Le choix du Texas et de la Floride par Bill Gates n’est pas dû au hasard. Beaucoup de patriotes et de guerriers de la réinformation aux États-Unis ont leur résidence ou leur studio d’enregistrement ou de diffusion dans ces états. Aussi, suite à la prise de contrôle de certains états ou comtés par les Démocrates et de l’effondrement social qui s’en est suivi, beaucoup de patriotes ont déménagé pour s’établir soit dans le Mid-West, au Texas ou en Floride. Je rappelle également que l’ancien Président américain Donald Trump et le candidat à la présidence et Gouverneur Ron DeSantis ont leur résidence en Floride. Cela fait beaucoup de ‘bonnes’ raisons pour Bill Gates de relâcher ces moustiques dans ces états. Wake up America!
Archives par mot-clé : Démocrates
Ken Pereira présente le phénomène des tueries de masse
Ken Pereira présente l’Amérique de Joe Biden
Le Président Trump remet les pendules à l’heure sur les récentes élections présidentielles
Réunion publique du Président Trump à Harrisburg, 29 avril 2017
Le Président Trump a tenu cette réunion publique pour souligner les 100 jours de son administration et pour honorer sa promesse de boycotter le dîner des correspondants de la Maison-Blanche.
James Simpson présente son nouveau livre « The Red-Green Axis »
Ce livre traite de l’alliance historique entre les forces de la gauche politique et celles de l’islam, représentées respectivement par les couleur rouge et vert. Il couvre également la question de l’immigration et des réfugiés, alors que ces derniers semblent être utilisés pour changer la démographie des pays occidentaux. En termes clairs, l’immigration est utilisée par les hautes sphères des partis de gauche occidentaux — Démocrates, Socialistes, Communistes, etc — pour se créer une clientèle électorale qui votera pour eux jusqu’à la fin des temps. Simpson relève aussi le rôle joué par l’Organisation de la Conférence Islamique des Nations Unies, dans l’orchestration de cette tactique de guerre. Écoutez-le ici au micro de Frank Gaffney.
Entrevue avec Trevor Loudon sur les liens entre l’Union Soviétique et l’islam
Cette excellente entrevue avec l’activiste politique et blogueur Trevor Loudon brosse le tableau des liens étroits existant entre les fondamentalistes islamistes et les mouvements, partis, régimes et pays communistes et/ou socialistes. Il a présenté les fruits de sa recherche dans un livre intitulé The Enemies Within: Communists. Socialists and Progressives in the U.S. Congress. La thèse du livre, en gros, est que l’Union Soviétique n’a cessé depuis la fin de Deuxième Guerre Mondiale d’infiltrer l’Occident, en particulier les États-Unis, afin de se livrer à du sabotage de l’intérieur. Depuis la chute du Mur de Berlin, la Russie continuerait de se livrer à cette infiltration et ce sabotage par l’emploi des fondamentalistes islamistes. Durant cette entrevue d’une heure avec Frank Gaffney, l’auteur donne plusieurs exemples pour étayer son propos, notamment l’activité de groupes comme ACLU, le Council for a Livable World, celle d’oligarques comme George Soros et de politiciens comme Barack Obama. Le travail de Loudon complète bien les travaux de Diana West sur l’infiltration communiste des États-Unis, qu’elle a merveilleusement bien campé dans son livre American Betrayal: The Secret Assault on Our Nation’s Character. Ces deux livres donnent l’autre côté de la médaille expliquant l’effondrement de l’Occident. Dernièrement, je vous ai présenté une série d’entrevue avec l’auteur Peter Levenda sur le monde underground nazi de l’après-guerre dans son livre intitulé The Hitler Legacy. Un autre ouvrage du même genre de John Loftus intitulé The Secret War Against the Jews: How Western Espionage Betrayed The Jewish People, présente l’histoire de l’industrie pétrolière et de ses liens avec le renseignement. Il nous amène à comprendre comment ces éléments ont façonné la résolution des conflits et des guerres et pourquoi les idéologies nazie et islamiste ont pu continuer à prospérer malgré la monstruosité de leurs actions.
Ceci m’amène à une réflexion plus générale. Je vous avoue que cela me fatigue depuis longtemps mais on dirait que le moment est venu de faire le point. Comme vous le savez sans doute si vous suivez ce blogue depuis un certain temps, ce site est dédié au combat contre les idéologies totalitaires, quelles qu’elles soient. Or, je remarque que bien peu de mes contemporains sont capables de suivre mes pas. Les activistes antinazis ou antifascistes sont rarement anticommunistes et vice versa. Les gens choisissent un camp ou l’autre sans comprendre qu’il s’agit des deux côtés d’une même médaille. Pour donner l’exemple des États-Unis, pour les Républicains tout est de la faute des Démocrates, et pour les Démocrates, tout est de la faute des Républicains. Si on passe en revue la planète, on voit aussitôt que les protagonistes d’un conflit se blâment l’un l’autre continuellement. Arabes et Juifs, Ukrainiens et Russes, Iraniens et Saoudiens, Chiites et Sunnites, orthodoxes et catholiques, catholiques et protestants, Irlandais et Britanniques, Canadiens-Français et Canadiens-Anglais, etc, etc… C’est toujours la faute de l’autre. Cependant, l’histoire montre toujours qu’il n’y a ni bons ni méchants mais des circonstances qui font en sort que certains peuples ou certains pays prennent des décisions afin de protéger leurs intérêts ou leur survie. Les protagonistes d’un conflit ont à la fois tort et raison, en ce sens qu’ils défendent leurs intérêts et donc, à ce niveau, ils ont tous des choses à se reprocher.
Je suis estomaqué par le fait que beaucoup de mes contemporains ne peuvent pas voir les deux côtés des choses. Pour donner un exemple concret, mes deux émissions de radio préférées, For The Record animée par Dave Emory et Secure Freedom Radio animée par Frank Gaffney, reçoivent régulièrement des excellents invités. Or, les invités de l’une des deux émissions ne sont jamais invités sur l’autre, ce qui fait que le débat d’analyse politique et de renseignement se fait en vase clos, même si le résultat est très bon. Ainsi, en ce qui concerne les excellents livres que j’ai cité précédemment, il faut donc les lire en parallèle. Comme les auteurs ont vraisemblablement des réticences à tenir compte de l’autre côté de la médaille, c’est le lecteur lui-même qui doit le faire. On en est rendu là. Je vous invite donc à livre The Hitler Legacy, The Secret War Against the Jews, American Betrayal et The Enemies Within en parallèle en « remplissant les espaces libres » qui auront été laissés par leurs auteurs. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons reprendre en main notre compréhension de l’histoire. Je vous offre également certains articles précédents où vous pourrez retrouver des entrevues avec les autres auteurs mentionnés.
Trevor Loudon sur Secure Freedom Radio
Entrevues #5, #6 et #7 avec Peter Levenda sur l’héritage hitlérien et le djihad mondial
Entrevue #4 avec Peter Levenda sur l’héritage hitlérien et le djihad mondial
From Communism to Islamism: The Secret Invasion of American Society
Diana West: Des agents soviétiques ont subverti les États-Unis dans les années trente
John Loftus parle de son dernier livre, America’s Nazi Secret
FTR #731 Interview with John Loftus about “America’s Nazi Secret”
Once Upon a Secret de Mimi Alford: Ramdom House se paie un Démocrate?
La maison d’édition américaine Random House vient de publier le livre de Mimi Alford Once Upon a Secret couvrant la relation amoureuse qu’elle aurait entretenue avec John F. Kennedy. Bien qu’il soit intéressant et toujours utile d’en savoir davantage sur les personnalités publiques et leurs actions, je dois vous avouer mon scepticisme dans ce dossier, surtout depuis que je me suis aperçu que le livre a été publié par la maison d’édition Random House. Random House, qui est la plus importante maison d’édition en langue anglaise, est la propriété de Bertelsmann, une maison d’édition allemande. Or, Bertelsmann était la firme qui publait la littérature nazie durant la guerre. Cela n’implique pas nécessairement que les dirigeants de cette maison d’édition soient des nazis mais la question de l’héritage est importante dans une maison d’édition car elle teinte forcément les orientations et décisions éditoriales qui sont prises.
Donc, je pose la question: Bertelsmann, par l’entremise de sa filiale Random House, en profite-t-elle avec ce livre pour se payer un Démocrate? En d’autres termes, en profite-t-elle pour essayer de salir la mémoire des Américains au sujet d’un Président qui fut, somme toute, un libéral, quelqu’un qui croyait à la démocratie, qui respectait le peuple, la Constitution et la Charte des Droits et Libertés? La question se pose tout à fait, surtout si l’on considère que Dirk Bavendamm, l’historien officiel de Bertelsmann, s’est lancé depuis quelques décennies déjà dans un exercice de réécriture de l’histoire, surtout celle de la Deuxième Guerre Mondiale. Par exemple en 1983, il a publié le livre Roosevelts Weg Zum Krieg dans lequel il prétend que c’est en fait Roosevelt qui a commencé la Deuxième Guerre Mondiale, que ce sont les Juifs américains qui contrôlent les médias et autres mensonges révisionnistes. Bertelsmann, sous la conduite de Dirk Bavendamm, a publié plusieurs autres ouvrages allant dans le même sens. Donc, dans la mesure où ceux qui ont intérêt à ce que la mémoire de Kennedy soit entachée dans l’esprit du peuple américain sont probablement les mêmes qui l’ont fait assassiner, on peut se poser des questions sur les motifs réels de Random House/Bertelsmann de publier ce livre. Ce qui n’enlève rien, soit dit en passant, à la véracité des propos que Mimi Alford y raconte. La prudence est de mise ici. En plus de la chronique de Normand Lester qui traite de ce sujet, je vous propose deux émissions du chercheur antifasciste et animateur de radio Dave Emory sur le contrôle qu’effectuent des firmes allemandes sur les médias américains et sur le processus de réécriture de l’histoire qui s’ensuit.
Normand Lester sur le livre de Mimi Alford sur la vie de JF Kennedy