Alex Jones fait un résumé des enjeux géopolitiques actuels et de la guerre larvée avec la Chine

Alex Jones nous présente ici le meilleur épisode qu’il m’a été donné de voir de son émission. Entre autres points pertinents, Alex Jones affirme que la CIA a été créée en fait par le renseignement britannique. Et cela fait beaucoup de sens. Pensez-y. Les patriotes américains ont fait la révolution et déclaré l’indépendance en 1776, contre la volonté de la Grande-Bretagne et de la famille royale. On peut se douter que la famille royale et les responsables politiques anglais n’ont jamais accepté en fait de voir un grand territoire plein de ressources comme les États-Unis sortir de l’Empire. Et on peut parier qu’ils ont dès lors décidé de faire une guerre sans répit à la nouvelle république dans le but de reconquérir le territoire. On pourrait donner des dizaines d’exemples. Je vais en donner un qui vaut mille mots. Comment était surnommée la vague de groupes rock progressifs anglais qui a déferlé sur les États-Unis à la fin des années ’60 début ’70? The British Invasion, l’invasion britannique. Et ce n’était pas une figure de style. Ces groupes, qui étaient tous excellents soit dit en passant, proposaient essentiellement un mode de vie basé sur la prise de drogues et le rejet des valeurs traditionnelles. Parfaits pour une invasion.

Un autre élément pertinent du dossier est révélé par la manie qu’ont les politiciens américains de toujours blâmer la Russie pour quoi que ce soit. Il s’agit en fait d’une diversion puisque ces derniers savent très bien depuis longtemps que la force subversive qui attaque continuellement les États-Unis se trouve au Royaume-Uni, pour les raisons que j’ai évoquées. Mais, comme politiquement il est impossible de l’avouer publiquement, les néo-cons et apparatchiks socialistes américains font porter le chapeau à la Russie. Il est clair que la CIA, qui a succédé à l’OSS, a été créée pour renverser les États-Unis de l’intérieur. ll s’agit d’un état à l’intérieur de l’état qui ne rend de comptes qu’à lui-même. La Présidence de Donald Trump en a été une démonstration flagrante. La Chine communiste a été créée par les réseaux mondialistes de façon à faire effondrer les États-Unis pour mettre en place un gouvernement mondial communiste. Alex Jones explique ici les différents aspects de cette joute géopolitique.

Ken Pereira analyse la manufacture du désespoir et de l’espoir par la CIA

Ne manquez pas cette émission du Stu-Dio avec Ken Pereira. Pereira analyse comment la CIA manipule le mental des populations en les amenant à ressentir tantôt de l’espoir, tantôt du désespoir dans le but de les déstabiliser, de leur faire perdre du temps sur des voies sans issue, etc. La CIA est devenue experte en manipulation au fil des années et aujourd’hui, on dirait qu’elle passe la majeure partie de son temps à essayer d’influencer les élections et la politique partout dans le monde, à intervenir sur ce qui se passe dans d’autres pays et à dicter le cours des événements. Pour ma part, j’en viens à la conclusion que la transformation de l’OSS, the Office of Strategic Services, en ce qui sera appelé la CIA, s’avère, avec le recul, une véritable castastrophe. Cela n’est pas sans rappeler la destruction des Templiers au XIVème siècle et leur remplacement de facto par la Compagnie de Jésus d’Ignace de Loyola au XVIème. Bien que le langage utilisé pour les présenter puisse sembler similaire, les Templiers et les Jésuites sont complètement différents dans leur nature intrinsèque. L’histoire se répète. Des organisations à saveur patriotiques et nationalistes sont souvent remplacées ou transformées dans de nouvelles structures qui ont une raison d’être et des buts complètements inverses. N’oublions jamais que le mot catholique veut dire «universel». On ne peut défendre adéquatement son pays ou sa civilisation si l’on a idéal universaliste qui est au-dessus. En passant, je souligne que le Pape François est un Jésuite. À voir absolument.

Pierre Jovanovic: Les ressemblances entre l’Europe d’aujourd’hui et la République de Weimar

Dans cet entretien, Pierre Jovanovic présente son nouvel ouvrage intitulé Adolf Hitler ou la revanche de la planche-à-billets. Il y développe l’idée, qui devrait être évidente pour tout le monde mais qui ne l’est pas, malheureusement, que c’est l’effondrement de la monnaie allemande qui a amené Hitler au pouvoir. L’histoire officielle passe rapidement sur l’effondrement de la monnaie et de l’économie allemandes pour s’acharner presque exclusivement sur l’antisémitisme du régime nazi. On nous répète sans cesse que c’est l’antisémitisme virulent d’Hitler qui lui a permis de prendre le pouvoir. Cependant, un examen sérieux permet de douter de cette thèse. Quand on analyse les causes des guerres, de toutes les guerres, on se rend rapidement compte que ce sont toujours des considérations matérielles et économiques qui en sont le moteur. Après, les belligérants trouvent des raisons morales, religieuses et politiques pour les justifier. Si la République de Weimar avait continué de progresser sur le plan économique, Hitler serait resté dans son coin à détester les Juifs et rien ne serait arrivé. On ne connaîtrait même pas son nom aujourd’hui. L’argent est le nerf de la guerre. C’était vrai au temps de Cicéron, ce l’est encore de nos jours. Or, les Européens et les Nord-Américains sont en train de répéter les mêmes erreurs que celles qui ont été commises par la République de Weimar. Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, on peut avoir des craintes sérieuses sur l’avenir du système financier. C’est tout ce contexte politico-économique, riche et complexe, que Jovanovic analyse ici dans ce livre qu’il nous présente sur les ondes de TV Libertés.

Documentaire sur le massacre d’Odessa du 2 mai 2014…

Ce documentaire sur le Massacre d’Odessa survenu le 2 mai 2014 est absolument incroyable par sa vérité. Il nous montre combien nous vivons dans un monde orwellien où les faits sont complètement renversés, où le mensonge devient vérité. Le film n’a pas passé à travers le prisme déformant ni des médias de masse, ni de la propagande du régime de Kiev ou de celle de l’Occident ni d’intérêts privés. Avant de vous laisser regarder le document, quelques observations et remarques sont de mise. Tout d’abord, on doit rappeler encore une fois que l’Administration Obama a laissé un régime nazi prendre le pouvoir à Kiev suite au putsch du Président en poste, Viktor Ianoukovytch. Certains groupes néo-nazis comme Pravy Sektor et Svoboda composent aujourd’hui une bonne partie des forces vives du pouvoir en place. Avant même les événements du Maïdan, il faut savoir que depuis plusieurs années la Russie avait de la difficulté à se faire payer par l’Ukraine ses livraisons de gaz naturel. En 2010, la Russie avait même consenti à accorder une baisse de 30% du prix facturé. Ce conflit commercial a certainement mis la table pour la crise majeure que nous vivons aujourd’hui, sans parler des autres différents projets de pipelines et de gaz qui continuent à jouer en coulisse du conflit. Aussi, alors que la Russie essaie de garder l’Ukraine dans son giron géo-politique, les États-Unis voudrait bien amener celle-ci dans l’OTAN, ce qui est hors de question pour Moscou. De plus, la situation géographique stratégique de la Crimée dans le déploiement de la marine russe fait en sorte qu’il est impossible pour le Kremlin d’accepter l’annexion de l’Ukraine à l’Europe occidentale, annexion qui serait devenue de facto avec l’entente de libre-échange avec l’Union Européenne. Comme le Président Ianoukovytch a finalement décidé de ne pas aller de l’avant avec le traité de libre-échange, une réaction s’est alors produite dans les rangs des partisans de l’Union Européenne et de l’Occident en Ukraine. Le clash survenu ensuite entre ces derniers et les partisans de la Russie n’était que la conséquence inévitable.

D’autre part, je crois qu’il est bon d’attirer l’attention des internautes sur le non-verbal que l’on peut voir dans le documentaire. Le premier élément que l’on doit mentionner est le degré d’endoctrinement des partisans du régime de Kiev. Leur hostilité, leur rage, leur violence n’a rien à envier aux islamistes. La fureur avec laquelle ils ont brûlé la Maison des Syndicats, avec laquelle ils ont tué, massacré ceux qui s’y étaient réfugiés n’a rien à envier aux combattants de l’État Islamique. Les activistes antifascistes qui se trouvaient dans la Maison des Syndicats ont été tué parce qu’ils ne voulaient pas d’un régime nazi au pouvoir dans leur pays et parce qu’ils aimaient la langue russe et la Russie. C’est incroyable de concevoir cela mais ce sont les faits. Autre élément important, on peut facilement noter que les partisans de Kiev sont aux prises avec un délire mystico-politique. Ils n’agissent plus dans la sphère rationnelle et sont donc très dangereux. Le documentaire montre des processions au flambeau nocturnes, rappelant celle du Parti Nazi allemand. Les mêmes causes entraînant les mêmes effets, on peut craindre que cela aura des conséquences extrêmement graves pour le pays et sa population. Par exemple, dans le documentaire, selon la traduction française qui est fournie ici, on entend souvent les partisans du régime de Kiev référer aux Russes en utilisant le terme de « Moskals », dans des phrases du genre « Moskals au couteau ». Les Russes seraient-ils devenus pour le régime néo-nazi de Kiev l’équivalent de ce qu’étaient les Juifs en Allemagne dans les années 1930 et 1940? Le massacre de la Maison des Syndicats est certainement l’indicateur que les Russes, dans une Ukraine gouvernée par les forces présentement au pouvoir, seront systématiquement harcelés et persécutés, pour ne pas dire carrément massacrés. Ceci devrait faire réfléchir un bon nombre de nos leaders occidentaux qui, curieusement, semblent souffrir d’aveuglement volontaire sur ce sujet.

Dans un autre ordre d’idées, on peut se poser des questions sur le rôle de la police et des pompiers dans ces événements. Pour donner l’exemple du Canada, il n’est pas rare que la police intervienne pour encadrer ou superviser des manifestations politiques diverses. Quelques citoyens manifestent leurs idées politiques de façon publique et hop! des voitures de polices débarquent. Or, dans le cas de l’incendie de cette Maison des Syndicats, la police était curieusement absente. Elle ne s’est présentée que longtemps après le début des événements, alors qu’il était trop tard en fait. Un des témoins interviewés pour le documentaire, et que l’on peut écouter environ vers 1h00minute, nous apprend entre autre que les pompiers se sont présentés sur les lieux mais qu’ils n’avaient pas d’eau dans leur camion… Aussi, vers 44:00 minutes, on peut voir des gens se promener à l’intérieur de la Maison des Syndicats, y déplacer des objets, faire des fouilles, etc. Il s’agit pourtant là d’un incendie criminel où des gens ont été tués, certains par les flammes mais d’autres achevés à l’aide d’armes en métal ou même de fusils. En d’autres termes, il s’agit d’une scène de crime qui n’est pas protégée… Il me semble qu’il n’est pas nécessaire d’avoir fait son cours de police au FBI pour savoir que l’on doit protéger une scène de crime, afin justement de recueillir les indices, les preuves, etc. On peut donc se poser des questions sur le degré de complicité du régime de Kiev dans ces événements, alors que les brutes qui ont commis le massacre venaient apparemment de l’extérieur de la ville d’Odessa. La grande question qui résume toutes celles-ci est la suivante: À quoi peuvent bien penser les leaders occidentaux qui appuient le régime actuellement au pouvoir à Kiev? L’animateur radio Dave Emory a produit plusieurs émissions et écrit plusieurs articles sur le dossier de l’Ukraine, que vous pourrez retrouver dans l’article suivant.

Learn more about Operation Golden Lily with Dave Emory on For the Record

FTR #451 Petals from the Golden Lily

November 22nd, the anniversary of the assassination of JFK: An occasion to discover the works of Mae Brussel

One of the first individuals to have researched and studied the assassination of President JFK is Mae Brussel, an American women and radio host who dedicated her life to unmask the Underground Reich, literally a Third Reich gone underground at the end of WWII. In the tradition of pioneer American journalists such as Edward R. Murrow and Paul Manning, Mae Brussel opened a whole field of research that we could label as « fascism studies », or in other terms, the intellectual and scientific study of the political and ideological movement called fascism, which is far from being dead. On the contrary, it is on the rise due to the state of deep sleep in which the populations of the world are, especially in the « free » world. Fascism, functioning like a mafia in its underground phase, is slowly gangrening, corroding, corrupting, decomposing the societies of the world and especially « free » democracies. The works of Mae Brussel inspired other reseachers, radio hosts and writers, such as the excellent anti-fascist researcher Dave Emory, and more recently top-of-the-notch journalist and writer Russ Baker in a marvelous book titled Family of Secrets, an incredible research endeavour on the history of the Bush family and the links they entertain with the milieu surrounding the assassination of President Kennedy. Mae Brussel died of cancer in 1988. So please, take a few moments to get acquainted with this amazing women. I provide here the link to her website, maintained by Tim Canale, and another one to an article that she wrote originally for The Rebel publication that relates specifically to the assassination of President Kennedy and the Underground Reich.

MaeBrussel.com

The Nazi Connection to the John F. Kennedy Assassination