020. Si nous tombons dans le même piège cette fois-ci, cela permettra aux mondialistes de répéter le même manège avec la variole du singe.
Le documentaire ‘The PCR Test Deception’, avec les docteurs Stefan Lanka et Malcolm Kendrick
Diffusion d’urgence, première partie/Emergency Broadcast, part 1
David Icke passe au crible la théorie selon laquelle le laboratoire BSL-4 de Wuhan est responsable de l’existence du nouveau coronavirus
David Icke fait l’analyse de la théorie selon laquelle le nouveau coronavirus a son origine depuis le laboratoire BSL-4 de Wuhan en Chine. Il cite les travaux d’éminents spécialistes comme le docteur Thomas Cowan et pour bien rappeler que le supposé nouveau coronavirus n’existe pas en fait. Aucun laboratoire dans le monde n’en possède un échantillon. Les demandes d’accès à l’information présentées à des gouvernements dans le monde par des citoyens ou des institutions se sont toutes avérées infructueuses, puisqu’aucun d’entre eux n’en possède non plus. Icke rappelle certains faits de l’histoire de la virologie démontrant que la méthode utilisée pour «démontrer» l’existence des virus a toujours été peu scientifique, non crédible, pour ne pas dire complètement farfelue en fait. De même, l’hypothèse selon laquelle les «virus» causent des maladies n’a jamais fait l’objet d’une démonstration scientifique formelle. Néanmoins, la science officielle l’utilise comme présupposé pour fonder les domaines de la virologie et de l’épidémiologie. Ça donne froid dans la dos quand on y pense. Imaginez un instant les millions de vie qui ont été brisées et ruinées en raison de cette incompétence et mauvaise foi scientifique. Pour David Icke, il est important que les opposants au mensonge de la covid-19 et du Grand Reset tiennent dur la ligne selon laquelle il n’y a pas de nouveau coronavirus car c’est seulement ainsi que nous en viendrons à bout. À voir absolument. Pour ceux qui voudraient en savoir davantage sur le sujet, je vous propose un article détaillant l’analyse du docteur Andrew Kaufman sur le nouveau coronavirus, ainsi que le livre du docteur Thomas Cowan sur la théorie des germes, The Contagion Myth.
The Contagion Myth – Why Viruses (including "Coronavirus") Are Not the Cause of Disease
Courte vidéo sur l’inventeur du test RT-PCR, Kary Mullis
La mort de l’inventeur du test RT-PCR, Kary Mullis, à quelques mois du début de la pandémie de covid-19, est très suspecte. S’il avait été vivant lorsque celle-ci a éclaté, il aurait de toute évidence été scandalisé de l’utilisation frauduleuse de son test qui, rappelons-le, n’a pas été conçu pour diagnostiquer les maladies contagieuses. Il aurait certainement été très en colère contre les autorités médicales et gouvernementales et il les aurait dénoncées vertement. Repose en paix, mon frère.
Conversation entre David Icke et un compatriote à propos de la pandémie
Voyez comment le gouvernement du Québec enfreint la Loi médicale M-9 dans sa gestion de la pandémie de covid-19
Depuis le 13 mars 2020, le gouvernement du Québec fait subir à la population de la province de graves entraves à ses libertés. Confinement, couvre-feu, fermetures de magasins et entreprises, masque sanitaire et lavage de mains obligatoires pour avoir accès à certains immeubles et au transport en commun, etc, tout y est pour enfreindre les droits et libertés des citoyens. Mais qu’en est-il du fondement légal de toutes ces mesures? D’abord, il est bon de rappeler les éléments qui constituent la chaîne de gradation des mesures sanitaires. D’abord, il y a les «cas» de covid-19 qui sont déterminés à l’aide d’un test PCR. Ensuite, il y a les mesures visant à freiner la propagation du virus comme le confinement, le masque, etc, qui sont mises en place, si les pouvoirs publics estiment que le nombre de ces cas le justifie. Et finalement, viennent les mesures pour tenter de résoudre la situation d’urgence médicale, comme le vaccin et le passeport vaccinal.
Au tout début du processus, au moment de déterminer les «cas», il y a un écueil fondamental qui rend tout le processus complètement illégal et c’est là-dessus que je vais m’attarder dans ce texte. Je ne vais pas parler du test PCR lui-même. Cette question a été traitée en long et en large par les meilleurs spécialistes et elle se résume en une ligne: L’inventeur du test PCR, Kary Mullis, a déclaré publiquement, en substance, que ce test ne pouvait pas détecter de virus et qu’il ne peut donc pas être utilisé pour diagnostiquer des maladies. Les gouvernements l’utilisent quand même pour diagnostiquer la covid-19, ce qui est idiot, mais c’est comme ça. Ce qui m’intéresse plutôt ici, c’est de regarder le fondement légal de la procédure du test. Allons-y.
Au Québec donc, quand un citoyen veut passer un test de dépistage de la covid-19, il compose un numéro de téléphone gouvernemental. On donne alors rendez-vous au citoyen dans un centre de dépistage. Et c’est là que ça devient intéressant. Après avoir passé le test, le citoyen retourne chez-lui ou chez-elle et attend le résultat du test. Ce résultat lui est communiqué directement par le centre de dépistage ou le laboratoire et non pas par son médecin traitant. Or, la Loi médicale M-9 du Québec fait la liste, à l’article 31, des activités qui sont réservées au médecin, en 12 points. Plusieurs de ces activités sont délibérément accomplies dans le processus de dépistage par des gens qui ne sont pas médecins. La première et la plus évidente, est celle du point 1:
1° diagnostiquer les maladies
En effet, seul un médecin peut diagnostiquer les maladies. Or, lorsque le laboratoire ou le centre de dépistage communique avec un individu qui a été testé pour lui donner son résultat, il s’agit bel et bien d’un diagnostic. Normalement, lorsqu’un patient passe par exemple une radiographie ou une prise de sang pour un problème de santé conventionnel, le centre ou l’hôpital qui a effectué l’examen ne communique pas avec le patient pour lui donner son résultat. Il communique plutôt avec le médecin traitant parce que, justement, le diagnostic ne peut être effectué exclusivement que par un médecin. Ce dernier prend le résultat du test qui a été passé, le met en contexte avec toutes les autres données de santé du patient et prend une décision finale quant du diagnostic. Le médecin communique lui-même directement ce résultat au patient. Mais dans le cas de la covid-19, cette procédure n’est pas respectée. Pourquoi? Passons au point 2:
David Icke fait le point sur les différents éléments de la fraude de la Covid-19
Conférence de Kary Mullis, inventeur du test PCR
Voici un extrait d’une conférence du regretté Kary Mullis, inventeur du test PCR. Très coloré et spontané, Mullis était un véritable homme de science. En effet, il tirait ses conclusions à partir des observations qu’il faisait sur le terrain, au lieu de trafiquer et de frauder les faits et les données pour leur faire confirmer une thèse prédéterminée d’avance, comme le font malheureusement beaucoup de «scientifiques» d’aujourd’hui, si on peut les appeler ainsi. Entre autres choses, il raconte ici comment il a été incapable de trouver un article de référence ou une étude publiée auprès des scientifiques de renom, justifiant que le VIH causait le Sida. Merci, Monsieur Mullis!