Marine Le Pen, invitée de Renaud Blanc avec LCI par radioclassique
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Marine Le Pen sur Europe 1 – 12 septembre 2014
La planche à billets en France dans les années précédant la Révolution
Max Keiser et James Turk s’entretiennent ici des problèmes financiers et économiques qui affectaient la France dans les décennies précédant la Révolution. Pour stimuler l’économie, le gouvernement français avait décidé d’émettre des actions appuyées sur les promesses de richesses de la région du Mississippi. Avec le temps, la valeur de ces actions a diminué énormément, menant à une panique bancaire. L’utilisation de l’or et de l’argent comme monnaies était prohibé par une loi. Beaucoup de citoyens se sont vus alors floués de leurs pensions. Plus tard, l’Assignat, une monnaie de type « fiat », a été créé lors de la Révolution. L’Assignat était un certificat qui était remis aux citoyens pour signifier qu’ils possédaient une partie du trésor public, dans ce cas-ci les biens de l’Église Catholique saisis. Avec le temps, de plus en plus d’Assignats étaient émis, ce qui diminuait évidemment la valeur de cette monnaie de papier. Un crash bancaire se produisit encore une fois, ruinant beaucoup de gens et reproduisant ainsi la Bulle du Mississippi de 1720. Plus tard, une autre monnaie semblable apparut, le Mandat National. L’histoire se répète. Comme on le voit, la planche à billets avait été essayée en France voilà plus de deux siècles et cela n’avait pas marché. Les États-Unis, qui font fonctionner la planche à billets au maximum, se dirigent vers un crash imminent puisque les mêmes causes entraînent les mêmes effets. Aussi, fait intéressant à noter, lors de la crise financière de 2008, il est apparu ce que l’on a appelé au Québec les « papiers commerciaux », c’est-à-dire des dettes adossées à des actifs, comme de l’immobilier. Or, c’est justement ce que le gouvernement révolutionnaire avait fait, vendre des certificat adossés aux biens de l’Église saisis, ce qui n’empêcha pas le système financier de s’effondrer. Notons aussi que lors de l’émission des actions de l’État en 1720, beaucoup ont perdu leur pension, ce qui rappelle la perte de 40% du portefeuille de la Caisse de Dépôt et de Placement du Québec. Les humains répètent les mêmes erreurs inlassablement.
L’Assemblée Nationale du Québec exige à l’unanimité que la lumière soit faite sur le rapatriement de la Constitution canadienne
Marion Maréchal – Le Pen défend la souveraineté de la France à l’Assemblée Nationale
La dégringolade idéologique de Québec Solidaire: La « khadirisation » de la vie politique québécoise
Le site web vigile.net parle d’Amir Khadir comme d’une « énigme ». C’est certainement une bonne image. En effet, les actions de ce député sont très étranges, voire opaques à la compréhension. Ses prises de position contre Israël et la boutique de souliers Le Marcheur tiennent réellement du suicide politique. Depuis le début de la campagne de salissage contre Israël et contre ce commerçant du Plateau Mont-Royal qu’il a initiée en octobre 2010, Amir Khadir n’a fait que s’enliser encore davantage, jour après jour, dans le ridicule, l’obscène, le pathologique et le scandaleux. À telle enseigne que maintenant il n’a plus aucune crédibilité, si tant est qu’il en a jamais eu pour commencer. Depuis qu’il a été élu à l’Assemblée Nationale, Amir Khadir n’a fait qu’encourager la classe politique québécoise et la population du Québec à jouer dans leur caca. Si vous me permettez de créer un nouveau mot, je dirais que c’est toute la vie politique québécoise qui a été « khadirisée ». Depuis qu’il a fait son entrée au Parlement québécois, on ne fait que parler d « enveloppes brunes », d’allégations de corruption, de pressions indues, de retours d’ascenseur, d’obtentions de contrats sans appel d’offres, etc. Pendant ce temps-là, rien n’avance. La province est au point neutre. Je vous propose, afin que vous aider à continuer votre réflexion sur l’ « énigme » Khadir, deux articles du site web vigile.net. Si vous pensez avoir percé le mystère…laissez un commentaire. Je joins également un article précédent sur les frasques du 15 mai dernier, le jour de la commémoration de la Nakba, de ce bon partisan islamo-gauchiste.
Le Parti Libéral du Québec et la mafia: une campagne de salissage signée « la gauche »
© Andrew Khritin | Dreamstime.com
Pendant tout l’automne 2010, les médias québécois n’ont pas dérougi d’allégations, de rumeurs, d’accusations de toutes sortes de corruption concernant le Parti Libéral et l’industrie de la construction du Québec. Le syndicat représentant le monde de la construction, la FTQ, a été mêlé de force à toutes ces histoires. Les médias parlaient régulièrement d’ « enveloppes brunes » remises par des firmes d’ingénierie ou de construction à des collecteurs de fonds du Parti Libéral. Au fil des semaines, une véritable atmosphère d’inquisition, de suspicion et parfois même de paranoïa s’est emparée de l’Assemblée Nationale, alors que les différentes allégations nous rappelaient étrangement le scandale du Watergate aux États-Unis. Mais alors que l’ambiance se détériorait à l’Assemblée Nationale, bien peu se demandaient qui pouvait bien être le chef d’orchestre de toute cette opération de propagande. Car c’est bien de ça au fond qu’il s’agit ici: une campagne de salissage contre le Québec, dont on a fait du Parti Libéral la tête de Turc.
D’abord, réglons tout de suite un chose: tous les États, sans exception, entretiennent des liens avec la mafia. Comme on l’a vu lors de l’affaire Iran-Contra aux États-Unis, l’argent de la drogue peut servir parfois à financer la guérilla clandestine contre le communisme. Des relations existent donc bel et bien entre les États modernes occidentaux et le monde interlope, et le Québec ne fait pas exception à cette règle. Le fait de souligner ces liens alors qu’ils sont en fait la norme dans tous les pays du monde ne peut donc que servir un but de propagande, à savoir le salissage de la classe politique québécoise. Continuer la lecture
Baat Ye Or: La trahision d’Israel par l’Union européenne et la campagne de salissage sponsorisée par l’O.C.I.
Visionnez cette excellente conférence de Baat Ye Or sur la campagne de délégitimation d’Israël au profil de la Palestine. Le choix qu’a fait l’Europe de favoriser la Palestine au détriment d’Israël s’inscrit dans une stratégie politique face à l’O.C.I., l’Organisation de la Conférence Islamique. L’O.C.I. veut faire de Jérusalem, ou plutôt Al Kods, la capitale de la Palestine. Elle tente de faire rencontrer la théologie, le politique et le juridique de tout le monde islamique pour atteindre ce but. Cette campagne de délégitimation en cours déjà depuis plus de trente ans en Europe, a pris une tournure mondiale récemment avec la campagne BDS, Boycott-Désinvestissement-Sanctions, dont un des chapitres est actif à Montréal au Canada sous la gouverne du groupe le PAJU et avec la bénédiction d’un membre de l’Assemblée Nationale du Québec, Amir Khadir. Franchement, cette campagne n’est rien d’autre que du salissage et de l’antisémitisme le plus crasse. À voir absolument.
5 – Baat Ye Or from Raison Garder on Vimeo.
La motion du député de Shefford, François Bonnardel, en appui à la boutique Le Marcheur
La motion a été présentée mercredi le 9 février par le député de l’ADQ. Elle a appellé tous les membres de l’Assemblée nationale à appuyer la boutique Le Marcheur face aux menaces et tactiques d’intimidation du PAJU et d’Amir Khadir. Elle a souligné également l’entente de coopération qui existe entre le Québec et Israel depuis 1997. La motion a été adopté à l’unanimité, à l’exception évidemment d’Amir Khadir qui a voté contre. Dans un communiqué, Québec Solidaire essaie de réparer les pots cassés et de se faire presque passer en victime dans le dossier des manifestations contre la boutique Le Marcheur. Mais le fait demeure que tous ont pu voir le vrai visage d’Amir Khadir dans cette affaire. Voici le communiqué si cela vous intéresse vraiment de le lire.
motion_du_depute_de_shefford_sur_le_marcheur_une_motion_trompeuse_
Les Sikhs sont-ils capables de faire des accommodements?
Cette semaine, un groupe de quatre Sikhs s’est fait refuser l’accès à l’Assemblée nationale parce qu’ils désiraient entrer avec leur kirpan. Ils venaient y présenter leur mémoire sur le projet de loi 94 sur les accommodements religieux… Tarek Fatah nous rappelle sur sa page facebook que le kirpan n’est pas autorisé au Parlement de l’Inde…et on devrait l’autoriser ici? Parce que, pour continuez l’histoire, les Sikhs sont repartis penauds leur kirpan à la ceinture…En d’autres termes, ils auraient pu donner l’exemple en laissant leurs armes à la sécurité pour les reprendre en sortant. Je pense que, symboliquement, pour faire avancer leurs propos, ils auraient pu utiliser ce geste pour démontrer leur bonne foi. Mais non…car après tout, ce sont les autres, les occidentaux, qui doivent faire des accommodements, pas les Sikhs…