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Entre autres sujets abordés, Sasha Latypova revient sur la controverse entourant la dernière opération de Project Veritas dans laquelle un employé de Pfizer a été piégé par James O’Keefe. Sasha Latypova se demande si, par hasard, Project Veritas n’aurait pas été eux-mêmes piégés par le Département de la Défense américain. Elle explique les raisons de ce questionnement durant cette entrevue.
Jordon Trishton Walker n’est pas l’employé typique d’une compagnie pharmaceutique comme on les imagine. Il ressemble davantage à un livreur de pizza qu’à un homme de science. Selon les informations recueillies par Project Veritas, Walker serait le directeur du département de recherche et développement, opérations stratégiques et planification scientifique ARN messager. Il a été filmé à son insu, comme dans toutes les opérations à caméra cachée de Project Veritas. Vous verrez dans la première vidéo que Walker est devenu complètement hystérique lorsque confronté par James O’Keefe. Il a, comme on dit en bon québécois, ‘pété une coche’, se permettant de bousculer le personnel de Project Veritas et de briser leur équipement. Walker s’en voulait probablement de s’être fait avoir ainsi et pour cause. Durant la conversation avec le journaliste de Project Veritas avec lequel il croyait être en rendez-vous amoureux, Walker a admis que Pfizer essayait de muter les virus et de les rendre plus virulents de façon à créer une demande continuelle pour de nouveaux vaccins. Il a aussi affirmé que les injections pour la covid-19 de Pfizer avaient des effets néfastes sur le système reproducteur féminin.
Après avoir réussi ce coup fumant, James O’Keefe a été suspendu avec solde par Project Veritas. Pfizer a-t-il fait pression sur le conseil d’administration de Project Veritas afin de pouvoir expulser O’Keefe? Cela ressemble à ça. À ma connaissance, O’Keefe n’a pas fait de déclaration publique suite à sa suspension. Je crois que cela serait nécessaire afin de clarifier la situation.
Entre autres faits intéressants à noter, le docteur Ryan Cole, bien connu de la communauté des opposants aux mesures sanitaires, est intervenu personnellement lors de la présentation d’Astrid Stuckelberger lors la conférence dont il est question durant cette entrevue accordée à la docteure Jane Ruby. Madame Stuckelberger essayait de mettre en lumière l’agenda des mondialistes et ce qu’ils planifient pour le futur de l’humanité. Parmi les différents éléments que présentait Astrid Stuckelberger, elle mentionnait la présence d’oxyde de graphène dans les injections pour la covid-19. Ce serait à ce moment-là que le docteur Cole serait intervenu, comme on peut le voir dans l’extrait présenté dans cette vidéo à 45:20 minutes. De toute évidence, Ryan Cole s’est complètement discrédité en coupant la parole ainsi à Astrid Stuckelberger. Ceci met en lumière le degré d’infiltration de la communauté des résistants aux mesures sanitaires. Les «grifters» et autres agents de protection du narratif officiel sont légions. Les patriotes et résistants authentiques sont entourés d’ennemis et doivent toujours être bien vigilants pour ne pas se laisser berner et piéger par ces individus.
Entre autres excellents points présentés durant cette entrevue, George Webb s’attarde particulièrement sur la figure ambigüe du docteur Robert Malone, celui qui est réputé être l’inventeur de la technologie à ARN messager. De façon plus large, George Webb s’interroge sur le degré d’infiltration de la communauté de patriotes combattant la prise de contrôle de la planète par les mondialistes. Beaucoup de gens ayant de la visibilité et de la popularité semblent être de toute évidence des «grifters» ou même carrément des agents du camp adverse. À voir absolument.
