JOIGNEZ LA RÉSISTANCE ET LE COMBAT CONTRE LA TYRANNIE MONDIALISTE AFIN DE DÉFENDRE LA CIVILISATION, LA TRADITION, LA LIBERTÉ ET LA MÉDECINE…AVANT QU'IL NE SOIT TROP TARD!
Levenda continue de présenter le contenu de son livre The Hitler Legacy sur les ondes de l’émission de radio For The Record animé par Dave Emory. Entre autres éléments à retenir, Levenda attire notre attention sur le théâtre de l’Asie du Sud-Est, notamment sur l’Indonésie et le rôle joué par le Président Sukarno. Il revient aussi brièvement sur l’Opération Golden Lily visant à mettre à l’écart des Alliés le trésor de guerre accumulé par le Japon Impérial durant la guerre, ainsi que sur des fonds similaires comme le Fonds Révolutionnaire. Certains liens avec des personnages connus sont abordés, comme Lee Harvey Oswald. Levenda regarde aussi le cas d’un mystérieux couple formé de Georg Anton Pöch et de Hella Pöch et il étudie la possibilité que ce couple aurait pu être Adolf Hilter et Eva Braun en fuite sous une fausse identité. Plusieurs autres sujets sont abordés.
Durant cet entretien, Levenda revient brièvement sur les manœuvres de Max von Oppenheim, du renseignement allemand, afin de créer le mouvement djihadiste à l’époque de la Première Guerre Mondiale. Son but était d’utiliser les djihadistes pour contrecarrer les pouvoirs coloniaux de la France et de la Grande-Bretagne. L’auteur présente plusieurs éléments de compréhension mettant en scène le Moyen-Orient de l’entre-deux-guerres. Il attire notre attention sur le fait que plusieurs membres du Parti Nazi, certains de haut rang, ont trouvé des emplois dans des pays du Moyen-Orient et que certains se sont même convertis à l’islam et ont changé leur nom. Johann von Leers, Otto Skorzeny et plusieurs autres sont donnés en exemple. Vers 33:30 de l’entrevue, Levenda raconte une histoire personnelle fort révélatrice. Vers 1969-1970 lors d’un déplacement à New York dans le cadre de ses recherches sur le nazisme, il s’est rendu visiter les bureaux de l’Organisation pour la Libération de la Palestine. Or, rendu sur place, il a été accueilli par une réceptionniste allemande et il a pu constater que beaucoup des gens qui circulaient et entraient dans ces bureaux étaient Allemands… Il affirme aussi que le OLP à l’époque entretenait de bonnes relations avec des pays comme la Syrie et l’Égypte notamment. Pour écouter les trois premières entrevues, veuillez consulter les liens qui suivent.
Cette série d’entrevues avec Peter Levenda réalisée par Dave Emory est l’occasion pour lui de présenter son dernier livre, The Hitler Legacy. Cet ouvrage de recherche présente un monde complexe, dont l’histoire ne se résume pas aux versions simplistes que l’on nous présente souvent. Pour l’auteur, les problèmes que nous rencontrons aujourd’hui ne sont que la continuité de ceux qui se posaient durant et après la Première Guerre Mondiale. À l’époque, les pouvoirs coloniaux qu’étaient la Grande Bretagne et la France, ainsi que la Russie, étaient en conflit avec l’Allemagne pour le contrôle du monde. L’Allemagne a rapidement compris qu’elle pouvait utiliser les frustrations et revendications des populations ayant vécu la colonisation, et en particulier les populations arabo-musulmanes, afin de les fanatiser contre la Grande-Bretagne, la France, la Russie, ainsi que contre les États-Unis et les sionistes, partisans de la création de l’état d’Israël. Des personnages importants de la finance et de l’industrie américaine et allemande, tels Henry Ford, la famille Thyssen et plusieurs autres, conservateurs et anti-communistes, ont prêté main-forte à l’Allemagne dans un effort justement pour freiner l’essor du communisme dans le monde. L’archéologue Max von Oppenheim (probablement du renseignement allemand) aurait joué un rôle important à cet égard en convaincant le Sultan Mehmet V de l’Empire Ottoman, allié de l’Allemagne, de déclarer un djihad mondial contre ces pays, dont nous vivons toute l’ampleur aujourd’hui. T.E. Lawrence (probablement du renseignement britannique) aurait essayé d’utiliser les populations arabo-musulmanes de façon à contrer les efforts de Oppenheim et du Sultan. À la fin de la guerre, Français et Anglais se sont divisés le Moyen-Orient en fonction de leurs intérêts lors du Traité Sykes-Picot, violant ainsi les promesses faites aux populations arabo-musulmanes et juives aussi. La Deuxième Guerre Mondiale n’a rien réglé de façon concrète. Plusieurs criminels de guerre nazis se sont vus offrir l’occasion de s’enfuir en sûreté à l’étranger, par le biais de ce qu’on appelle communément les « ratlines ». Certains se sont convertis à l’islam. Beaucoup ont trouvé de nouveaux emplois dans des gouvernements ou des agences de renseignement de par le monde. Ainsi, la nébuleuse fasciste et/ou nazie a pu continuer d’exister, dans l’underground jusqu’à tout récemment, et c’est cette nébuleuse que l’on voit refaire surface aujourd’hui sous la forme des islamistes/djihadistes. Beaucoup d’éléments sont apportés durant ces entrevues de haute qualité qu’il serait trop long d’énumérer. Il est indéniable que le livre de Peter Levenda est de fort calibre. Dave Emory lui attribue la note de cinq étoiles, ce qui est sûrement pleinement mérité. En compagnie du merveilleux livre de John Loftus The Secret War Against the Jews, ces deux ouvrages de recherche constituent sans doute les sources de renseignement les plus fiables, véridiques et pertinents pour comprendre l’histoire du vingtième siècle et notre situation actuelle. Le silence médiatique entourant ces deux livres, j’imagine, en est la preuve irréfutable. Je vous invite donc à prendre le temps d’écouter les entrevues et de lire les textes associés. Beaucoup d’éléments doivent être compris à la fois. Deux autres entrevues sont planifiées pour bientôt avec l’auteur, qu’il me fera plaisir de vous proposer quand elles seront disponibles. Bonne écoute.
Ces deux chercheurs de grand talent nous présentent ici, dans un entretien accordé sur les ondes de Radio Courtoisie, leurs travaux d’exégèse et de théologie sur le coran et les origines historiques de l’islam. Ils s’appuient tous les deux sur les travaux du Père Edouard-Marie Gallez. Olaf a publié Le grand secret de l’islam, disponible en format Scribd, PDF ou en version publié que l’on peut commander. Leila Qadr a publié en compagnie de Arrun Amine Saad Edine Les trois visages du coran. Nous aurions tous intérêt à lire ces deux livres qui semblent tout à fait remarquables. D’entrée de jeu, je dois dire qu’il est plus qu’évident que cette entrevue, bien qu’excellente, ne rende pas justice à la complexité du sujet. Il s’agit véritablement de recherches universitaires poussées et techniques sur des textes anciens et le travail s’est certainement révélé aussi ardu que cela a pu l’être pour la Torah ou le Nouveau Testament. Le petit résumé que je vous présente ici a donc davantage pour fonction de vous mettre l’eau à la bouche plutôt que de prétendre faire le tour de la question. En gros, ces deux auteurs, inspirés du Père Edouard-Marie Gallez, ont refait le travail qui avait été fait par les exégètes par exemple des écoles historico-critique et de critique textuelle sur les textes du Nouveau Testament. Ils ont tenté d’identifier les différentes strates du texte, les différentes versions du coran, en appliquant les méthodes historique et philologique. De ces travaux s’est dégagé l’impression d’une imposture historique, alors que beaucoup d’éléments du coran ou d’événements qui y sont racontés semblent avoir été falsifiés sous l’impulsion de certains califes ou pour d’autres raisons. Pour donner quelques exemples concrets, les recherches tendent à démontrer qu’un nombre important de groupes religieux existaient dans les premiers siècles de notre ère et que ces groupes formaient une mosaïque impressionnante tranchant avec le simplisme avec lequel on nous présente les débuts du christianisme et de l’islam. Judéo-chrétiens, nazaréens, judéo-nazaréens, juifs chrétiens, sont autant de noms qui les désignent. Aussi, fait très intéressant, les deux chercheurs présentent Mahomet comme étant non pas l’envoyé d’une nouvelle loi mais plutôt comme un des nombreux prêcheurs de l’époque qui annonçaient le retour de Jésus, retour qui était supposé être imminent. L’idée de la supériorité des musulmans sur les non-musulmans serait donc une invention postérieure à l’époque contemporaine de Mahomet. Autre fait révélateur, selon les chercheurs la prière de l’époque était tournée vers Jérusalem, alors qu’aujourd’hui elle lui tourne le dos. Avant de vous laisser, je vous invite à consulter cet article précédent où vous pourrez écouter le blogueur Aldo Sterone vous expliquer ce qui est arrivé concrètement aux membres de la famille de Mahomet et à ses partisans. Je pense que l’on peut dire qu’il y a eu un genre de putsch pour mettre de côté l’enseignement originel des débuts de l’islam et ceux qui en faisaient la promotion. Et cela fait curieusement penser à ce qui est arrivé dans le christianisme, alors que le Vatican s’est constitué en autorité suprême, avec toutes les richesses, les pouvoirs et les avantages que cela comporte, mais bien loin des enseignements réels de Jésus. C’est curieux comment l’histoire se répète. Un entretien à écouter absolument.
Dans ces deux excellentes vidéos, Aldo Sterone amène des éléments de compréhension très importants mettant en relief les bases historiques du conflit entre les chiites et les sunnites. Sterone nous ramène aux débuts de l’islam, à l’époque où il restait encore quelques survivants de l’époque de Mahomet, surnommés « les gens de la maison » ou partisans de Ahl al-Bayt. Ces gens ont des supporteurs dans la région de l’Arabie. Le calife de l’époque résidant à Damas et qui règne sans reconnaître la légitimité des descendants biologiques de Mahomet, décide d’organiser une procession macabre afin de donner un exemple de sa puissance. Il envoie des guerriers couper les têtes de certains appartenant aux « gens de la maison » et les fait promener de Karbala à Damas sur un trajet de 1000 km, les têtes plantées sur de pics, afin d’humilier la famille du prophète. Dans la deuxième vidéo, Sterone insiste davantage sur les viols de masse qui ont eu lieu alors. Le blogueur fait aussi le parallèle avec la situation actuelle où l’on voit l’État islamique se comporter en Syrie et en Irak de la même manière que voilà quatorze siècles et fait remarquer que la violence islamique est surtout le fait des sunnites de par le monde. Pour ma part, dans ce contexte, je me demande également si, par hasard, on ne pourrait pas considérer le phénomène des « caricatures de Mahomet » comme étant de la propagande sunnite destinée, de la même façon, à humilier les chiites, i.e. les descendants de la famille du prophète, que l’on retrouve en Iran principalement, en Irak et dans les environs. Les leaders du monde sunnite ont peut-être l’impression qu’ils ont besoin de réaffirmer leur domination politique et religieuse sur les chiites à un moment où le Moyen-Orient entre en guerre de façon active. Excellent travail.
Il y a de la vie intelligente sur Terre depuis des centaines de milliers d’années, sinon des millions. L’homme moderne est extrêmement prétentieux lorsqu’il pense que c’est LUI qui a inventé la civilisation. L’être humain n’est pas le créateur de la civilisation, il en est le porteur et le transmetteur. C’est pourquoi notre génération a le devoir de transmettre à son tour les valeurs, le savoir et les technologies de la civilisation à ceux qui vont nous succéder. Cette pyramide ou structure sous-marine dans le secteur de l’Île d’Okinawa au Japon témoigne que plusieurs sociétés et cultures ont vécu avant nous et qu’elles ne nous ont pas été nécessairement inférieures. Ce bloc de pierre découvert par le plongeur sous-marin Kiharchiro Aratake en 1987 est d’une proportion gigantesque. Il rappelle d’autres structures de pierre que l’on peut retrouver ailleurs sur le globe, comme par exemple celles de l’Île de Pâques, le Temple du Soleil au Pérou, les pierres de Stonehenge, etc. Aussi, il donne crédit aux récits d’une île ou continent disparu comme l’Atlantide ou le Continent de Mu, quoique dans le cas qui nous préoccupe, comme il s’agit de l’Océan Pacifique, le Continent de Mu serait une meilleure piste. Le professeur japonais Masaaki Kimura a étudié le site avec attention, ainsi que l’auteur de science non-conventionnelle Graham Hancock. Ils nous font part ici de leurs réflexions dans ces documents. Le temps de parole du professeur Masaaki Kimura est plus important dans le second vidéo cependant, même s’il est plus court.
Entre autres sujets sont abordés le pacte germano-soviétique, la partition de la Pologne durant la Deuxième Guerre Mondiale, le rôle joué par Harry Hopkins dans l’avancée de l’agenda soviétique, ainsi que le rôle similaire joué par Valerie Jarrett auprès d’Obama. Retrouvez l’entrevue au premier segment.
Dans la troisième partie de cette série, je vous parlais d’une tradition du Cachemire qui prétend que Jésus y aurait été formé dans des écoles bouddhistes de l’âge de 14 à 29 ans, avant de se rendre en Israël. Plus tard, ayant survécu à la crucifixion, il y serait retourné pour y finir ses jours. Je vous propose maintenant un autre documentaire qui va un peu plus loin dans le détail. Ce vidéo s’arrête davantage sur sa présence en Asie comme telle. Jésus aurait en fait voyagé dans plusieurs pays d’Asie afin de s’imprégner des diverses traditions religieuses présentes, comme la Perse, le Népal, l’Inde, l’Afghanistan et le Cachemire bien sûr. Les voyageurs et pèlerins de l’époque empruntaient la Route de la soie à partir du Proche-Orient en direction de l’Extrême-Orient. Ils avaient ainsi l’occasion de faire des escales dans plusieurs régions dont les cultures, les religions et les traditions étaient souvent assez différentes les unes des autres, ce qui provoquait un brassage d’idées spectaculaire. J’imagine facilement qu’il était commun pour des voyageurs déterminés de faire des périples semblables à une époque ou ni l’avion ni le bateau transatlantique n’existaient. De plus, on sait déjà que de petits périples se faisaient à l’intérieur du bassin méditerranéen. On allait d’Israël ou de l’Égypte vers l’Asie Mineure, ensuite vers la Grèce ou Rome, et on revenait chez-soi. Le monde de l’Antiquité n’était pas fermé comme on se plait à se le représenter aujourd’hui.
Un autre aspect intéressant du documentaire qui est à souligner ici, est la référence qui y est faite aux « tribus perdues » d’Israël. Au nombre de 12 au total, la plupart ont été déclarées « perdues » au fil du temps pour diverses raisons. Le documentaire offre un début de réponse en disant qu’elles se sont peut-être installées le long de la Route de la soie. On affirme même que certaines tribus talibanes de l’Afghanistan auraient justement des origines juives. Les images présentées par le documentaire montrent effectivement certaines ressemblances entre la population afghane et le type de visage que l’on reconnaît à la population juive. Évidemment, des tests génétiques poussés devront être faits pour déterminer si c’est le cas. D’autres populations de la Route de la soie comme les Kurdes, par exemple, pourraient faire l’objet de semblables tests. Quoi qu’il en soit, le Sanctuaire de Rozabal au Cachemire, qui contiendrait les restes du corps de Jésus, continuera de nous intriguer pendant longtemps. Pour le moment, les autorités locales ne semblent pas prêtes à permettre que l’on ramène à la surface le tombeau en question pour faire les analyses nécessaires. Pourtant, ce n’est qu’à ce moment-là que l’on aura le cœur net…
Vers la fin du documentaire quelques phrases de rectitude politique et de pensée rose-bonbon sont lâchées par le narrateur, comme quoi toutes religions se vaudraient, qu’elles seraient toutes semblables ou auraient le même message. C’est évidemment totalement faux. Les religions sont toutes différentes les unes des autres, c’est justement pour cela qu’elles existent. Pratiquer l’équivalence morale est un sport dont les hommes modernes semble ne pas pouvoir se passer. La force de ce documentaire est justement de montrer que l’enseignement de Jésus a une valeur non pas parce que ce dernier serait ressuscité des morts mais en raison de sa vie même. Jésus a voyagé beaucoup et s’est imprégné des différentes cultures qu’il a croisées. Il a ensuite communiqué aux hommes le meilleur de ce qu’il a appris, sans mentir ni sur les différences et la spécificité des choses ni sur leur valeur intrinsèque.
Excellente intervention ici de François Asselineau, président de l’Union Populaire Républicaine. L’essentiel de sa conférence porte sur les manœuvres économiques effectuées par les États-Unis au cours des décennies pour pouvoir conquérir ou soumettre d’autres états sans avoir à faire la guerre sur le plan militaire. Notamment, l’instrument du « libre-échange » est utilisé afin de forcer ces autres états à adopter des politiques économiques et sociales qui avantagent les États-Unis. Fait intéressant, Asselineau fait remarquer que George Washington, porte-étendard de la Révolution Américaine, avait sous sa gouverne plus de 300 esclaves. Aussi, cette Révolution a été précédée par le mouvement du Boston Tea Party qui était en révolte contre l’imposition d’une taxe par le gouvernement britannique. La « liberté » qui était revendiquée par la Révolution Américaine, contrairement à la Révolution Française, était bel et bien de nature économique et non pas individuelle ou sociale. Asselineau commence sa conférence en rappelant les propos de François Mitterrand qui avait déclaré à la fin de sa vie, en substance, que les États-Unis menait une guerre contre la France, une guerre invisible, sans victimes directes. Il rappelle aussi les propos tenus par le Président Andrew Jackson sur l’importance du libre-échange pour les États-Unis, ainsi que ceux de l’agent secret américain I.D. Andrews. Ce dernier, dans un rapport présenté au Département d’État le 13 mai 1854, affirme avoir corrompu divers responsables publics du Canada dans le but soit d’annexer le pays ou de le soumettre par la voie du libre-échange. Andrews affirme également avoir pris des mesures pour « modérer » l’opposition, « tranquiliser » l’opinion publique et éviter que tout débat n’ait lieu sur la proposition de libre-échange. En gros, on peut voir facilement que ce qui se cache derrière l’enfumage des propositions de libre-échange, c’est toujours la même chose: Conquérir ou soumettre d’autres pays par la voie économique sans avoir à faire la guerre militaire. Il est grand temps que les peuples, souverains, se lèvent et mettent un terme à ces entreprises destructrices.